Inflation Chômage

bon, les revenus sont plus élevés et par conséquent la consommation aussi. Ainsi l’investissement peut reprendre et la croissance ne faiblit pas. Dans une situation contraire, si une économie se trouve dans une mauvaise situation avec un taux de chômage élevé, les ménages vont réduire leurs dépenses et thésauriser. La consommation finale sera alors faible et l’investissement aussi. La conjoncture économique peut donc empêcher les taux d’intérêts d’agir en faveur de la croissance. De plus, des taux

reconversion. Les besoins deviennent immenses. Les trente années qui suivent se caractérisent par une période de croissance forte et soutenue et caractérisée par le plein emploi : les Trente Glorieuses. A partir du milieu des années 70, le taux de chômage se développe et la croissance diminue. C’est l’échec des thèses Keynésiennes, et cela va conduire au renouveau de l’école néo-classique. L’intervention publique va donc être jugée inefficace et pour passer cette crise des 70’s (choc pétrolier etc

| | | |et dépression économique et leurs conséquences sur le chômage de masse. | | | |Acquis de première : inflation, politique monétaire, politique budgétaire,| | | |politique conjoncturelle, chômage, demande globale. | Préalable : La partie science économique du programme devant être traitée

monnaie va créer du lien social. 2. Les qualités de la monnaie. La monnaie doit être stable La stabilité garantie le pouvoir d’achat en évitant une inflation. Quand il y aune inflation, le pouvoir d’achat va diminuer. Une forte inflation va gêner les exportations. Pour que l’économie fonctionne, il ne faut pas d’inflation ou une légère inflation jusqu'à 2%. La désinflation est un ralentissement de la hausse des prix. La monnaie doit être stable par rapport à l’extérieur, elle doit être stable

de toute l’économie. L’inflation n’est pas un facteur de croissance Qu’en est-il en réalité ? Les prévisions d’inflation pour 2015 sont de 0,1% seulement (contre 0,3% initialement prévus) et de 1,1% en 2016. Certes, Mario Draghi n’exclut pas une inflation négative dans les mois à venir, mais, dit-il « le conseil des gouverneurs tend à penser qu’il s’agit d’effets transitoires principalement dus aux effets des prix du pétrole ». Il est vrai que, selon les dernières statistiques de l’OCDE (1er septembre)

taux d'investissement (ratio investissement/production) par la productivité moyenne du capital (ratio production/capital). Mais l'observation de l'économie réelle aurait dû montrer des alternances de périodes d'accroissement ou de chute du taux de chômage ou encore de l'utilisation des capacités de production, ce qui n'a pas été le cas. De plus, si l'on suit les conclusions du modèle, il suffit d'augmenter le volume d'investissements pour augmenter son taux de croissance industrielle de long terme

croissance plus faible et volatile 2-1 Le ralentissement du rythme de la croissance 1975-2006 : 2,3% / an en moyenne en France. Choc pétrolier, fortes pressions inflationnistes, hausse du chômage (1973 – milieu des années 80 : + 7 points). Stagflation : inflation et ralentissement de l’activité économique chômage. Dérèglement du SMI, effondrement du système de change fixe en 1973. Une plus forte incertitude s’installe. Hausse prix du pétrole hausse des coûts de production du niveau général des prix

sa plongée entamée en 2007 et, aux États-Unis, les maisons ont perdu environ 15 p. 100 de leur valeur en moyenne. Ce repli a provoqué un ralentissement de la consommation des ménages et un fléchissement de l'investissement résidentiel. Le taux de chômage s'est envolé, à plus de 6,5 p. 100, un niveau jamais atteint depuis 1993. Notamment, des destructions massives d'emplois, à hauteur d'un demi-million de postes, ont eu lieu en novembre, un record depuis la fin de 1974. Le secteur automobile américain

internationaux dans les années 50 (p 24) : poids très faible des pays du tiers monde même si présence. Ecarts se creusent entre ceux – ci et les PID inégalités (échelles mondiale et locale) et tensions sociales persistent – tensions sociales // inflation générale qui accompagne la croissance : l’ Etat providence ne règle pas tout. • situation en France pp 250-251 vior paragraphe de cours 1 - et doc 1. 2 et 3 Une croissance portée par une société de consommation (déf p 38) La

services. - Plus on produit, plus le niveau augmente - Il existe des limites ( Les prix montent quand le gouvernement imprime trop de monnaie : - Inflation par la demande - Inflation par l’offre (coûts). - Plus il y a de monnaie en circulation, plus les prix montent. (A court terme, la société doit choisir entre inflation & chômage. Les théories économiques : I- La période classique : A- La pensée libérale classique : Smith : - La richesse des nations est fonction