Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire

couverture des risques 4.1.1. Gestion des risques 4.1.2. Couverture des risques et assurances 12 13 13 14 6 APERÇU DES ACTIVITÉS 6.1. Les marchés de l’énergie nucléaire et des énergies renouvelables 6.1.1. L’énergie nucléaire et les énergies renouvelables dans le contexte énergétique mondial 6.1.2. Marchés de l’énergie nucléaire 6.1.3. Marchés des énergies renouvelables 44 47 47 51 54 4.2. Risques juridiques 4.2.1. Risques réglementaires 4.2.2. Risques contractuels et commerciaux 4

réacteur Le fonctionnement des réacteurs nucléaires et donc leur sûreté sont avant tout une affaire de neutronique. Au sens étroit du terme, la physique des réacteurs nucléaires est synonyme de neutronique. Cette discipline étudie le cheminement des neutrons à l’état libre entre leur émission par une réaction nucléaire et leur absorption par la matière et, plus spécialement, les conditions d’une réaction en chaîne de fissions dans les réacteurs nucléaires et de la production de puissance qui en

multinationale française du secteur de l'énergie, œuvrant principalement dans les métiers du nucléaire. Ses activités sont principalement liées à l'énergie nucléaire : extraction de l'uranium, fabrication de combustibles nucléaires, construction de réacteurs nucléaires, traitement des combustibles nucléaires usés, exploitation nucléaire, propulsion nucléaire navale, transport des combustibles nucléaires. L'entreprise s'est aussi récemment ouverte aux énergies renouvelables : l'éolien, les bioénergies

Problématique : En quoi l’incident de Tchernobyl a-t-il eu des conséquences en France? http://sboisse.free.fr/planete/pol_radioactive.php La catastrophe nucléaire de Tchernobyl, également désignée comme l'accident nucléaire de Tchernobyl, est un accident nucléaire classé au niveau 7, le plus élevé, sur l'échelle internationale des événements nucléaires (INES). Il a eu lieu le 26 avril 1986 dans la centrale Lénine, située à l'époque en URSS, dans l’actuel état d’Ukraine. 1-Les radiations

dynamique d'investissements pour consolider son leadership européen et son avantage compétitif sur le long terme, pour promouvoir les énergies renouvelables et l'éco-efficacité énergétique et pour être durablement un acteur majeur du renouveau du nucléaire dans le Monde » D’après le DG l’entreprise doit conforter sa place de leader sur le marché européen grâce à une politique d’investissement mais doit aussi s’adapter aux nouvelles mœurs qui régissent son environnement afin d’assurer sa pérennité

d’exercice libéral à responsabilité limitée CNAM : caisse nationale d’assurance maladie CPAM : caisse primaire d’assurance maladie CGSS : caisse générale de sécurité sociale CHU : centre hospitalier universitaire AG : anesthésie générale IML : institut médico-légal UFR : unité de formation et de recherche COMPÉTENCES DU CHIRURGIEN DENTISTE UNIVERSITE DE LA REUNION | UFR SANTE | 2020 | REPRODUCTION INTERDITE 2 DU : diplôme d’université CES : certificat d’étude spécialisée VADS : voies

maladies professionnelles Mise en place d’une surveillance épidémiologique des travailleurs exposés aux nano-objets intentionnellement produits L’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) La convention avec la Direction générale du travail Le bilan des activités de l’IRSN en 2011 L’expertise en matière de radioprotection Les actions liées a l’accident de Fukushima Le bilan des expositions des travailleurs L’Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux

composé d’installations utilisant des sources d’énergie renouvelable (éoliennes et installations marémotrices), de centrales brûlant des combustibles fossiles tels que le gaz naturel et le charbon, de centrales de pompage-turbinage et de centrales nucléaires (centrale de Tihange et celle de Doel). Electrabel vend donc de l’électricité, du gaz natuel ainsi des produits et services énergétiques. L’entreprise est également active dans la production d’électricité. Elle dispose de plus de 7000 collaborateurs

Schnebelen, Université de Haute - Alsace, Mulhouse Jean Vinit, Centre National de la Recherche Scientifique, Paris Comité de rédaction : Marianne Boivin, Université Paris - Sud 11 Monique Bonnet, Université Joseph Fourier Grenoble 1 Jean-Pierre Buren, Institut national polytechnique de Lorraine, Nancy Vincent Conrad, Université Champagne Ardennes, Reims Dominique Especel, Université Val de Marne-Paris 12 Gérard Guillaume, Université de Provence Aix-Marseille 1 Marie-Blandine Peinturier, Université Auguste

lieu en leur sein. Au premier abord, la logique veut que le noyau ne puisse exister, car il contient des protons, composants chargés positivement, et que des particules de même signe se repoussent. Les noyaux doivent leur stabilité à l’interaction nucléaire forte, la plus intense des quatre interactions élémentaires connues à ce jour, capable de l’emporter face à l’interaction électromagnétique. Cependant pour être attractive, cette force requiert que le nombre de protons et le nombre de neutrons soient