Injection Parentérale

persistent, en accord avec le médecin traitant, il pourra être nécessaire d’envisager l’arrêt transitoire voire définitif de l’alimentation orale. 3.2.2 La diminution de l’hydratation L’enquête montre qu’en cas d’arrêt de l’alimentation l’hydratation parentérale reste excessive, souvent supérieure à 1l/24h (5/15) (Annexe I, question N°8). Elle montre également que l’hydratation est ensuite diminuée en cas d’encombrement déjà installé (7/15) (Annexe I, question N°4). L’hydratation excessive majore l’encombrement

toxique peut provoquer la nécrose des cellules hépatiques, ce qui peut être fatal. Il y a donc, en cas de surdosage, un risque de toxicité hépatique du paracétamol. L'attitude thérapeutique efficace 61 est préventive : administration orale ou parentérale d'acétylcystéine (Fluimucil® (per os), Fluimucil® 5 g/25 ml), précurseur du glutathion, avant la 6e heure après l'intoxication.L'hépatotoxicité survient pour des doses ingérées de 10 g et plus chez l'adulte ou 125 mg/kg chez l'enfant. Effets indésirables

afin d'atteindre sa cible :  suppositoire  timbre transdermique (à travers la peau ) : par exemple pour pallier l'envie de fumer, ou comme anti-inflammatoire ou antidouleur (morphinique)  L'administration par voie parentérale est faite au moyen d'une injection. Elle peut être  intraveineuse  sous-cutanée  intradermique  intramusculaire  administration orale dite per os : comprimé, sirop, gélule, solution buvable, granulé Les Excipients pour forme solide a voie orale  Les

| |Inoculum | |Volume introduit dans l'organisme, de façon volontaire (injection...) ou accidentelle (par blessure, morsure, piqûre avec une aiguille souillée...) et pouvant contenir les | |germes d'une maladies

Comment contracte-t-on l'hépatite G ? Le virus se transmet par le sang ou les produits sanguins infectés. Le VHG/VGB-C peut se transmettre par le partage d’articles personnels contaminés et par d’autres comportements analogues (transmission parentérale). Il peut aussi être transmis par une mère à son nouveau-né lors de l’accouchement (transmission verticale) ou par diverses activités sexuelles. • Signes et symptômes : Contrairement aux autres virus de l’hépatite, le VHG/VGB-C ne cause de symptômes

les mains (car goutelette retombent) * transmission par aérosol : plusieurs heures dans l’air, grande distance, infection possible sans contact physique ou visuel. 2.5 transmission par voie sanguine Transmission par voie parentérale : -par des injections -sang ou médicament dérivé du sang contaminé Mais aussi : greffe, exploration invasive. Exemple : staphylocoques (drogue), HIV… 2.6 transmission mère/enfant. Différentes voies : Prénatal => fœtus dans le ventre

en accord avec le médecin traitant, il pourra être nécessaire d’envisager l’arrêt transitoire voire définitif de l’alimentation orale. 3.2.2 La diminution de l’hydratation L’enquête montre qu’en cas d’arrêt de l’alimentation l’hydratation parentérale reste excessive, souvent supérieure à 1l/24h (5/15) (Annexe I, question N°8). Elle montre également que l’hydratation est ensuite diminuée en cas d’encombrement déjà installé (7/15) (Annexe I, question N°4). L’hydratation excessive majore l’encombrement

persistent, en accord avec le médecin traitant, il pourra être nécessaire d’envisager l’arrêt transitoire voire définitif de l’alimentation orale. 3.2.2 La diminution de l’hydratation L’enquête montre qu’en cas d’arrêt de l’alimentation l’hydratation parentérale reste excessive, souvent supérieure à 1l/24h (5/15) (Annexe I, question N°8). Elle montre également que l’hydratation est ensuite diminuée en cas d’encombrement déjà installé (7/15) (Annexe I, question N°4). L’hydratation excessive majore l’encombrement

digestif) – Voie buccale ou perlinguale – Voie orale – Voie rectale Un t rsi e v i é -S ris a P ud ud • Voies parentérales (injections) sS ri Voie intraveineuse té Pa rsi e Voie intramusculaire v i Un Voie sous-cutanée ud -S Voies spécifiques diverses s i ar P té rsi e iv – – – – Un 2 Administration systémique des PAs Cas particulier de la voie intra-veineuse DOSE Injection! é Un SITE D’ACTION Distribution d Su s ri Pa é t rsi e v i Un Un SANGs Su ari P té rsi e iv t rsi e iv d u

comprenant 13 valences a obtenu une autorisation de mise sur le marché et doit se substituer à terme au vaccin pneumococcique conjugué 7-valentp Le schéma vaccinal du vaccin pneumococcique 13-valent sera identique à celui du vaccin 7-valent : deux injections réalisées aux âges de 2 et 4 mois, suivies d’un rappel à l’âge de 12 mois, chez les enfants de moins de 2 ans sans facteur de risquep Pendant la période de transition entre ces 2 vaccins, des schémas vaccinaux adaptés à la poursuite d’une vaccination