Instruments De La Redistribution Des Revenus

publiques utilisées comme instrument de politique conjoncturelle (ex : émission d’emprunts). - recettes publiques utilisées dans un but social comme instrument de redistribution des revenus. - dépenses publiques qui concourent à la croissance économique. - les dépenses publiques ont un impact sur les agrégats à travers leur création de flux matériels qui impliquent toujours des flux monétaires. - dépenses publiques instrument de politique sociale (aides aux familles aux revenus modestes…). II-

faire du commerce mais pour se nourrir. Après le 18eme siècle tous ça et terminé c'est a dire ceux qui dipose pas de terre proprietaire, ce retrouve contraint a aller en ville dans l'espoir de chercher du travail. Il travaille contre un salaire un revenu et donc on a cette marchandisation progressive. La monnaie ce développe au 18e la monnaie fiduciaire repose sur la confiance chèque et scripturale c'est la monnaie des écriture des comptes. ( CB) L’accès a la monnaie était restreint

qui financent le budget de l’État. 3. Déterminez les contraintes qui pèsent sur l’État dans le financement de son budget alors que les prévisions du déficit des finances 2009/2010/2011 sont pessimistes. 4. Montrez que le budget de l’État est un instrument e politique économique structurel et conjoncturel en illustrant vos propos à l’aide du projet de la loi de finances 2010. 5. Montrez les effets des mesures envisagées en faveur de l’environnement sur le budget de l’État. BAC 2010 – SÉRIE : SCIENCES

dans de nombreux pays. Cette crise qui n’était au départ que financière est devenue économique car à entrainer un ralentissement de l’activité et un fort taux de chômage. Dans le souci d’instaurer un bien-être collectif, les Etats, via différents instruments tels que la politique monétaire, budgétaire, économique, de l’emploi… interviennent dans l’économie afin de relancer l’activité. Ces Etats ont donc pour objectif de relancer la croissance sur le long terme. Nous allons plus particulièrement nous

la société les ménages bénéficie d’un revenu soit parce qu’ils fournissent des facteurs de production tel que le travail, capital financier, soit parce qu’il bénéficie d’un système de redistribution. Les ménages affectent leur revenu pour la consommation et aussi à l’épargne. LES ENTREPRISES NON FIANCIERES : L’entreprise est d’abord un lieu de production, donc la création de biens ou de services qui s’échangent sur un marché. Ainsi qu’une formation de revenu pour ceux qui contribuent à la production

individus. On distingue deux types de repartition : Répartition primaire : effectuée au niveau de l’entreprise, elle correspond au partage de la valeur ajoutée entre ceux qui ont participé à sa création (EBE, salaires, impôts sur la production) Redistribution : Voir infra Consommation : Destruction par l’usage. Elle entraîne la disparition, plus ou moins rapide, par destruction ou par transformation, des biens ou services utilisés. La comptabilité nationale distingue : Consommation finale : valeur

salaire est un revenu qui tient une place essentielle dans la dynamique de l’activité économique. Ainsi, si on s’inscrit dans une perspective keynésienne , la flexibilité salariale (réduction des salaires et plus globalement du coût du travail) tout comme la flexibilité dans la gestion de la main d’œuvre (flexibilité quantitative externe) avec le développement des emplois précaires, pénalisent le niveau de revenus des actifs

risque, gain de pdtivité, augm du pouvoir d’achat. Les inégalités de revenus et de patrimoine : -La répartition des revenus s’effectue en deux étapes= -primaire : rémunéré les facteur de prod° ; secondaire : redistribution. -La Valeur ajoutée : brut= ventes- achats Net= (vente- achat) – amortissement Elle se partage en 3 parts : état, salarié et actionnaire. -Le revenu disponible primaire= revenus salariaux, de la propriété, mixtes. (rev dispo= rev prim-impot et

fait que plus un pays se développe, plus l’intervention de l’Etat dans l’économie s’accroît. Cette loi, corroborée par les évolutions observées, s’explique par le fait que la demande de services publics (éducation, santé…) augmente plus vite que le revenu. L’Etat est toujours intervenu dans l’économie, mais on peut distinguer : - la situation du XIXe siècle caractérisée par un « Etat circonscrit » chargé des fonctions régaliennes et des infrastructures nécessaires au bon fonctionnement

(intervention) de l’État dans les affaires privées doit être refusée car elle risque de perturber le libre jeu du marché et donc de créer des situations de crise. Toutefois, cette période de libéralisme a généré le développement de la misère ouvrière (revenus très faibles, aucune protection sociale...). En outre, le libéralisme n’a pas permis d’éviter les crises économiques. Cela a donné naissance à une autre vision de l’État, sous l’impulsion de l’économiste J.-M. Keynes (on fera référence à l’analyse