Industrie Textile Indonésie

modernisation des chaines de production, et d’encourager la recherche et le développement. Les secteurs industriels en déclin ou en mutation : * sidérurgie, secteur industriel en déclin, industrie dite traditionnelle qui des les années 70 s’est très fortement délocalisée. * L’industrie textile, est victime des délocalisations (sauf pour les fibres de synthèses comme le nylon, le Licra) * Le secteur automobile a traversé une crise profonde au début des années 80, et depuis les années

mondialisation a un développement et à une politique de promotion des exportations qui joue sur l'inter -dépendance des économies mondiales. C'est la voie qui à été choisie par les NPI. Les NPI ont d'abord exporté des produits a bas prix comme le textile , ils ont entreprit une remontée de filière pour passer a une production plus élaborée. En 2003 , les 1ère réactions communes au sommet de Cancun les pays du sud qui ont refusé de signer les accords de l'OMC. Consensus dans les pays du sud , pour

Progrès en matière de transport marin : gouvernail d’étambot ; progrès dans la construction des coques et dans la disposition des gréements ; usage de la boussole… - Progression de trois secteurs qui seront ensuite importants dans l’industrialisation : textile, construction, métallurgie - Multitudes de nouveautés : lunettes, emploi des cheminées et du charbon pour le chauffage intérieur, usage du papier et début de l’imprimerie, introduction du zéro et des chiffres arabes, emploi de la poudre et des armes

l’industrie Tsusansho. slt 1,5% du budget de l’État et 15 000 employés mais essentiel. Infos sur la techno et marchés étrangers, prévision des évolutions à venir, Recherche : nouvelles technos, orientation des technopôles Industries : définition des grandes stratégies (abandon du textile dans les années 60), reconstitution des zaibatsu. Commerce : réglementation de la concurrence, de la distribution, des normes et quotas. Rôle accru avec la crise : réorganisation de l’industrie. Dès 1952 le MITI a

d’essoufflement (le Brésil notamment), les économistes cherchent un autre acronyme pour désigner les nouveaux pays émergents. Après les « CIVETS » (Colombie, Indonésie, Vietnam, Égypte, Turquie, Afrique du Sud) de HBC en 2009, les « MITS » de Goldman Sachs en 2010 (Mexique, Indonésie, Afrique du Sud, Turquie), voici les « PPICS » de Coface (Philippines, Pérou, Indonésie, Colombie, Sri Lanka). Ce classement se fonde sur la dynamique de la croissance (supérieure à 4 %), une taille critique de marché, une économie

élevé. L’approche empirique présentée par les auteurs favorise donc l’hypothèse nulle (l’absence de relation). Dans une revue des épisodes de libéralisation financières du milieu des années 70 au Chili et en Malaisie et au début des années 80 en Indonésie, en Corée, en Malaisie et en Turquie, Atiyas, Capiro et Hanson (1994) ont trouvé que des taux d’intérêt réels plus élevés avaient un faible impact sur les taux d’épargne[2]. La libéralisation des taux d’intérêt peut avoir donc un impact limité

l’industrie automobile, l’Allemagne est particulièrement touchée par la crise du secteur. Le géant allemand de l’acier ThyssenKrupp vient d’ailleurs d’annoncer une baisse de plus de 53% de son bénéfice trimestriel. Un salarié sur 7 travaille pour cette industrie, et la construction automobile fournit 40% des exportations du pays, qui ont décliné considérablement ces derniers mois. Enfin le cycle de l’emploi commence à se retourner. En Angleterre, les prix de l’immobilier ont enregistré une chute sans précédant

diffusion de l’innovation et des nouvelles technologies dans l’ensemble de l’UE et dans le reste du monde. Il en est ainsi à la fois des «nouveaux» secteurs, tels que les télécommunications, et des secteurs plus «traditionnels», comme la production textile de haute technologie. Nous préconisons la prorogation du moratoire sur les droits pour le commerce électronique et nous poursuivrons nos efforts en vue d’actualiser l’accord de 1996 sur les technologies de l’information de l’OMC afin d’en étendre

structure sectorielle des IDE montre que jusqu’en 1996, les industries manufacturières occupaient la première place. Ces industries ont attiré 27 % des IDE entre 1983 et 1996. Le secteur de construction est classé en deuxième position avec 20 %, le secteur financier vient ensuite avec 12 % et le tourisme est en quatrième rang avec 7 % pour la même période. Entre 1996 et 1998, le secteur financier s’est bien redressé, mais les industries ont gardé la première place. Les années 1999, 2000 et 2001 ont

productivité décline. C’est dans cette phase que l’exode rural a commencé, ce qui a alimenté les gains de productivité en déplacement de la main d’œuvre. C’est par la suite que la deuxième phase de la réforme (années 90) a permis le véritable essor des industries lourdes et du secteur privé. Après la main d’œuvre, l’investissement est devenu le principal moteur de la productivité chinoise qui peut être définie comme une croissance principalement extensive (la productivité est augmentée par l’ajout d’unités