Infanterie

temps de paix (sous Horemheb notamment) l’armée était divisée en deux grands corps, tenant respectivement garnison dans le Delta et en Haute Egypte (nord et sud). Elle est renforcée par les mercenaires en temps de guerre. Elle était composée d’une infanterie : engagés volontaires (2000 hommes), plus des recrues. Il existait en outre un corps d’élite, sorte de gardes du corps du pharaon appelés «  les braves du roi » et un corps de chars de combat (technique héritée des hyksos), charrerie plus cavalerie qui

entre autres par le général Jeb Stuart, dont notamment des unités spéciales qui étaient appelées Rangers, commandées par des officiers brillants (Mosby) ; elle avait pris naissance durant la guerre d'indépendance du Texas. Le sud avait aussi une infanterie très tenace. En effet, les soldats sudistes défendaient leur terre, leurs familles et leurs maigres biens ruraux ; ils considéraient les nordistes comme des intrus de mentalité très différente à qui ils n'avaient rien demandé. De plus, les meilleurs

2 novembre 1439, qui crée les compagnies d'ordonnance → compagnies permanentes de cavaliers. L'ordonnance fixe le nombre de ces compagnies à 15 (en tout 9000 cavaliers, pour la plupart des nobles). Mais il faut aussi une infanterie : l'ordonnance d'avril 1448 crée une infanterie nationale ( = les francs-archers). Dans chaque paroisse du royaume, on fournit un archer pour 50 familles. Avec ces mesures, Charles 7 crée la première armée française, dont la naissance est contemporaine de celle de l'Etat

monde : L’Amérique 14 2.2 L’imprimerie : son histoire et son innovation. 17 L’histoire 17 La fonte des caractères 18 L’assemblage de la galée. 18 La diffusion de l’imprimerie. 18 2.3 La révolution copernicienne 20 2.4 Innovation militaire 21 Infanterie 21 Artillerie 21 Fortifications 22 III. Les Grandes Guerres 23 3.1 Guerres d’Italie 24 3.2 Les guerres de Religions 25 Premières persécutions. 25 L’organisation juridique de la répression. 25 Renforcement des protestants de France. 26 La

nationale soutient les soldats. A force d'actes d'insurrection, l'Assemblée nationale accepte le mouvement de répression des officiers le 21 août après des mois de crise, et Davout est emprisonné. A Perpignan, des grenadiers du régiment de la Touraine-Infanterie se joignent à la Garde nationale pour manifester contre les ordres venant du sommet de leur hiérarchie, au point de remplacer certains de leurs officiers. Le retour du Vicomte de Mirabeau, colonel du régiment, après avoir rempli ses obligations

combat à cheval ainsi que d'un sabre et d'une épée droite en cas de combat à pied. Ils portaient également un casque et une cuirasse en toile de lin ou en bronze. Alexandre prenait la tête de la charge suivi de ses compagnons. Il usait de son infanterie pour immobiliser l'ennemi qu'il attaquait ensuite par le flanc droit ou par-derrière avec ses compagnons tandis qu'un régiment plus petit chargeait le flanc gauche. Les cataphractes Les soldats à cheval de l'empire parthe qui atteignit son

commerce (le roi touche 20%). Paye les soldats ; elle peut emprunter, on a confiance en elle. Fr : J. Cartier, mais pas de grandes richesses, vers le Ca. L’armée espagnole entoure la Fr, a la Franche-Comté, le Milanais,… armées de lanciers, infanteries plus forts. Pb : il cumule les titres, mais « roi d’Es », ça n’existe pas ! est tout le temps obligé de respecter les coutumes locales. Négocie avec toutes les assemblées dans tous les territoires. Ses sujets ne parlent pas les mêmes langues

militaires à cheval qui saluent. Une fois au pouvoir, les républicains décident de prendre en main une armée jugée hostile au régime. Les vieux drapeau de 1871 (en laine) sont remplacés par de nouveaux étendards (terme de cavalerie) ou drapeaux (infanterie) avec des formules génériques affirmant les nature du régime et celle des missions des régiments : « République française », « Honneur et Patrie », les listes des batailles des régiments. La hampe du drapeau se termine par une pointe avec l'inscription

jusqu’à Rome, puis débarquement à Marseille Bataille de Mulhouse, puis départ en Allemagne (en passant par Strasbourg) Autriche puis retour à Paris. Retour au Maroc 12 juin 1947 : départ pour Madagascar (resté jusqu’en 1950) Retour en Indochine : infanterie puis chauffeur pour l’armée en tant que première classe Maroc de nouveau, où il travailla à l’hôpital de Rabat jusqu’à sa retraite (1956) Phrases fortes : « Le recrutement se faisait de la manière suivante : il y avait un crieur qui venait dans

hui par une corruption de mots assez commun en Angleterre, on nous nomme, nous nous nommons et signons CRUSOÉ. C’est ainsi que mes compagnons m’ont toujours appelé. J’ avais deux frères: l’ ainé, lieutenant – colonel en Flandre, d’ un régiment d’ infanterie anglaise, autrefois commandé par le fameux colonel Lockhart, fut tué à la bataille de Dunkerque contre les Espagnols; que devint l’ autre? J’ignore quelle fut sa destinée; mon père et ma mère ne connurent pas mieux la mienne. Les pronoms personnels