Industrialisation Et Modernité 1850 1940

restauration du pouvoir impérial avec pour objectif de faire entrer le Japon dans l’ère de la modernité en s’inspirant de la RI britannique et en reprenant les principaux éléments des modèles occidentaux. C’est également la codification du Shintoïsme et la mise en avant de la tradition du Samouraï : sens de la communauté, du dévouement et du sacrifice. On met en avant les idées d’harmonie, de cohésion entre la modernité et la tradition. La révolution profonde du Japon se traduit par la volonté d’améliorer

d’une appartenance au monde rural à la création d’une conscience collective urbaine. La naissance de la classe ouvrière passe tout d’abord par une résistance à l’industrialisation et une volonté d’autonomie par rapport aux patrons dans la proto-industrialisation. Les ouvriers restent attachés à leur mode de vie rural et préfèrent garder leurs structures archaïques. L’arrivée des grandes usines permet de fixer les ouvriers mais les initiatives paternalistes des patrons engendrent de véritables oppositions

(pages 14-41) Programme : Thème 1 – Croissance économique, mondialisation et mutations des sociétés depuis le milieu du XIXe siècle Question Croissance et mondialisation Mise en œuvre – La croissance économique et ses différentes phases depuis 1850 – Les économies-mondes successives (britannique, américaine, multipolaire) ➤Nouveauté du programme par rapport à l’ancien ❏ On notera tout d’abord les bornes chronologiques proposées : le point de départ est la première révolution industrielle

restauration du pouvoir impérial avec pour objectif de faire entrer le Japon dans l’ère de la modernité en s’inspirant de la RI britannique et en reprenant les principaux éléments des modèles occidentaux. C’est également la codification du Shintoïsme et la mise en avant de la tradition du Samouraï : sens de la communauté, du dévouement et du sacrifice. On met en avant les idées d’harmonie, de cohésion entre la modernité et la tradition. La révolution profonde du Japon se traduit par la volonté d’améliorer

diverse. C’est cette diversité qui pose problème. Diversité selon les époques, la ville a une longue histoire. La ville se distingue de la campagne par une muraille (Moyen-Âge), bâtiments peu élevés sauf château et église. Los Angeles: symbole d’une modernité conquérante: centre d’affaire avec des grattes- ciel (fonction tertiaire). Toutefois, J. Le Goff dit qu’il y a des ressemblances entre ces deux villes. Il y a aussi des diversités géographiques. La ville prend des aspects très variables selon les

Braudel. Les villes-centres se copient en effet les unes les autres ; comme les Anglais copieront plus tard les Italiens25. L'expérience s'ajoute à l'imitation. En effet, un des vecteurs de développement capitaliste repose sur une tendance à l'"industrialisation endémique" de l'Europe depuis le XIè siècle (Braudel, III, 1979, p 480). La Révolution anglaise de la fin du XVIIIè a été précédée par d'autres poussées dans l'industrialisation ou la technique : au XIè avec l'expansion des moulins ; au XVè

et femmes, en échange, ont pu gagner les Cévennes comme un refuge : les premiers protestants l’ont fait au xvie siècle (à la suite, selon la légende, d’Arabes puis d’Albigeois), des Allemands antinazis, des Juifs et des résistants dans les années 1940, des « hippies » dans les années 1960-1980. C’est dire que le Massif cévenol n’a jamais été ni une barrière infranchissable ni un no man’s land hostile. Une route romaine dont les vestiges sont parfois remarquables, la Régordane, devenue chemin de

hommes et femmes, en échange, ont pu gagner les Cévennes comme un refuge : les premiers protestants l’ont fait au xvie siècle (à la suite, selon la légende, d’Arabes puis d’Albigeois), des Allemands antinazis, des Juifs et des résistants dans les années 1940, des « hippies » dans les années 1960-1980. C’est dire que le Massif cévenol n’a jamais été ni une barrière infranchissable ni un no man’s land hostile. Une route romaine dont les vestiges sont parfois remarquables, la Régordane, devenue chemin de

bientôt ne sera plus l’apanage de l’homme. En 1847, à Paris, 233 confectionneurs emploient plus de 7 000 ouvrières. à l’instar de la Belle Jardinière, des magasins de nouveautés apparaissent, qui destinent d’abord leurs produits aux hommes. Mais, dès 1850, ces magasins proposent des gammes de vêtements pour les femmes et les enfants : lingerie, mantelets qui ne nécessitent pas de retouches, tabliers et robes toutes faites. Paris est toujours considéré comme la capitale mondiale de la mode. Image réalisée

des commerçants mais sont à leur compte. Lorsque se développe les grandes usines, les petits travailleurs ne peuvent plus se payer les machines, c’est ce qu’on appelle la concentration du capital. Au XIXème siècle, on est dans une ère de proto-industrialisation. Certes le travail industriel se développe mais cela reste majoritairement morcelé parcellisé dans les campagnes et finalement les conditions ne sont pas réunis pour qu’apparaissent une conscience de classe. Les seules organisations qui existent