Influence D Autrui Sur Soi

l’individu dans le groupe (ou les groupes). Cela signifie que l’individu ayant une personnalité singulière est influencé par les groupes dans lesquels il se trouve. Ce sont ces influences qui vont intéresser la P. S. Comment le groupe va contribuer à forger une identité ? On étudie le sujet par rapport à l’objet. Comment autrui influence ma personnalité ? Notion du sujet-Alter-Objet. Cette influence sociale est à la fois de manière implicite (= on ne s’en rend pas compte) ou explicite (= on en a conscience)

frères qui l’avait entretenu dans l’humain » (dans Robinson Crusoe ) : autrui fait de nous des êtres humains. Etre en contact avec autrui, c’est apprendre. L’humanité est quelque chose qui s’apprend au fur et à mesure, s’humaniser est un long processus sans fin (on peut parfois régresser). « On ne nait pas homme, on le devient » (Erasme XVIIème siècle). On pourrait compléter la citation par « …grâce aux relations avec autrui ». « Pas de « je » sans « tu » » (Martin Buber XXème siècle). « Je » :

a son bonheur. Plus généralement le bonheur se définit comme étant État de satisfaction parfaite, de contentement du corps, du cœur et de l'esprit Cependant l'Homme n'est pas seul et se voit contraint de vivre en société et par conséquent avec autrui. Autrui est un terme signifiant celui qui diffère de moi mais aussi celui qui me ressemble. Nous en arrivons donc a nous demander si L'Homme est-il maître de son bonheur ou son bonheur dépend-t-il d'autrui ? Dans une première partie nous verrons pourquoi

est l'acte transcendantal (1) d'un être libre. Ainsi être vu me constitue comme un être sans défense pour une liberté qui n'est pas ma liberté. C'est en ce sens que nous pouvons nous considérer comme des "esclaves", en tant que nous apparaissons à autrui. Mais cet esclavage n'est pas le résultat -historique et susceptible d'être surmonté - d'une vie à la forme abstraite de la conscience. Je suis esclave dans la mesure où je suis dépendant dans mon être au sein d'une liberté qui n'est pas la mienne

dans sa citation : «L’important ce n’est pas ce qu’on a fait de nous, mais ce que nous-mêmes nous faisons de ce qu’on a fait de nous. », qui a pour thème principal la liberté de l’homme à agir, penser et réagir par lui-même. Ce n’est pas autrui qui va influencer nos choix car nous sommes les seuls à pouvoir décider ce qu’on deviendra plus tard. Ce n’est pas parce que telle personne nous attribue une identité que nous le sommes, mais au contraire, que c’est nous-mêmes qui définirons ce que nous serons

ressemblance ( a ) et on peut voir ensuite comment la proximite se manifeste : c est la question des influences reciproques ( b ) A. Des ressemblances apparantes - droit et morale posent tout deux des regles. Un ex de regle morale : " ne faite pas a autrui ce que vous ne voudriez pas qu on vous fasse " / Regle de droit : art 1382 code civil : " tout fait quelconque de l homme. Qui cause a autrui un dommage oblige celui par la faute duquel il est arriver a le reparer " - la distinction est parfois

conscience morale influence – et c’est heureux – notre existence. Elle représente donc un certain lien pour nous. Mais du lien à l’aliénation, il y a une grande marge car l’aliénation est souvent comprise comme absence totale de liberté, voire comme folie. Il s’agit donc pour nous de reconnaître dans un premier temps que notre conscience morale nous lie et qu’elle nous lie au bien, dans un second temps nous envisagerons les cas où le poids de notre conscience morale exerce une telle influence sur nous

vraiment être soi-même à tous les moments de la vie ? De plus, nous vivons dans une société où le regard d’autrui est important. On cherche donc à se faire faire bien voir pour être apprécier des autres. Ne joue-t-on pas un rôle en voulant plaire à autrui ? Est-ce vraiment nous-même ? Etre soi-même revient à dire avoir conscience de soi. La conscience est la connaissance que l’esprit a de lui-même. Autrement dit, la conscience est le savoir, ce qui permet de comprendre nos sentiments et nos pensées

conscience de soi suppose-t-elle autrui ? Selon Descartes et son cogito, « je pense donc je suis », le fait de penser fait exister l’individu en tant que tel. Il semble que nous nous pensons nous-mêmes, que nous sommes les mieux placés pour forger notre conscience de soi. Pourtant, il arrive que nous fassions des choix différents selon l’opinion et l’avis d’un autre individu qui nous entoure. D’où cette question perplexe : La conscience de soi suppose-t-elle autrui ? A première vue, être conscient

savoir si autrui est un obstacle ou pas à notre réflexion critique, notre pensée, puisque la solitude serait, à priori, une condition nécessaire de la pensée, c’est-à-dire, au contraire d’une notion contingente, ce qui doit être. On se demande alors si cette condition, autrement dit, une sorte de norme, voir d’obligation, est absolument nécessaire au fait de penser. La solitude étant l’état d’un individu, que ce soit ponctuel ou durable, isolé, qui n’est pas engagé dans aucun rapport avec autrui, c’est-à-dire