Infidelité De Manon

contemporain », thèse de doctorat, University of Toronto, 2002, p. 25 – 28. L’auteure cite également les articles suivants traitant de l’interprétation de l’errance de la femme au XVIIIe siècle : Catherine Cusset, « Errance et féminité au 18e siècle : De Manon Lescaut aux Amours du chevalier de Faublas », Elseneur, nº 7, juin 1992, p. 89 - 108 ; et Françoise du Sorbier, « L’Errance et les héroïnes de Defoe », Tropismes, nº 5, 1991, p. 173 – 185. 54 Dans ce récit, c’est plutôt l’homme, représenté par la

de la momie que tu vas nous réciter. Trop tard, mon pauvre Léon: Théophile Gautier a pris les devants, dans le feuilleton du Moniteur, et tout le monde la connaît, ton histoire égyptienne! — Mon histoire, dit Léon, n'est pas plus égyptienne que Manon Lescaut. Notre bon docteur Martout, ici présent, doit connaître le nom du professeur Jean Meiser de Dantzig; il vivait au commencement de notre siècle, et je crois que ses derniers ouvrages sont de 1824 ou 1825. — De 1823, répondit Mr Martout. Meiser

susciter la pitié du lecteur : il devient alors extraordinaire par l’émotion qu’il suscite. Dans Manon Lescaut, le lecteur peut certes être révolté par l’attitude des deux héros mais l’habileté du romancier est telle que le narrateur, le chevalier des 20 Sujet 1 – Le corrigé Grieux, est également touchant. Les plaintes du héros devant l’inconstance de celle qu’il aime ou encore le récit de la mort de Manon Lescaut sont autant de moments durant lesquels le personnage n’est pas tout-puissant : au

____________________________________________________________ _____________________ En 1731, à la parution du livre de l’abbé Prévost, Voltaire chargea Thieriot, qui était en Angleterre, d'un message pour «le tendre et passionné auteur de “Manon Lescaut”». ____________________________________________________________ _____________________ “Essai sur la poésie épique” (1732) Commentaire Il avait été composé pour servir d'introduction à la ‘’Henriade’’. Voltaire l’aurait écrit et

revint après quelques minutes avec le baron qui la soutenait. Ils s'assirent devant le lit et Jeanne aussitôt commença. Elle dit tout, doucement, d'une voix faible, avec clarté: le caractère bizarre de Julien, ses duretés, son avarice, et enfin son infidélité. Quand elle eut fini, le baron vit bien qu'elle ne divaguait pas, mais il ne savait que penser, que résoudre et que répondre. Il lui prit la main, d'une façon tendre, comme autrefois quand il l'endormait avec des histoires. "Ecoute, ma chérie

carte du Tendre »... (p. 191) Sur la Carte du Tendre devront figurer les étapes les plus courantes de la relation amoureuse d’aujourd’hui : Séduction, Sorties, Premier baiser, Présentation aux amis, aux parents, Mariage... Mais aussi Trahison, Infidélité, Divorce ... On s’attachera, lors de la comparaison de la Carte du Tendre du XVIIe et de celle d’aujourd’hui, à mettre en évidence les points communs persistant malgré l’évolution des mœurs. ... à vous de découvrir Pascal polémiste... (p. 199)

Forme : destin est-il juste ou injuste ? forme tragique de ses apparitions : mort; contretemps; Séance 2 Le thème de l’inconstance. Définition de l’inconstance : tendance à changer facilement de conduite, de résolution. En amour : infidélité. A introduire par rapport à l’incipit. Thème des aventures amoureuses se multiplient dans le livre : dépucelage, tromperie, adultère, mensonge. 1 étape : la fable de la gaine et du coutelet (p 152 à 153) Gaine : étui, fourreau. Coutelet

TEXTES 1. La situation des deux héroïnes – Médée  : alors qu’elle a tout sacrifié à Jason, elle se sent trahie dans son amour ; pour elle, la vie n’a alors plus de sens ; bien plus, elle se voit obligée de se punir elle-même pour punir Jason de son infidélité (l. 4). Elle veut l’atteindre dans ce qu’il a de plus cher (ses enfants). – Camille : son amant (v. 2) a été tué par son frère même ; elle est écartelée entre son amour blessé et le devoir qu’on exige de toute Romaine, le patriotisme (Rome). C’est

par l’homme. On la tenait, mais on n’avait de preuves que contre elle. Elle seule pouvait charger son amant et le perdre en avouant. Elle nia. On insista. Elle s’obstina à nier. Sur ce, le procureur du roi avait eu une idée. Il avait supposé une infidélité de l’amant, et était parvenu, avec des fragments de lettres savamment présentés, à persuader à la malheureuse qu’elle avait une rivale et que cet homme la trompait. Alors, exaspérée de jalousie, elle avait dénoncé son amant, tout avoué, tout prouvé

par l'homme. On la tenait, mais on n'avait de preuves que contre elle. Elle seule pouvait charger son amant et le perdre en avouant. Elle nia. On insista. Elle s'obstina à nier. Sur ce, le procureur du roi avait eu une idée. Il avait supposé une infidélité de l'amant, et était parvenu, avec des fragments de lettres savamment présentés, à persuader à la malheureuse qu'elle avait une rivale et que cet homme la trompait. Alors, exaspérée de jalousie, elle avait dénoncé son amant, tout avoué, tout prouvé