Inflation Désinflation

conduit l’Iran à diminuer fortement ses exportations de pétrole. Cela provoque une nouvelle hausse du baril (2ème choc pétrolier). Ces augmentations successives du prix de l’énergie la plus utilisée dans les pays industrialisés provoque une forte inflation (par les coûts) et d’importants déficits commerciaux pour les pays importateurs. Cependant, les chocs pétroliers ne sont pas seuls responsables de la crise. Ils ne font que déclencher le processus d’épuisement du modèle fordiste de croissance. D’ailleurs

en 1950 et 475 en 1975) La récession (1975-1995). Les indicateurs de cette période économique sont, tout d'abord, une période de stagflation (stagnation de la croissance, croissance zéro), une forte inflation (à la différence des années 30) et une flambée du chômage, puis un période de désinflation à partir des années 80 (la croissance connait une reprise chaotique mais le chômage continue à croitre) Depuis 1995, la France connait une nouvelle croissance. B. Des mutations structurelles L'apogée

vie moyen. Croissance éco favorable à la création d’emploi. Croissance éco ↗ le niveau de vie (meilleure répartition des richesses). Le développement éco = prolongement de la croissance. Il suppose l’urbanisation, etc. Le PIB en volume (= hors inflation) taux de croissance éco = PIB en nominal____ indice des prix de l’année années 30 : croissance : 1,5 % par an → un cycle d’environ 10 ans 45 → cycles de croissance 30 Glorieuses : 4,5 % / 5% → cycle d’environ 4 à 5

(consommation, production, investissement, etc.). À l'inverse, une quantité de monnaie trop abondante met à la disposition des agents un pouvoir d'achat bien supérieur à la quantité de biens disponibles, ce qui peut provoquer une hausse des prix (inflation). 1.2 Les objectifs de la politique monétaire Les objectifs de la politique monétaire rejoignent ainsi les objectifs de la politique économique que sont la croissance (avec un niveau satisfaisant de moyens de paiement en circulation dans l'économie)

la variation du niveau général des prix. L’idée est que la variation du change est déterminée par le différentiel entre le taux d’inflation interne et le taux d’inflation à l’étranger. Une inflation nationale supérieure à l’inflation étrangère doit déprécier le taux de change national ; à l’inverse, une inflation nationale inférieure à l’inflation étrangère doit apprécier le taux de change national. Cette théorie a donné lieu à d’importants travaux empiriques dont les résultats sont contrastés :

dévaluation du franc. En 1926, il y a une inflation, c’est l’arrêt de la politique inflationniste: Poincarré va suivre une politique de désinflation dans le but de restaurer une confiance en la monnaie et une baisse de la chute de l’exportation (plan poincarré). En Allemagne, le pays finance son effort de guerre : création monétaire illimité (nombre de billet émis est sans limite), elle va financer sa reconstruction par la mm façon. De 1922-1923, il y a une hyper inflation car elle introduit une nouvelle

l'emprunt coute plus qu'il ne rapporte aux entreprise qui ont alors intérêt à se désendetter. Le rôle des banques s'est accru, mais la croissance du crédit se traduit par une forte augmentation de la monnaie en circulation, et donc par une inflation importante. Inflation et ralentissement des investissements (et surtout de l'autofinancement) marquent donc les limites de l'économie d'endettement. 2/ Le retour à une économie de marché financiers A/ la mise en place de nouvelle conditions économiques

------------------------------------------------- « Assiste-t-on à un retour du cruel dilemme ? » Inflation et chômage : actualité de l’arbitrage « W + 0,9 = 9,64/1,39U ». C’est ce type d’équation qu’a mis en évidence Phillips en 1957 à l’examen du lien entre tx de croissance des salaires nominaux et taux de chômage pour l’Angleterre entre 1851 et 1956. Samuelson est décédé en 2009 et il a contribué à populariser l’idée d’un cruel dilemme entre inflation et chômage et il se trouve que depuis la fin du XXe, cette idée d’arbitrage

centrales qui articule quand luttant l’efficacité contre l’inflation la banque centrale crée des instabilités financières. De nombreuses études ont alors mis en avant l’existence d’une multiplication des crises financières dans les périodes de faible inflation. Les néoclassiques quand à eux ont mis en œuvre l’existence d’un effet d’accélération financière qui explique que lorsque les cours boursiers augmentent, la prime de risque bancaire diminue et l’offre de crédit se développe au profit de la spéculation

d’atteindre le plein emploi. La politique monétaire doit jouer un rôle d’accompagnement. Il n’y aura pas de relance si la politique monétaire n’engendre pas une hausse de la demande. Limites : • endettement cumulatif : effet boule de neige • inflation • dégradation de la balance commerciale (1982 : hausse des importations) • fuite des capitaux flottants 2 – Les libéraux Position des libéraux en général : • partisans d’une relance par l’offre • Etat-gendarme • importance