Inflation

parfois diminué. Globalement toutefois, la France connaît une inflation moyenne positive puisque sur un siècle les prix ont été multipliés par 20. Doc 7 Les périodes de forte inflation sont les périodes de guerre et d'après-guerre, les années 20 et les années 70. Si nous nous intéressons à l'histoire récente, nous constatons l'alternance d'une inflation forte dans les années 70 suivie d'une désinflation dans les années 80 puis d'une inflation maintenue à un faible niveau depuis: Doc 27 Alexis Direr

existe une relation entre chômage et inflation. Celle-ci est appelée la courbe de Phillips. Pour faire simple : quand il existe un déséquilibre sur le marche du travail, l'ajustement se fait par les salaires. Concrètement, quand le chômage augmente, autrement dit l'offre de travail augmente. Les salaires baissent (inflation diminue) pour retourner à l'équilibre. A l'inverse quand le chômage baisse (offre de travail diminue). Les salaires augmentent (inflation augmente). Il existe une relation

court terme, elle est moins préjudiciable lorsque les taux de primes peuvent être ajustés. Encore faut-il que les réglementations ou lʼenvironnement concurrentiel le permettent, ce qui nʼest pas toujours le cas. Les périodes prolongées de forte inflation sont donc très coûteuses pour les assureurs non-vie. Cependant, les assureurs disposent dʼautres instruments dʼatténuation du risque dʼinflation ; Les contrats peuvent être conçus de sorte à réduire lʼimpact de lʼinflation. Par exemple, lʼintroduction

- Keynésianisme (qui trouve toute son ampleur après 45) ● Dans les années 70, accélération très forte des économies → déséquilibres → innovations négatives, c'est à dire la stagflation (stagnation économique (chômage) + inflation) ● Innovation négative Phillips « inflation et chômage fonctionnaient de manière inverse » explication : Courbe de Phillips = relation négative entre taux de chômage et taux des variations des salaires monétaires au RU, période 1861-1957 Courbe de Phillips L'indice

d'inflation. Admettons que je prête 100.- à un taux de 7%, avec une inflation de 5%. Après une année, je recevrai 107.-. Mais, à cause de l'inflation, mon pouvoir d'achat aura diminué de 5%. C'est-à-dire, qu'en termes réels, avec 107.- je ne pourrai obtenir que 2% de biens supplémentaires qu'avec 100.- l'année précédente. Le taux d'intérêt réel est donc de 2%. Pour une même somme de 100.-, un taux d'intérêt de 5% et une inflation de 2%, je recevrai 105.- à la fin de l'année. Ceci représentera une

de ceux-ci a peu d’effet, et n’influence donc que très peu l’économie réelle. On constate donc qu’une augmentation de LM, c'est-à-dire de la masse monétaire, ne modifie en rien le taux d’intérêt, ni le revenu. Elle ne se traduit que par une forte inflation. La politique monétaire est donc inefficace en situation de trappe a liquidité, contrairement a la politique budgétaire. En effet, l’efficacité de la politique budgétaire est maximale en situation de trappe a liquidité car il n’y a pas d’effet d’éviction

Une longue crise insolite (1973/1983) Le déroulement de la crise. Deux signes avant-coureurs : chômage et inflation. C’est au milieu des années soixante que se manifestent les premiers signes de la crise économique. Le chômage, qui concerne 2 à 3% des actifs, tend à augmenter avec la modernisation technique de la production. Le flot de demandeurs d’emplois issus de la génération du baby-boom ne peut être absorbé par la croissance économique. Le problème de l’inflation soutient celui du

dollar de toute contrainte de convertibilité ». Cette décision de Nixon aura des conséquences de grande ampleur. Tout d’abord, il y aura une inflation, c’est-à-dire une augmentation des prix. En effet les taux de l’inflation dépassent les 10%. Par exemple, le taux d’inflation de la France en 1975 avoisine les 9% ce qui représente un taux astronomique. Cette inflation est également due à l’aide américaine aux pays appartenant au bloc occidental. De plus cette aide est de plus en plus notable. Des faillites

économiques, sociaux,culturels - travail - protec.- religion - production sociale- civilisation - capital - valeurs - progrès technique- ….. PIB en valeur : nominal = euros courants (= PIB en volume x inflation) PIB en volume : réel = euros constants (= PIB en valeur ) inflation TCAM (taux de croissance annuel moyen) : √taux global – 1 x 100 taux global : ensemble des coef. Multiplicateurs multipliés ensemble La moitié de la croissance inexpliquée peut provenir du progrès technique

croissance économique ? Les banques, grâce aux prêts, stimulent l'investissement et la consommation : expansion Les banques s'adaptent à la conjoncture économique (cycle du crédit), ce qui induit accroissement du cercle vertueux/vicieux avec inflation/déflation. Définitions Fluctuations économiques : l’ensemble des mouvements de ralentissement ou d’accélération du rythme de la croissance économique Trend : tendance générale dans laquelle s’inscrit l’évolution d’un phénomène économique