Inflation Désinflation

stabilité des prix est une condition impérative à la bonne conduite d’une économie. A cet égard, on a revu les buts poursuivis par les banques centrales. Il est désormais couramment admis qu’une bonne politique monétaire poursuit l’objectif d’une inflation stable et peu élevée. Dans beaucoup de pays industrialisés, le ciblage d’inflation en tant que politique monétaire a donc remplacé les régimes du taux de change fixe et du ciblage de l’agrégat monétaire, et ce dû aux difficultés rencontrées lors

lutter contre l’inflation. 1. La notion d’inflation 1.1 Qu’est-ce que l’inflation ? Définition : C’est la hausse durable et généralise des prix de tous les biens et services La déflation, c’est la baisse des prix (taux négatif) alors que la désinflation, c’est la baisse du taux d’inflation. Les prix augmentent mais moins vite qu’avant. 1.2 Comment mesure t’on l’inflation ? En France, c’est l’Indice des Prix à la Consommation (IPC), qui est publié chaque mois par l’INSEE, qui fait la moyenne

L’économie espagnole est confrontée à de réelles difficultés. D’une part, la montée du chômage y est extrêmement rapide, et d’autre part, la réduction de l’inflation (désinflation) est intense comparée aux autres pays de la zone Euro, et la diminution générale et durable des prix (déflation) n’est pas à négliger. Ces difficultés peuvent en partie, être vues comme la conséquence d’une accumulation de déséquilibres. Ces déséquilibres auraient été masqués par l’intégration réussie de L’Espagne à la

de vente et la réglementation : l’entreprise doit respecter la réglementation applicable en matière de prix Ex : interdiction pour une entreprise de vendre à perte I. L’inflation 1 la définition et la mesure Pour qu’il y ait une inflation il faut : • Une hausse des prix • Que cette hausse soit généralisée • Que cette hausse soit durable C’est l’INSEE (institut national de la statistique et des études économiques) qui publie chaque mois l’indice du prix à la consommation

ralentie (sauf en France pour les années 75 et 93), il s’agit donc plutôt d’une période de croissance molle (expression de J.P. Fitoussi) - pas de chute des prix, au contraire, plutôt une inflation forte jusqu’au début des années 80. La combinaison inédite d’une stagnation de la production et d’une inflation a été baptisée stagflation - pas de baisse du pouvoir d’achat des ménages (rappel sur les déterminants du pouvoir d’achat) Alors qu’est-ce qui fait malgré tout parler de crise ? : -

< financ. réunification par emprunt et non impôt jusqu'en 1995 (=> ↑ i pour attirer K)[incohérence pol. budg. laxiste et monétaire rigide : ↑ déficit => ↑ i jusqu’au moment où la prime de risque ne suffit plus car on se méfie] ; < peur inflation et surchauffe (Buba se « venge » de la conversion 1/1 de l’Ostmark) ; => ↓ compétitivité prix ; France et autres pâtissent de changes fixes et d’inflation + forte qu’en Allemagne => ↑ change réel (≠ Allemagne) ; *(puisque système exagérément

difficile car elle implique la limitation des consommations matérielles dans les économies des pays développés. À ce titre, la protection de l'environnement est devenue un déterminant de l'évolution de l'économie mondiale. B. -- L'inflation et la désinflation 1 -- l'inflation. L'inflation est la hausse générale et prolongée des prix. En France, elle est mesurée officiellement par l'INSEE au moyen de l'indice des prix à la consommation (I. P. C.), calculé sur 303 postes. Les causes de l'inflation

manifeste par une hausse durable du niveau général des prix. Cette hausse se traduit par une baisse de la valeur de la monnaie qui perd ainsi une partie de son pouvoir d’achat. Il faut distinguer l’inflation de la déflation, de la stagflation et de la désinflation : • la déflation représente un processus auto-entretenu de baisse générale du niveau des prix, à la production comme à la consommation La délation est un signal de récession (contraction de l’activité économique et du PIB) qui se traduit par

d’inflation et de récession, on note l’existence de phases dites de « staglaflation » : l’existence de cette phase est la conséquence de chocs économiques (choc financier, choc pétrolier, choc climatique, guerre…) On a alors une stagnation et une inflation. En cas de non confiance, les banques vont augmenter leurs taux d’intérêt pour couvrir les risques de faillite potentiels. Nous sommes en ce moment dans une situation atypique puisqu’en moins de 3ans, le baril de pétrole est passé de 20 à 150$

meilleure est la situation économique d’un pays. Lorsqu’il se rétrécit, c’est que des déséquilibres apparaissent. Etant donné qu’il est très difficile d’atteindre simultanément les quatre objectifs de la politique monétaire , c'est-à-dire , une faible inflation et une balance équilibrée , un faible taux de chômage et une forte croissance , on peut donc en conclure que ce carré est dit « Magique » car il est irréalisable . 2) Croissance du PIB (%) Taux d’inflation (%) Solde de la balance (%)