Inflation Désinflation

l’intervention étatique keynésienne présentes depuis l’après-guerre. La responsabilité de la montée de la stagflation (=inflation + stagnation de l’économie) lui sont imputés. Les arrivées au pouvoir , donc, de M.Thatcher en 1979 et de R.Reagan en 1980 vont imposer des politiques dont la priorité est de lutter contre l’inflation. (Alors qu’auparavant : lutte : soit VS chômage soit VS inflation). L’Etat lui-même, sa légitimité à intervenir, sont remis en cause dans l’activité économique, ce qui présuppose

économiques : L'analyse des principaux indicateurs économiques montrent que le phénomène de stagflation remet en cause l'ensemble des équilibres économiques : Evolution des principaux indicateurs économiques français Année 1979 1980 1981 1982 1983 inflation 11.0 % 13.5 % 13.4 % 11.8 % 9.6 % croissance 3.4 % 1.5 % 1.2 % 2.6 % 1.5 % solde commercial - 45 - 102 - 105.4 - 153 - 106 Le Monde, Bilan du Monde 2000 Constats : la hausse de l'inflation atteint un pic en 1981. le déficit commercial se creuse

Inflation ou chômage, le gouvernement peut-il encore choisir ? LE MATIN    28 mai 2014 - 12h48   Rares sont les électeurs qui jugeront le gouvernement de Monsieur Benkirane sur la réduction du déficit budgétaire, l’augmentation des flux de capitaux étrangers ou encore la maîtrise du déficit commercial, tant ces notions sont loin de leurs soucis quotidiens et ne concernent qu’une minorité d’initiés qui arrive à faire le lien entre ces indicateurs et le bien-être général.  Ce qui intéresse le citoyen

politique d’alignement, politique de pénétration du marché). 2.3 Les prix de l’Etat Selon Nicolas Kaldor l’Etat à 4 objectifs économiques et sociaux : Inflation : hausse générale et continue des prix Déflation : baisse générale et continue des prix Désinflation : ralentissement du taux d’inflation Stagflation : stagnation du taux de croissance + inflation 

sont pas fait attendre. Dans la foulée de l'annonce, l'euro a dégringolé face au dollar et la Bourse de Paris s'est envolée, gagnant plus de 1%. Inflation faible, euro fort, La Banque centrale européenne cède ainsi à la pression. Depuis une semaine, les appels du pied se sotn multipliés pour qu'elle agisse. En cause la combinaison d'une inflation en zone euro extrêmement basse, puiqu'elle a atteint son plus bas depuis fin 2009, au mois d'octobre, à 0,7%, et d'un euro fort. Depuis le mois d'août

la compétitivité des pays, et pour que les réalignements se fassent sans casse, il fallait un contrôle des changes, sinon crise spéculative à chaque réalignement. * Les pays autres que l’Allemagne (à l’exception de la France) avaient une inflation beaucoup plus forte que l’Allemagne ce qui les forçait à avoir des taux d’intérêt beaucoup plus élevés que l’Allemagne pour stabiliser leur taux de change vis-à-vis du mark. * Ces pays ont donc subi une dégradation de leur commerce extérieur

peut aussi apparaitre dans un contexte où l’offre global recul. Les biens proposés diminuent, alors que la demande reste inchangée, il y a donc une hausse des prix qui entraine un nouvel équilibre. Il y a donc une récession de l’activité et une inflation Exemple type : les chocs pétroliers des années 1970 qui ont fait augmenter de manière considérable le prix du pétrole. Crise de l’offre : Vision libérale de la crise : lors d’une récession, il y a une baisse de la production, ce qui réduit le facteur

changes à partir de 1975. On met en place une politique de « monetary targetting » (de 1975 -1998) : c’est une politique de désinflation ; l’idée qui a émergée de cette politique était que l’inflation était un phénomène monétaire (si on laisse le taux de croissance de la politique monétaire aller au dessus du taux de croissance de la politique réelle cela peut induire à une inflation). La banque centrale affiche des objectifs de croissance monétaire pour contrôler les taux d’inflation, et depuis les taux

pendant laquelle ces indicateurs baissent. Ils sont liés aux vagues d'innovation. Croissance potentielle = Croissance que l’on peut obtenir si tous les facteurs de production (capital, travail, progrès technique) sont pleinement mobilisés sans inflation. Croissance effective = Croissance qui a été obtenue (croissance de la consommation des ménages et des dépenses publiques, croissance de la FBCF, croissance des exportations et variation des stocks) et qui dépend de la demande. Demande globale

puissance de la Chine, la France devient sur la période la 5e puissance économique. Quelques dates marquantes * 1975, plan de relance Chirac de 1975 représentant 2,8 points de PIB a été « ..un succès mitigé : croissance de + 4,4 % en 1976, forte inflation (+11 %) et un gros déficit du commerce extérieur .. » [28] * 1976 Raymond Barre devient premier ministre et commence une politique de rigueur * 1981, plan de relance Mauroy : d'un montant équivalent à «  1,7 point sur deux ans »[28] , il