Ines

pourtant vrai, Inès. Tu me tiens, mais je te tiens aussi. Il se penche sur Estelle. Inès pousse un cri. INÈS     Ha ! Lâche ! Va ! Va te faire consoler par les femmes. ESTELLE     Chante, Inès, chante ! INÈS     Le beau couple! Si tu voyais sa grosse patte posée à plat sur ton dos, froissant la chair et l'étoffe. Il a les mains moites ; il transpire. Il laissera une marque bleue sur ta robe. ESTELLE     Chante ! Chante ! Serre-moi plus fort contre toi, Garcin ; elle en crèvera. INÈS     Mais oui,

aucun souci de beauté. Il y a des séries d’objets qui ne servent à rien : Une sonnette qui ne va pas ; Un coupe-papier pour couper les pages des livres mais ne sert à rien vu qu’il n’y a pas de livres, à la fin Estelle va même essayer de tuer Inès avec mais ça ne sert toujours à rien vu qu’elle est déjà morte. Or tout objet a une finalité et est fabriqué pour occuper une certaine fonction. Là, ils sont inquiétants, ils n’ont aucune signification tout comme les gestes et les paroles des personnages

et qui a bafoué son épouse, Inès qui a séduit une jeune femme et s’est suicidée en l’entrainant avec elle dans la mort et Estelle qui a poussé son amant au suicide en tuant leur enfant. L’extrait est mis en scène de manière spéciale puisque ce n’est ni une tragédie étant donné que nous n’éprouvons aucune compassion pour les personnages due aux crimes qu’ils ont commis et qu’ils continuent à commettre « Elle prend le coupe-papier sur la table, se précipite sur Inès et lui porte plusieurs coups »

rencontre des trois personnages principaux que sont : Inès, Garcin et Estelle. Résumé de l’histoire : Inès Serrano, Estelle Rigault et Joseph Garcin se retrouvaient au moment de leur mort dans la même pièce en Enfer. Garcin se retrouve dans un salon style second empire dans lequel se situe un bronze proéminent. Ils ne se connaissent pas et sont très différents. Ils se demandent en quoi consiste leur damnation puis évoquent leur passé. Inès a été tuée par son amie qui s’est suicidée juste après

pièce, il y a trois personnages principaux, Garcin, Inès et Estelle. Au départ, Garcin, qui est coupable d'être lâche, tente de trouver réconfort avec Estelle, qui a trompé son mari et a tué le bébé qu'elle avait eu en conséquence de son liaison.Garcin pensait qu'apparaître viril aux yeux d'Estelle le rendrait moins lâche, et donc purrait-il partir l'enfer. Pourtant, à la fin de la pièce, Garcin réalise qu'il doit chercher réconfort auprès Inès. Inès est une lesbienne, qui a causé une femme de divorcer

Evaluation séquence 3 – Cyrano – Bilan Eval 1 - Moyenne de classe = 6,38/10 Eval 2 - Moyenne de classe = 6,31/10 Total = 12,63 Evaluation 1 Langue - Ponctuation - Phrases longues - Reprise des termes de la question Compréhension Q1 – Caractère – personnalité (pas de

si je fermais les yeux, si je refusais de te regarder, que ferais-tu de toute cette beauté?»[2] Lors de cette citation, l’auteur utilise la métaphore pour comparer Inès à un miroir. L’expression « miroir aux alouettes » représente une sorte de piège anciennement utilisé par les chasseurs pour attirer les oiseaux. Dans ce passage, Inès utilise le point faible d’Estelle en se servant de la ruse pour la piéger. Dans le courant de l’existentialisme, la mauvaise foi ne se voit pas seulement à travers

dans une même pièce. Il s'agit de Garcin, journaliste, Inès, employée des Postes et Estelle, une riche mondaine. Ils ne se connaissent pas, viennent de milieux très différents, ne partagent ni les mêmes convictions ni les mêmes goûts. Les trois protagonistes se débattent sans cesse pour échapper à leur situation mais l'Enfer finit par reprendre le dessus Estelle Chante ! Chante ! Serre-moi plus fort contre toi Garcin ; elle en crèvera. Inès Mais oui, serre-la bien fort, serre-la ! Mêlez vos

la pièce Huis clos, Inès "joue" justement avec cette dépendance du regard des autres lorsqu'elle sert de miroir à Estelle. Lorsqu'elle lui dit "Qu'est ce que tu as là, au bas de la joue?", elle met la pression à Estelle car cette dernière ne peut se voir par elle-même et donc se juger. Estelle lui demande paniquée où se situe la tâche, la réaction d'Estelle montre à quel point elle est dépendante du regard des autres qui sont représentés ici par Inès. Dans cette même scène, Inès énonce : "si je fermais

sentiment de solitude qui les envahit de plus en plus. Ensuite, les personnages ont pour seul miroir la réflexion d'eux-même dans les yeux des autres et ils ne peuvent pas échapper à leurs regards. Inès dit : « Je te vois, moi. Tout entière. Pose-moi des questions. Aucuns miroir ne sera plus fidèle. »3. Même si Inès prétend voir Estelle, la perception des deux femmes peut être très différente. Donc, même si les personnages ont l'opinion des autres sur leur image ils ne peuvent pas voir leur réels nature