Inflation Macroéconomie

Ricardo, Say, Marx) selon laquelle il existe une macroéconomie sans microéconomie - théorie néoclassique ou marginaliste, de 1850 à 1920, (Walras, Marshall…) qui donne naissance à la microéconomie - théorie keynésienne, à partir de 1930, qui procède à partir d’une analyse macroéconomique L’approche microéconomique consiste à chercher l’explication des phénomènes éco à partir des choix individuels et qui s’oppose en ce sens à la macroéconomie qui porte son analyse sur des quantités globales ou

niveaux de vie dépend essentiellement des différences de productivité entre les pays- c’est-à-dire de la quantité de biens et de services produits par heure travaillée. Principe #9 : Les prix montent lorsque le gouvernement émet trop de monnaie. Inflation : Augmentation générale du niveau des prix. Dans la majorité des cas d’inflation l’origine est la création de monnaie. Lorsque l’État émet de grandes quantités de monnaie, la valeur de celle-ci s’effondre. Principe #10 : À cpurt terme, la société

et qu’il est anodin lorsqu’il s’agit des transferts de réserves en dernier ressort. Ce qui est faux. Plus largement, cette controverse aura été à l’origine des futurs débats sur la monnaie. B. Friedman et la règle Pour Friedman, dans Inflation et système monétaire, les banques centrales indépendantes manquent de légitimité théorique pour plusieurs raisons. D’abord, d’un point de vue économique, à cause de la « dispersion des responsabilités, qui favorise le rejet des responsabilités en

proche du carré magique. Ce carré est qualifié de magique car irréalisable. Dans la réalité, il est très difficile d'atteindre simultanément les quatre objectifs de la politique monétaire : une forte croissance avec un faible chômage, une faible inflation et une balance commerciale équilibrée. En fait plus la surface du quadrilatère correspondant aux statistiques d'un pays à une période s'éloigne de la surface idéale du carré magique, plus la situation se détériore. Kaldor donnera pour objectif aux

nominal w, la baisse du salaire réel w/p suite à une montée de l'inflation symbolisée par une hausse de p est pour lui possibleN 1. Cela conduira le courant de la synthèse néo-classique à utiliser la courbe de Phillips dans le cadre d'arbitrages entre inflation et chômage. Le keynésianisme est l'une des plus importantes théories macroéconomiques. Il désigne la doctrine développée par John Maynard Keynes, notamment dans la "Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie". Keynes y défend

MACROÉCONOMIE Chapitre 1 Qu’est-ce que la Macroéconomie ? 1. L’objet de la macroéconomie 1 1.1 Les acteurs - les ménages formulent une demande de biens et une offre du travail. - les entreprises formulent une offre de biens et une demande de travail (ainsi qu’une demande de biens nécessaires à la production). Les ménages et les entreprises ont un rôle complémentaire. - l’etat met en œuvre une politique économique (soit une politique budgétaire déterminant un montant de dépenses

économique (ensemble des décisions prises par les pouvoirs publics ayant pour but de répondre à des objectifs que l’Etat se fixe, déterminés par la nécessité de rétablir des équilibres économiques jugés souhaitables pour la collectivité nationale). La macroéconomie est très importante depuis la crise de 1929 : c’est à cette époque que l’on s’est rendu compte que seul l’Etat étai capable de rétablir certains équilibres, comme l’a prôné Keynes. La microéconomie est l’étude des processus de décision des individus

Henri Sterdyniak Fiche de lecture :__**__Michel Aglietta, Macroéconomie internationale. In: Revue de l'OFCE. N°66, 1998. pp. 229-240. Citer ce document / Cite this document : Sterdyniak Henri. Fiche de lecture :__**__Michel Aglietta, Macroéconomie internationale. In: Revue de l'OFCE. N°66, 1998. pp. 229-240. http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/ofce_0751-6614_1998_num_66_1_1514 Revue de l'OFCE n° 66 / Juillet 1998 Fiche de Lecture Michel Aglietta Macro économie

l’incertitude sur les rendements réels et à favoriser les calculs économiques des agents, aussi bien domestiques qu’étrangers. Figure 31 — M  aroc : inflation et inflation sous-jacente, 1999-2013 (en pourcentage) 5,0 4,5 4,0 3,5 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 0,5 0,0 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 Inflation Inflation sous-jacente Source : Haut-Commissariat au Plan et calculs de Bank Al-Maghrib. Cependant, depuis quelques années l’économie marocaine enregistre des

individuels. Tandis que le holisme prend pour point de départ la totalité (une société donnée) pour étudier comment s’y insèrent les décisions des parties (B. Guerrien, 1996, pp. 241 & 253). La microéconomie repose sur la première méthode, la macroéconomie sur la seconde. n Mais aucune de ces deux méthodes ne sont pleinement satisfaisantes pour l’économiste, car elles sont partielles. Plus largement, chaque approche, ricardienne, économétrique, marxiste, régulationniste... comporte des avantages