Inflation Désinflation

sont élevés à cause de la faible concurrence. Pour résumer : • Création de monnaie → Inflation. • Faible élasticité de la demande de crédit → Taux d'intérêts élevés → Hausse des prix pour conserver les marges → Inflation et perte de compétitivité. • Faible capacité d'intervention des autorités monétaires 3) Un contexte international favorable au changement Les années 1980 sont une phase de désinflation (ralentissement de la hausse des prix). Les taux d'intérêts nominaux (prix du crédit) baissent

des obligations d’Etat et crée ainsi de la monnaie. Or, d’après les libéraux, qu’ils soient quantitativistes (Fischer) ou monétaristes (Friedman), toute augmentation de la monnaie plus rapide que celle de la production crée de l’inflation. Cette inflation est préjudiciable à la croissance : elle réduit le taux d’intérêt réel , ce qui désincite les individus à épargner, l’épargne diminue donc puis l’investissement. Elle réduit aussi la compétitivité-prix, ce qui fait perdre des parts de marché aux

Histoire du XXe siècle : 1973 à nos jours Vers la mondialisation Serge Bernstein, Pierre Milza | | Une longue crise insolite Le déroulement de la crise => Deux signes avant-coureurs : chômage (entre 2 et 3% des actifs) et inflation (jusqu’à 5% par an : croissance a exigé la création de monnaie, entreprises augmentent les prix pour préserver leurs marges). => Affaiblissement inexorable du dollar menace le S.M.I. => premier déficit commercial des États-Unis survient en 1971 => suppression

 conséquences  sur  le  chômage  de  masse.     Objectifs  :   -­‐ Être   capable   de   maîtriser   les   notions   suivantes  :   fluctuations   économiques,   crise   économique,   désinflation,  croissance  potentielle,  dépression,  déflation.   -­‐ Être  capable  de  montrer  les  relations  entre  croissance  et  fluctuations  économiques.   -­‐ Être  capable  de  distinguer

leurs dépenses. (document 2) On peut voir que la lutte contre les déficits publics est facteur de croissance : le déficit public fort de 1990 à 1995 aux Etats-Unis (- 4,5 % du PIB) a entraîné une faible croissance en moyenne (hausse du PIB hors inflation de 2,4 % par an); alors qu'en 97 et 99, le déficit devient progressivement un excédent (+ 1 % du PIB), ce qui permet à la croissance de s'accroître (le PIB réel augmente de 4,2 % par an). La France connaît le même « mouvement » mais à un degré inférieur

consécutifs. Dépression: (taux de croiss – du PIB) diminution de PIB Reprise: point de retournement du cycle vers une période d’expansion. Croissance/expansion: augmentation du PIB Inflation: augmentation du niveau général des prix. Déflation: diminution généralisée des prix, salaires et masse monétaire Désinflation : ralentissement du rythme de l’augmentation des prix. - D’autres indicateurs des mvmts conjoncturels de l’activité éco Augmentation du taux de chômage ; baisse du taux d’investissement

ETAT PROVIDENCE : état intervint pour assurer équilibre des marchés quand défaillants, en pratiquant politique sociale de prise de risques collective + fonctions régaliennes MUSGRAVE (fonction état moderne) : fonction régulation (chômage, inflation) + redistribution (taxes, prestations sociales) + affectation (investissement pour palier investissement privé) TRAVAIL TRAVAIL : efforts physiques et intellectuels fournis par l’homme POPULATION ACTIVE : personne en âge de travailler et

prix Taux de croissance moyen annuel diminué de plus de la moitié par rapport aux années 60 Cela s’explique par le recul des ……………………………. Taux annuel moyen d’augmentation des prix : envolé En 1974/1982 : 12% - 1965/1973 : 5% Après 1983, désinflation, une reprise fragile On peut dire que l’économie française a profité de la baisse des prix du pétrole et de la politique gouvernementale Hausse des prix tombés en-dessous de 5% en 1983 Taux de croissance redressé entre 1987 et 1989 Montée

(année de base, échantillon, ….) - Evolution (taux d’inflation) 1-2-1-2- Définition de l’inflation ( distinguer inflation, désinflation, déflation et stagflation). 1-2-1-3-Types d’inflation : inflation rampante, inflation déclarée, inflation galopante et hyperinflation ; 1-2-2- Le dysfonctionnement sur le marché du travail : le cas du chômage

était fondamentalement saine, c'est-à-dire pas encore «contaminée» par l'État-providence. De la fin de la Seconde Guerre mondiale au début des années 70, les « Trente Glorieuses » sont dominées par le Keynésianisme triomphant. Certes, il y a une inflation rampante, mais on considère que c'est le prix à payer de la croissance et du plein emploi. Friedman assumera sa relative traversée du désert sans relâcher ses critiques à l'égard du Keynésianisme. Dans sa Théorie de la fonction de consommation, 1957