Inquisition

gage de valeur concernant ses affirmations à suivre. 3ème phrase : Ici, Montaigne s’approprie cette même idée d’étonnement, en employant le terme d’ « admiration ». On remarque un rythme ternaire qui constitue un crescendo entre « admiration…inquisition…ignorance », puis entre « philosophie…progrès…bout ». Montaigne nous livre le résultat de sa réflexion en matière de recherche de la vérité. Le doute persiste, l’évolution mène à l’ignorance. 4ème phrase : Enfin, la 4ème & dernière phrase débute

tète, le Pape, puis les cardinaux,(membre du Concile) puis archevêques et évêque (à la tête d'un diocèse, où le siège, est la cathédrale). Le clergé, possède une Justice, l'Officialité,(tribunal ordinaire de l'évêque différent du Saint Office, ou Inquisition, tribunal extraordinaire) qui juge de toutes sortes de causes, comme problèmes internes à l'Église. Le maillage ecclésiastique est le premier maillage administratif de l'Europe: il n'y a pas de communes, mais des Paroisses. L'Officialité concurrence

concile de trente le 13 décembre 1545-1563 sous trois sessions [1545-1549], [1551-1552] et [1562-1563] précisa le dogme, combattu des abus créa des séminaires. Cet effort de reconquête accompagne de mesure répressive (reconstitution du tribunal de l´inquisition, 1542 création de la congrégation de l´index, 1543) s´appuya notamment sur l´ordre des jésuites anciennes ou se diffuse l´humanisme, contre la vieille université démodée. Le roi tourne l´humanisme a l´avantage de la monarchie vers le milieu du XVIème

fond, des prétentions de la religion ? Est-il décent de prêcher la tolérance et même de tendres égards, | |lorsqu'on incarne soi-même l'intolérance et l'absence d'égards même ? J'appelle comme témoins les tribunaux d'hérétiques, les | |Inquisitions, les guerres de religion et les Croisades, le calice de Socrate et les bûchers de Bruno et Vanini ! Et si cela | |appartient certes aujourd'hui au passé, quel obstacle plus important peuvent rencontrer le véritable effort philosophique, la

sans chercher à en percer l'énigme. Déisme : Conception de Dieu, indépendante de toute religion, de toute dogme, et de toute Eglise, fondée soit sur un raisonnement philosophique chez Voltaire, soi sur une institution du coeur chez Rousseau. Inquisition : Mot désignant à la fois la procédure ( créée par le pape Innocent III et aggravée par le Concile de 1215 ) chargée de poursuivre les hérétiques et la juridiction ecclésiastique devant laquelle étaient déférés les accusés d’hérésie , c’estàdire

catholicisme d’Etat. ➢ L’action législative des Cortès confirme la mise en place d’une monarchie limitée, constitutionnelle et parlementaire, d’inspiration majoritairement libérale : • abolition des structures d’Ancien régime : Inquisition (1813), juridictions seigneuriales (1811), mais pas de la propriété seigneuriale, nationalisation de propriétés collectives (communaux, couvents, ordres militaires) ; • mesures libérales, tant sur le plan économique que politique : liberté

tout lui apparaît comme matière à achats, à ventes, à échanges. Cela le rend d’ailleurs assez ingénieux pour trouver un moyen décisif de remédier au mal dont il souffre. Cependant, comme il est habitué à marchander, il se livre à une véritable inquisition, imposant ses questions avec l’air de supériorité intellectuelle méprisante d’un riche bourgeois, prenant plaisir à impressionner facilement l’homme simple, ignorant et démuni qu’il a en face de lui. Sa question «Que gagnez-vous par an?» traduit

papier : rappel les évêques et les papes - flammes renversées = « le coupable s’est retranché, il a avoué » - Voltaire : « l’antéchrist » > religion = intolérance - Est considéré comme « hérétique » tout propos allant à l’encontre de la religion - Inquisition = 2 organisations en 1 |-> 1 judiciaire et 1 religieuse - Exécution : cérémonie solennelle afin de la rendre légale |-> Mise en scène |-> Etale des objectifs de Voltaire

rhétorique-réponse « Pourquoi? On ne sait pas. » démasque une entreprise fondée sur un non-sens. Maupassant définit plus loin ce que la guerre signifie pour lui, et l'énumération qu'il développe fustige une pensée médiévale, archaïque « sorcellerie, inquisition, finie, lointaine » (l.6); la guerre appartient au passé, elle n'est plus une solution pertinente à l'aube du XXème siècle, elle témoigne d'une vision du monde étroite et simpliste. C'est un héritage de l'obscurantisme des siècles antérieurs, ce

des conversos, c'est-à-dire de ces nouveaux chrétiens qui, trois générations auparavant, étaient de confession juive (ou musulmane, comme pour Jean de la Croix) qui leur donna leur énergie ? L'Espagne très catholique de Philippe II et sa sainte Inquisition se méfiaient de ces frais convertis, obligés de constamment prouver leur foi. Même au prix des pires douleurs et diverses maladies. Thérèse, par exemple, souffrait tant d'épilepsie qu'on la crut morte quatre jours, et qu'elle ne se réveilla qu'au