Ingénieur des mines

Henri Fayol Biographie Elève de l'école des mines de Saint Etienne, Henri Fayol (Constantinople, 1841 - Paris, 1925) débuta à 19 ans comme ingénieur, puis directeur de la mine d’un groupe minier et métallurgique, la Compagnie de Commentry-Fourchambeau-Decazeville alors en grande difficulté, avec pour mission de liquider les activités en pertes. Malgré les problèmes rencontrés, il réussit à redresser rapidement la situation. Selon lui, ces succès sont directement liés à l’application de

FAYOL -Max WEBER Les principaux héritiers : -Alfred SLOAN -Peter DRUCKER -Octave GELINIER I F.W.TAYLOR (1856-1915) A L’auteur -D’abord apprenti dans 1 atelier mécanique -Il devient ouvrier ds la Midvale Steel -puis chef d’équipe et ingénieur en chef Il quitte la Midvale Steel pour créer son entreprise Il devient ensuite consultant en organisation ind. En particulier à la sté Bethlehem steel où il a réalisé des exp. Qui l’ont rendu célèbre Il connaît l’E comme ds sa poche Descendant

emploi. Il se fait embaucher aux mines de Montsou et connaît des conditions de travail effroyables (pour écrire ce roman, Emile Zola s'est beaucoup documenté sur le travail dans les mines). Il trouve à se loger dans une famille de mineurs, les Maheu, et tombe amoureux de la jeune Catherine. Mais celle-ci est la maîtresse d'un ouvrier brutal, Chaval, et bien qu'elle ne soit pas insensible à Étienne, elle se refuse à passer d'amant en amant. Lorsque la Compagnie des Mines, arguant de la crise économique

aspects techniques de l'extraction minière, les conditions de vie dans les corons et nous montre les débuts de l'organisation politique et syndicale dans le milieu ouvrier. Avant d'écrire cette œuvre, Zola va se documenter et se rendre dans les mines du nord et descendre au fond. Il va même participer à la grève d'Anzin en 1884 au cours de laquelle 12 000 mineurs ont fait grève pendant 56 jours. Zola laissera des carnets d'enquête sur les corons ( cité composée de maisons identiques alignées les

Il se fait embaucher aux mines de Montsou et connaît des conditions de travail effroyables (pour écrire ce roman, Emile Zola s'est beaucoup documenté sur le travail dans les mines). Il trouve à se loger dans une famille de mineurs, les Maheu, et tombe amoureux de la jeune Catherine. Mais celle-ci est la maîtresse d'un ouvrier brutal, Chaval, et bien qu'elle ne soit pas insensible à Étienne, elle se refuse à passer d'amant en amant. Lorsque la Compagnie des Mines, arguant de la crise économique

est le directeur général des mines de Montsou. Issu d'une famille pauvre, orphelin, il a fait l'École des Mines pour devenir ingénieur. Il a épousé la fille d'un riche filateur d'Arras, mais, époux malheureux, trahi par sa femme qui le trompe avec son propre neveu Négrel, il connaît une autre forme de misère que celle des mineurs, la misère morale. Face à la grève, il ne prend aucune décision et laisse gâter les choses. Mme Hennebeau, femme du directeur des mines de Montsou. Blonde, sensuellem

des Mines de Montsou ; oncle de Paul Négrel. Découvre que sa femme est l'amante de Négrel. Il la désire et n'aime pas sa vie. Il est dépassé par la révolte des mineurs et est incapable d'analyser la situation et de prendre des décisions. Mme Hennebeau : Mariée à M. Hennebeau, fait chambre à part, n'aime pas son mari, le trompe plusieurs fois et couche avec Négrel. Grande bourgeoise méprisante, elle ne se préoccupe que d'elle même. Paul Négrel : Neveu de M. Hennebeau. Ingénieur des mines de la

Karol Blaskowitz, capitaine cartographe de l'armée anglaise, arrive en 1802, et Aleksander E. Kierzkowski, ingénieur qui devient politiquement engagé dans la circonscription de Saint-Hyacinthe en 1867, arrive en 1841. Au sein des régiments suisses qui ont combattu à Fort Barrie en 1812, on retrouve une douzaine de Polonais ayant appartenu aux légions napoléoniennes. Sir Casimir GZOWSKI, ingénieur civil renommé, constructeur de chemins de fer et activiste social, arrive des États-Unis en 1842. Izaak

les troupes anglaises, le 10 avril 1945 (Mariette Job, son éditrice et nièce, qui apporte ces précisions, suggère cette date sans la préciser formellement). Hélène Berr était la fille de Raymond Berr (1888-1944), polytechnicien (X 1907), ingénieur du corps des Mines, vice-président de l'entreprise Kuhlmann (qui fusionnera plus tard avec Péchiney), déporté par le même convoi qu'elle le 27 mars 1944, le "Convoi No. 70". Sa mère, Antoinette Berr (1891-1944) est également déportée dans ce convoi3. Le nom

suivi par l'exploitation des placers, puis par l'exploitation minière de gisements filoniens d'or, d'argent, d'étain, de plomb, de mercure et de cuivre, souvent en ayant recours au travail forcé. En Amérique du Nord, le maître-mineur Simon, un ingénieur minier voyageant avec Samuel de CHAMPLAIN, signale la découverte d'argent et de fer en Acadie en 1604. Des affleurements de charbon le long des côtes de l'île du Cap-Breton sont connus des premiers marins et des colons. En 1643, on rapporte qu'un