Inflation

pays : croissance, recherche de la stabilité des prix, recherche du plein emploi, recherche de l’équilibre extérieur. Ces 4 objectifs sont traduits par des indicateurs économiques mesurables : PIB, solde de la balance des paiements, chômage et inflation. b- Construction et analyse du carré magique Chaque indicateur est reporté sur un axe, selon sa propre échelle, qui varie en fonction du niveau de développement et de l’avancée du cycle économique du pays : Exemple : niveau de croissance

 Etude de Cas N°1 Les facteurs d’augmentation des coûts dans l’analyse keynésienne La courbe de Phillips fut mise au point par l’économiste néo-zélandais Alban William Phillips en 1958. Elle repose sur une relation liant chômage et inflation. Cependant, elle a soulevé de nombreuses polémiques amenant les économistes de la seconde partie du XIXème siècles à revoir son fondement. Notre étude portera sur son modèle originel et ses réinterprétations selon le modèle Keynésien et monétariste.

importante inflation C’est une particularité de la période des trente glorieuses, la croissance s’est accompagnée d’une importante inflation ; Cette inflation est née de la pénurie de l’après guerre et a persisté car la croissance s’accompagne d’une augmentation de la masse monétaire. L’inflation est une menace pour la croissance seulement si cette inflation augmente en même temps qu’une hausse des prix des matières premières comme lors de la deuxième moitié des années 60. inflation important entraine

conjoncturelles de relance s’avèrent inefficaces voire néfastes, puis recyclée par les nouveaux keynésiens au sein du modèle WS-PS. 1. L’interprétation keynésienne Dès 1960, Lipsey substitue à la variable « salaires nominaux » une variable « inflation » dans le modèle de Phillips. De fait, l’augmentation des salaires nominaux est intimement liée à l’inflation. Elle entraine une augmentation de la demande et une augmentation des coûts de production pour les entreprises qui se traduisent tous deux

2002, PIB réel change 3.6) PIB et niveau de vie - Production domestique - Économie souterraine : travail au noir, drogue, prostitution - Composition de la production : armements? - Répartition du revenu - Environnement 4- Inflation 4.1) Définitions - Inflation : hausse du niveau moyen des prix - rampante : 0 - 10% - galopante : 10 – 100% - hyperinflation : + de 100% - Déflation : baisse du niveau moyen des prix 4.2) Mesure de l’inflation - IPC : indice des prix à la consommation

45% 1930 Fr. * * Situation monétaire : planche à billets, gfmt monnaie fiduciaire (X5 Fr). taux de couv baisse. All monnaie s’écroule 23, perte conf face au $ (stock or). Volonté défausser monnaie ? inflation. * * Situation aggravée All : « malheurs aux vaincus » Poincaré (Keynes prévient) : pr régler réparations, All P, exporte et doit attirer capitaux hausse TI seuls EU sans plus. Rép Weimar perd crédit

l'accroissement du niveau de vie même si elle engendre des couts par la détérioration de l'environnement. Ceci est la théorie de la croissance qui va s'efforcer d'analyser les facteurs de la croissance mais aussi des causes du sous développement. inflation= augmentation des prix, valeur de la monnaie, due à une forte augmentation de la croissance Le pouvoir d'achat de la monnaie reste t'il constant ou est il amputé par l'inflation? On cherche le rythme d'émission de la monnaie compatible avec la

des effets macro économiques durables sur la compétitivité, la croissance et l'emploi. En termes d'environnement l'inflation réduit la capacité de prévision économique des agents (ou horizon temporel), accroît le risque, et provoque de l'auto-inflation. Faute de capacité à prévoir l'évolution des prix sur le moyen terme, les entreprises reportent leurs projets non stratégiques, compte tenu de l'incertitude des conditions de rentabilité future des projets d'investissement. Cependant des opérations

monétaire interne = gestion en interne sur la zone euro Obj : trouver un juste milieu car quand il y a bcp de monnaie, elle perd de sa valeur et quand on a peu de monnaie, elle prend de la valeur Peu de monnaie=déflation, resetions Trop de monnaie= inflation La déflation entraine la stagflation. Arrête de la production OBJ du PMI -Prévenir ou corriger les insuffisances de liquidité -Prévenir et corriger les augmentations excessives de la masse monétaire Pol monétaire externe = réguler les relations

situation, donc il remplit sa mission, même si ce qu’il dit est original pour quelqu'un qui est censé nous rassurer. Analyses de risques économiques : toutes les flèches sont à la hausse. Hausse de la gravité, hausse de la probabilité du risque, inflation ou déflation non gérable, volatilité extrême dans l’énergie et les matières premières etc… Ce qui est intéressant c’est en haut de l’échelle de gravité il y a le risque d’échec financier systémique qui stagne voire diminue. Analyses de risques environnementaux