Infinitive

les tirades écrites pour faire figurer : des expressions de l’intention (I’ve made my decision: I intend to… – I’ve made up my mind: my plan is to…), du désir (I would like/I’m longing to become… – I’ve been dreaming of…) et du but (structure infinitive : in order to – so as to), utiles pour la mission finale et plus généralement pour convaincre quelqu’un. Penser à revoir la structure emphatique : I do think… et d’autres procédés d’emphase comme la répétition ou l’emploi de : for sure – certainly

Variante Après avoir élaboré sa phrase, chacun essaie de placer sa phrase au cours d’une conversation avec son partenaire. Objectifs : Grammaire : Lexique : Matériel : Durée : donner des conseils si + imparfait, + conditionnel, les propositions infinitives les conseils fiches-consignes 5 à 10 min. Le jeu de l'oie Tout le monde connaît le jeu de l’oie avec les 63 cases et les tâches à remplir toutes les 7 cases (9x7 = 63). Il s’agira de préparer des questions adéquates. Exemple : Quel âge as-tu

propositions   infinitives   soulèvent   de   nombreuses   interrogations.   La   notion   est   certes   critiquée,   mais   ce   n’est   pas   pour   autant   une   bonne   solution   que   de   choisir   l’esquive.   Rappelons   que,   pour   la   grammaire   traditionnelle,   deux   conditions   sont   obligatoirement  requises  pour  que  l’on  ait  affaire  à  une  proposition  infinitive  :  cette  

[1] Il est impératif de connaître les bases de l’analyse propositionnelle afin de ne pas confondre les indépendantes, principales et les subordonnées (qui se subdivisent en relatives, complétives, circonstancielles, interrogatives indirectes, infinitives et participiales). [2] Il est efficace, lors des épreuves sur table, de consacrer une feuille de brouillon pour l’analyse du sujet, une ou plus pour les recherches, une pour le plan général, une pour l’introduction, une pour la conclusion et une

tombait : il ne sortit pas. -Un participe présent à la place d’une subordonnée circonstancielle Exemple : Astou prit la meilleure part, puisqu’elle était arrivée la première. → Astou prit la meilleure part, étant la première. -Une proposition infinitive à la place d’une subordonnée complétive. Exemple : Un vieil homme, très malade depuis longtemps, voyait que sa fin arrivait. → L’homme voyait sa fin arriver. NB : Il est interdit de reproduire la syntaxe (arrangement des mots et construction

discours indirect : « Elle se plaignit d’éprouver, depuis le commencement de la saison, des étourdissements », « elle demanda si les bains de mer lui seraient utiles ». On repère les verbes de parole (« se plaignit », « demanda ») ; la proposition infinitive ou la proposition subordonnée permettent ensuite de rapporter les paroles d’Emma. Puis, Flaubert utilise le discours narrativisé : « elle se mit à causer du couvent, Charles de son collège », « les phrases leur vinrent », « Elle lui parla encore

 464 et suivantes : (a) Ne pas assez dormir nuit à la santé. (b) Nos voisins ont décidé de déménager. (c) Il est normal de s’inquiéter un peu de l’avenir de ses enfants. L’autre emploi courant de l’infinitif, ce sont les propositions infinitives, qui peuvent fonctionner comme une complétive (exemples a et b) ou comme une proposition circonstancielle (exemples c et d) : (a) J’entends les enfants se disputer. (b) Nous estimons ne pas avoir à vous répondre. (c) Faute d’avoir réservé

des - les pronoms relatifs : formes propositions subordonnées et fonctions - la proposition subordonnée relative : place et fonction 3.2 – les propositions subordonnée complétives a) la complétive introduite par Que b) la proposition subordonnée infinitive c) la subordonnée interrogative 3.3 la proposition subordonnée conjonctive complément circonst. 3.4 – la proposition subordonnée participiale Repérage de notions, de fonctions Analyses : natures et fonctions Manipulations, substitutions, transformations

modalité (pouvoir ; devoir ; falloir ; sembler...) ; * l'emploi de temps verbaux (conditionnel et futur antérieur) ; * certains emplois de structures de phrases : construction impersonnelle (il est certain que), subordonnée complétive, phrase infinitive ; * certains emplois des types de phrases non déclaratives (interrogative, exclamative, impérative) ; * l'emploi d'expressions modalisatrices (pour ma part ; personnellement ; à mon avis ; selon certains observateurs ; d'après lui ; à

certaines structures syntaxiques particulières: l'apostrophe — les dédi caces de «Dévotion» —; les formes verbales neutres, copule — «Je suis», 4ème section du poème «Enfance»—, présentatif—«II y a», 3ème section du pome «Enfance»—, forme infinitive — le cri «A vendre» du poème «Solde»—, ablatif absolu au participe — Assez vu»... «Assez eu»... «Assez connu», avec rime intérieure, dans le poème «Départ» —. Mais on trouve également une forme anaphorique structurelle, où