Ingénu Registre Pathétique

Le théâtre genre et registres I) La comédie et le comique. A) Historique 1) La comédie antique. La Comédie Antique née en Grèce dès le VIe siècle avant J-C, connaît son apogée durant la démocratie Athénienne. Les représentations théâtrales donnaient lieu à des concours lors des fêtes en l'honneur de Dionysos. Les représentations se faisaient aussi sous forme de Carnaval. La Tragédie, était donc une cérémonie à la fois religieuse et civile, représentée dans des théâtres

des rois. » La critique des ministres du roi est faite dans le discours du "petit homme noir" : "on a trompé ce grand roi [...] on a donné atteinte à la magnanimité de son cœur." Lorsqu'un "petit homme noir prit la parole", on peut voir le registre pathétique. L'Ingénu se met à pleurer quand cet homme lui raconte le sort des "cinquante mille familles fugitives et de cinquante mille autres converties par les dragons". Conclusion à venir. Alice, Clélie et Alexandre Fin du chapitre VIII L’Ingénu

transmet une morale, dégage une leçon. Aussi, au loup qui a fait preuve de trop d'avidité, Renart affirme : "Celui qui convoite tout perd tout". De plus, en jouant sur les sentiments du lecteur, par exemple la pitié, l'émotion, donc à l'appui du registre pathétique, la fiction élargit le champ d'action de l'auteur, et lui permet de toucher le lecteur et donc de transmettre un message plus efficacement. Dans son essai De la Conscience, Montaigne utilise une anecdote afin d'illustrer son propos, la confusion

plaisant : apologue Ici, on annonce en effet un récit moraliste. Pour le lecteur du 18ème siècle : il ne faut surtout pas reproduire les mêmes erreurs que cette jeune fille. III Registre pathétique. En quoi le registre pathétique donne-t-il une portée didactique (enseignement) Manon : enchaînée par la taille, sale. Elle a honte de sa situation ; elle éprouve des regrets. Honte, elle se cache : « elle dérobe son visage » l. ; « tâchait de se

d’où-t-il est renvoyé à Constantinople dans une métairie ou il s’installe avec tous ces compagnons. Candide est le personnage principal de l’histoire, il apparait à tous les chapitres. Au fil de son périple l’on suit l’évolution de son regard naïf et ingénu et de son opinion sur l’humanité, ou il perd peu à peu son optimiste. La fantaisie et l’imaginaire : 7) Le rythme de l’ensemble de ce conte est rapide. L’auteur ne nous donne pas d’indication dans le temps juste le lieu, chapitre 1 « Il y avait »

début à « ...vous l’ôter » ¤ Des points de vue et récits différents sur un même épisode : - En fonction du destinataire : lettres LXXXV et LXXXVII de Merteuil à Valmont et à Mme de Volanges sur Prévan ; ton triomphant pour l’un et pathétique pour l’autre -> impact différent, mise en évidence de 2 facettes du caractère de Merteuil (orgueil devant sa propre habileté ; duplicité de la dissimulation pour garder apparences et donc bonne relation avec mère de Cécile) - En fonction

voltairiens. Études transversales et/ou thématiques : - Définition, rôle du conte philosophique: les fonctions de l'apologue. - Les Lumières. - Variété des registres: burlesque, ironie, lyrique, pathétique, épique. - Rapprochements entre Candide et L'Ingénu. - Les cibles de l'auteur, la dénonciation des vices à travers le regard de deux ingénus: le héros éponyme et Mademoiselle de Saint-Yves. - Lexique: pastiche, parodie, humour, ironie, convaincre et persuader. Séquence 1 : Œuvre intégrale :

mourir. Nous chercherons à savoir comment ce dénouement allie la sensibilité et l'esprit critique? Dans une première partie on étudiera le  dénouement tragique : la mort d'une femme héroïque. Puis dans un deuxième temps, on  verra que la scène est pathétique et sensible. Enfin dans une dernière partie, on s’attachera à la réflexion polémique sur la mort et le suicide que développe le passage.  | I. Un dénouement tragique : la mort d’une femme héroïque |  A. Portrait d'une héroïne exemplaire : noblesse

lieu, on ne peut nous transporter sur le champ de bataille. Boileau a dit Ce qu'on ne doit point voir qu'un récit nous l'expose.La tragédie classique gagne à ne pas tout raconter, elle gagne en dignité, elle s'éloigne ainsi du mélodrame. Pas de pathétique facile, d'effet facile sur le spectateur. On ne vibre pas devant le spectacle d'actions extérieures mais de leurs répercussions intérieures dans l'âme des personnages. Cette scène remplit son rôle de scène d’exposition en ayant recours à plusieurs

et tout au long, elle est naïve, ingénu car elle manque d'éducation. Les femmes à l'époque sont considérés comme inférieur, elle n'ont pas le droit de décidé de leur vie, St-Yves à été enfermé au couvent contre son gré. Elle manque de sens critique et d'autonomie car elle se confie pour qu'on l'aide, elle ne se voit pas décidé seule. Il s'agit d'un personnage sensible qui a une fonction dramatique, c'est une scène romanesque sentimentale, le registre est pathétique qui plaît à l'époque. Belle et désolée