Ingénu Thèmes

attribue des formes toujours changeantes 21 . ») « Durant le premier millénaire, sa présence est assez discrète. Il est peu représenté dans l’art et reste un sujet de discussions dans les cercles étroits et cultivés. À l’approche de l’An Mil, les thèmes de la fin des temps sont remis à l’honneur avec le dragon de l’Apocalypse qui, enrichi du mythe de Lucifer et du serpent de la Genèse, donne naissance au personnage du Diable. Cependant, durant tout le Moyen Âge, de nombreuses légendes dédramatisent

factice. Et pourtant ... ces metteurs en scène que personne ne peut soup­çonner de lyrisme, Karge et Langhoff, vont lais­ser s’épanouir la joie de Lioubov et Gaev lorsque, réunis après cinq ans, il les fait danser à l’aube comme un couple adultère et ingénu parmi les arbres que l’on aperçoit d’une cerisaie que l’on devine. Elle existe alors comme métonymie agissante ... et la danse presque grotesque de ces deux enfants vieillis ouvre les vannes d’un imaginaire dérisoire A Tôkyô, Clifford Williams,

scène du portrait dérobé (première partie) ; – l’aveu « extravagant » ; – l’amant dissimulé ; – les types romanesques : la princesse comme « belle sans merci » et Nemours comme « amoureux transi ». 35 Réponses aux « … à vous… » XVIIe siècle Thèmes galants et précieux – l’art de la conversation (dont Nemours est un maître) ; – l’idéalisation courtoise et aristocratique des valeurs amoureuses ; – jeux sur la carte du Tendre ; – un certain féminisme précieux : la question de la liberté amoureuse

décorative ce monde qui lui tenait tellement à coeur. Surtout, dans cette œuvre, supérieure aux “Claudine”, rendant plus pudique sa description des relations amoureuses, elle approfondit son investigation psychologique tout en restant fidèle aux grands thèmes de ses livres précédents, “La retraite sentimentale”, “Les vrilles de Ia vigne”. ) à des personnages mi-ressemblants, mi-inventés, Colette .Sa sensibilité fut ici plus douloureuse, mais garda toute la pudeur habituelle de l'expression, dédaignant

les clefs d’un paradigme lockéen-smithien, assis sur la conception d’une nature humaine dangereuse, mais apaisée par la prospérité. Bien au-delà de la pensée de Locke, mais tout en récupérant une partie de son héritage, les tenants d’une vision ingénue de la nature humaine, ceux que Sheldon Wolin appelle les radicaux 65, tels Tom Paine et William Godwin en Angleterre, Jean-Jacques Rousseau et Condorcet en France, récusèrent tout pouvoir coercitif. Globalement, ils soutenaient l’hypothèse d’une

(qu’un Barrès ne cache point) d’accroître la jouissance de lui-même par lui-même, la conscience du moi individuel décuplant sa profondeur par la conscience du moi national (en même temps que l’artiste puise dans cette seconde conscience de nouveaux thèmes lyriques) ; on peut admettre ainsi que l’artiste n’est pas sourd à son intérêt en se disant l’expression du génie de sa nation et en conviant ainsi toute une race à s’applaudir elle-même dans l’œuvre qu’il 1 Encore que, là aussi, les Allemands semblent

J’ai la certitude que la mort est un triomphe.» (page 207). Devant le spectacle de «plusieurs voies surélevées» qui se croisent, Constance Chlore croit qu’est arrivée «la fin du monde» (page 223). - son dévouement constant à l’égard de Bérénice : «Ingénue, secourable, elle s’est sacrifiée à mon salut : tout ce qu’elle trouve, en elle ou ailleurs, qui puisse faire ma joie, elle me le donne» (page 196). «Elle ne parle d’elle que pour me demander si elle m’ennuie.» (page 198). Dans son souci de sauver

conceptions artistiques", dans Morale du joujou, Pl. I, p. 583); dans la strophe suivante, communion avec la nature que permet "un sentiment vif et intime des choses", "un sens à part" (Sainte-Beuve, Les Pensées de Joseph Delorme, cité par A.); plus loin, thèmes de l'isolement du vates devenant paria (cf. cette note de Mon coeur mis à nu, XL, Pl. I, p. 703: "De la vraie grandeur des parias", rédemption par la souffrance et sacre du poète prophète (voir P. Bénichou, Le Sacre de l'écrivain 1750-1830, Corti

colonisation n’est pas le fondement ultime de la littérature africaine écrite, mais elle en est l’un des déterminants en matière d’ouverture, de métissage ou d’élan vers cet ailleurs déroutant et vers cet élément autre qui s’y manifeste à travers thèmes, personnages, discours et intrigues : La littérature africaine, que l’on peut considérer comme un des innombrables éclats de verre issus de cette gigantesque collision, émane du creuset même où, sous la frénésie des nouveaux temps, se sont mis

plaisir moral mort, fait de guerre et dans l'ordre. En exposant à la lumière fermentations du désir et de « il « la « le « « « « assainit les passions insensées. douceur et la Chez la femme, il aime soumission. Ses thèmes sont l'épée, le lit, il foyer, le temple, et puis, les dieux, les héros, les parents les et les morts. Ces hautes figures, quiUité. Il regarde avec tran- ou prêtre, blés.... « compagnon. Il est celui, poète qui donne un sens divin