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Peut on fonder son existence sur le désir ? Qu’est ce que le désir ? On ne peut que désirer, ce que l’on a pas. Le désir est la prise de conscience d'un manque, dont la satisfaction procure du plaisir. Mais si ce n’est que du plaisir, le désir n’est pas obligatoirement un besoin. Car le besoin caractérise l’état dans lequel l’on est, lorsqu’on est privé de ce qui assure notre bon fonctionnement; contrairement au désir qui peut ne pas être un besoin, voire même un besoin vital. Un désir

30 Octobre 2012 Philosophie Devoir 3 Question 1; a) Le thème c’est le désir du bonheur. b) La thèse c’est ‘’On n’échappe pas au principe de plaisir : vouloir lui échapper (par la mort. L’ascétisme), c’est lui rester soumis. Donc nous avons un désir de bonheur, et ce désir est frustré, déçu, blessé. Le bonheur nous manque; le bonheur est manqué. ‘’ Question2 ; Ascétisme : ‘’Genre de vie des ascètes qui consiste à rechercher une libération de l'esprit par la mortification

Le désir est-il ce qui nous condamne à souffrir? Ce qui nous empêche d'être heureux? Ou bien nous condamne t-il à être éternellement insatisfait? Dans l'opinion commune, le désir renvoie avant tout au domaine du corps. Le désir est défini comme pulsion, c'est à dire la recherche du plaisir. Par exemple, on peut désirer un bon gâteau; on peut désirer de manière charnelle une autre personne. le désir renvoie aussi à la passion : quand vous désiez quelque chose ou quelqu'un, vous ne pensez plus

Le Désir Rappel de la problématique: Le désir est-il frein ou moteur de l’existence Défenseur de la thèse N°1 : Défenseur de la thèse N°2 : Tableau de conduite du débat = 7 prises de parole chacun | | | |Thèse ou opinion 1 |Thèse ou opinion 2 = | |Le

  Si le désir est d’abord un manque, on ne voit pas comment on pourrait ne pas souffrir. Certes un manque peut être plus ou moins ressenti négativement mais en soi il y aurait en lui une douleur. Par exemple, la faim est souvent ressentie comme un creux plus ou moins douloureux au niveau de l’estomac qu’il nous faudrait combler.Mais le désir n’est peut-être que illusoirement une sensation de manque, celui qui jeûne sait très bien que la douleur du manque de nourriture se transforme en euphorie. Le

C'est la bonne question qui fallait poser parce que le terme est tellement vague qu'on peut répondre tout et son contraire en deux phrases sur le sujet. Pour moi, il faut d'abord distinguer le désir du besoin car le désir c'est l'envie oppressante et forte de posséder quelque chose qui n'est pas nécessaire à l'Homme pour survivre, alors que le besoin correspond à une contrainte imposée à tout Homme comme manger, boire dormir... Il peut cependant y avoir une dépendance dans le désir qui

Pourquoi désirer ce qui n'est pas nécessaire ? Une telle question nous amène à réfléchir à la notion de nécessité, difficile à déterminer: à partir de quand une chose est-elle nécessaire ou cesse-t-elle de l'être ? Et le désir porte-t-il sur ce qui est nécessaire ou justement sur ce qui ne l'est pas ? Par ailleurs, comme nous engage à le contester Épicure, des désirs qui porteraient sur des choses non nécessaires seraient-ils raisonnables ? Ne devons-nous pas limiter nos désirs à la stricte nécessité

dans la phrase qui suit le désir de « privation ». En effet, Schopenhauer présente ici sa conception du désir : Si nous désirons quelque chose, c’est que nous éprouvons un manque, c’est donc pourquoi le désir est négatif, il résulte en fait d’une insatisfaction, et le désir vise à combler ce manque. Schopenhauer montre que lorsque nous satisfaisons un désir, ce désir disparaît, et donc avec lui la satisfaction qui en résultait. C’est donc une quête inutile puisqu’elle est sans fin et donc irréalisable

Désirer est-ce nécessairement souffrir ? En tant que tension vers un objet qu'on imagine pouvoir être source de plaisir ou de plénitude, le désir -comme le Janus bifrons- recèle une dualité constitutive. Comme "tension", il nous voue nécessairement à la souffrance. Ne désirons-nous pas en effet que ce dont nous manquons ? Manque qui nous condamnerait au jardin des Supplices. Mais comme "source de plaisir ou de plénitude", le désir nous promet l'accès au jardin des Délices en étant la condition de

Philosophie : est-on responsable de ces désirs ? Dans l'expérience que nous avons de nos désirs, nous croyons tellement les subir que nous ne nous en sentons pas toujours responsables, surtout au plus fort de leur domination. Aussi le problème de notre responsabilité se pose-t-il, notamment lorsque nous sommes amenés par nos désirs à commettre des actions répréhensibles. Cette éventuelle absence de responsabilité tiendrait à l'obscurité du sujet à lui-même, qui ne se connaît pas et qui ne connaît