Inegalités Socio Spatiales Ny

émergents dans leurs stratégies globales, ce qui constituera probablement un capital de demain. La veille stratégique peut être définie comme étant un processus continu par lequel une entreprise se met à l’écoute des mutations de son environnement socio-économique, dans le but d’assurer une surveillance active et d’anticiper les évolutions. En fonction de la taille de l’entreprise, la pratique de ce processus peut se faire de façon intuitive, être dédiée à une entité interne ou sous-traitée par

enregistré un développement très important ces dernières années. Ils peuvent se faire pour une durée assez courte et un départ massif peut être déstabilisateur pour une économie. Les flux de capitaux sont permanents entre les places boursières (NY Londres Tokyo Paris Shanghai HK Shenzhen…). Voir carte. ✓ L'IDE est une opération par laquelle un investisseur basé dans un pays acquiert un actif dans un autre pays, correspondant à au moins à 10% du capital d’une entreprise (s’il s’agit des actions

les travaux empiriques sont clairs, à savoir que la ségrégation est d’abord le résultat des stratégies des classes supérieures, les travaux sont peu nombreux (à l’exception des Pinçon-Charlot en France). Or les dynamiques de changement social et spatial résultent d’interactions entre différents groupes sociaux, et ne rien connaître sur ces groupes est un problème. Par ailleurs, 7 au sein du pôle ville de Sciences Po animé par Patrick Le Galès, Marco Oberti et Edmond Préteceille, nous avons engagé

_Toc382250363 \h 34II.Les causes de la criminalité dues a l'environnement de l’individu PAGEREF _Toc382250364 \h 342.1.Les facteurs d'ordre familial PAGEREF _Toc382250365 \h 342.2.Les fréquentations et voisinages PAGEREF _Toc382250366 \h 352.3.Les facteurs socio-économiques PAGEREF _Toc382250367 \h 352.4.Les facteurs technologiques PAGEREF _Toc382250368 \h 36Chapitre 3 : la gestion des prisons PAGEREF _Toc382250369 \h 37I.La gestion publique des prisons PAGEREF _Toc382250370 \h 38II.La gestion mixte des prisons :

la théorie Au fur et à mesure que l’on avance dans le XXème siècle, les contraintes spatiales et géographiques perdent en importance. Leur rôle de facteur déterminant dans le comportement des Etats est bcp moins prégnant : les communications deviennent plus rapides, plus faciles, plus denses ; le développement de l’arme nucléaire et de ses vecteurs (missiles intercontinentaux par ex) relative la contrainte spatiale : l’Etat qui la possède peut pratiquement atteindre n’importe quel autre Etat sur la

développement économique n'y ait pas permis, au profit de la récession. Voilà ce qu'est l'E: Beaucoup moins de territoires qu'aujourd'hui, 60% en moins, et des niveaux de développement et d'incitation au devoir tout à fait inégalitaires. Fin 50, le PIB de NY est celui de Paris actuellement. L'écart qui va se creuser est phénoménal. Ex: L'Amérique du N va développer des marchés que l'on ne connait toujours pas en E. Le marché culturel par exemple, est inventé et efficace dès les 60's, et n'est toujours pas

(désirs impossibles) comme l'immortalité. On voit que ces deux concepts sont proches, et il arrive souvent que certains désirs soient ressentis comme des besoins, et ils sont alors à l'origine d'activités économiques (activités autour de la conquête spatiale, de la volonté de rester jeune...). La raison d'être et le but des activités économiques est la recherche de la satisfaction des besoins et des désirs des hommes. Les principaux caractères des besoins sont : → La multiplicité : il y a une

19 1. 2. 3. 4. 5. De la petite entreprise à la création d’entreprise : historique d’une réhabilitation Les chiffres-clés de la création d’entreprise en France Structures et profils de la création d’entreprise française Les disparités spatiales de la création d’entreprise Les enjeux de la création d’entreprise CHAPITRE 2. ACTEURS, PROCESSUS ET MILIEUX DE LA CREATION D’ENTREPRISE 1. 2. 3. 4. 21 38 50 61 74 86 Une grille de lecture entrepreneuriale de la création d’entreprise

manière dont la société fonctionne…16 « on peut donc parler de race sans être raciste » 12 13 14 15 16 G. Kelman, Je suis noir et je n’aime pas le manioc, Milo, 2004. P. Manière, La vengeance du peuple, Plon, 2002. Voir par exemple sur l’« inégalité des races », Le Monde, 2 septembre 1996. J.M. Belorgey, Lutter contre les discriminations, Rapport à Mme la Ministre de l’Emploi et de la Solidarité, mars 1999. G. Loury, The anatomy of racial inequality, Harvard University Press, 2003. 12

durabilité et les questions d’égalité et de justice sociale, mais aussi d’accès élargi à une meilleure qualité de vie. D’après les prévisions, l’échec persistant des tentatives de réduction des risques environnementaux graves et l’aggravation des inégalités sociales pourraient ralentir plusieurs décennies de progrès continus au sein de la majorité pauvre de la population mondiale, voire même inverser la tendance vers une convergence mondiale du développement humain. Les remarquables progrès effectués