Instruments De Paiement Et De Crédit

monnaie? Comment la mesurer ? Combien peut on en créer? CONTENU DU COURS CHAPITRE 1: FONCTIONS ET FORMES DE LA MONNAIE CHAPITRE 2: MASSE MONÉTAIRE ET SES CONTREPARTIES CHAPITRE 3: CREATION MONETAIRE ET DYNAMIQUES DE DIVISEUR ET DE MULTIPLICATUR DE CREDIT BIBLIOGRAPHIE INDICATIVE Bailly.J-L (ouvrage collectif) « Economie monétaire et financière - Cours Méthodes Exercices corrigés Cudennec. F-S « L'essentiel de l'économie monétaire et bancaire : Fiches de cours & cas pratiques corrigés , Elipses 2012

 LES INSTRUMENTS DE PAIEMENT ET DE CREDIT   Chapitre 1  - Les effets de commerce   I – La lettre de change              La lettre de change est un effet de commerce, donc un titre négociable   les caractères suivants : - acte de commerce courant (tous les litiges nés à propos d'une traite quelles que soient les personnes en cause, commerçants ou non-commerçants, sont de la compétence du tribunal de commerce) La lettre de change se distingue en cela du chèque et du billet à ordre, les deux

Les modes de règlement sont choisies par l’exportateur. En commerce international, ce sont les transferts de dépôts bancaires, ainsi que les instruments de crédit qui servent de moyens de règlement: lettre de change, billet à ordre, chèque et virement bancaire international. Le choix entre ces différents moyens s’effectue en fonction de leur rapidité, leur coût et de la réglementation des changes des pays. Les transferts internationaux sont libelles en monnaie nationale ou en devises étrangères

L’instrument cambiaire est titre négociable qui constate au profit du porteur une créance à court terme de somme d’argent et qui sert à son paiement ; Le droit qui régit ces instruments est le droit cambiaire : la lettre de change et le billet à ordre sont essentiellement des instruments de paiement et de crédit tandis que les chèques sont essentiellement des moyens de paiement ; en effet le cheque est un titre à vue émis par une personne dénommée tireur qui donne l’ordre à une autre personne appelée tiré

les placements de ses excédents de trésorerie éventuels. La gestion de la trésorerie repose par conséquent sur le couple « sécurité / Rentabilité ». Pour parer au risque d’illiquidité ou d’insolvabilité (rupture du service de caisse, cessation de paiement, etc.), l’entreprise doit maintenir un certain niveau de trésorerie, car en pratique il est très difficile d’assurer une parfaite synchronisation entre les encaissements et les décaissements. Dans le même temps, elle doit viser à réduire l’impact

PARTIE I. MONNAIE Section I. Partie introductive CHAPITRE II. EVOLUTION DES FORMES DE LA MONNAIE La monnaie est apparue sous des formes très différentes : marchandises, outils, biens ornementaux. Le but était de rendre les instruments plus faciles à manipuler, plus surs. Monnaie marchandise, monnaie métallique (aujourd’hui monnaie divisionnaire), monnaie papier (aujourd’hui monnaie fiduciaire), monnaie scripturale. I. La monnaie marchandise Les premières monnaies étaient

établissements financiers (notamment les deux grandes firmes de refinancement du crédit immobilier, Fanny Mae et Freddy Mac, par des soutiens ponctuels puis un refinancement massif sur fonds publics . Intenses débats entre experts sur l’enjeu : laisser jouer la responsabilité de chaque banque ou prendre le risque d’une crise systémique, au risque de subventionner les prises de risque excessives d’établissement grisés par le boum du crédit, notamment immobilier. 2.2. Les banques islamiques : Histoire et

MOUSSEEFF Rémi Istm, DCG1, 2010 INTRODUCTION GENERALE ................................................................................... 4 I)- LES FONCTIONS ET LES FORMES DE LA MONNAIE....................................... 4 A)-La monnaie : instrument essentiel de l’activité économique........................................................................ 4 1)-Les trois fonctions de la monnaie .................................................................................................

bancaire algérien (suite) La nouvelle organisation du système bancaire national : La loi relative à la Monnaie et le Crédit (L.M.C). Dans le prolongement des réformes économiques engagées en 1988 (réforme de l’entreprise publique), un nouveau cadre a été mis en place en 1990 par la loi relative à la monnaie et le crédit (loi n° 90-10 du 10 avril 1990 relative à la monnaie et le crédit), au lendemain de la mise à mort de l’économie dite « socialiste », ou le secteur bancaire se caractérisait jusque

scipturale car pas vrmt comme ça : pièces datent de l’Antiquté, lettre de change au Moyen-Age, etc… ! Monnaie scripturale =/ instruments permettant sa circulation (chèques, cartes bancaires, virements (TIP)…). Depuis 1960 : poids billets et pièces ds masse monétaire , monnaie scripturale  car progrès technique permis dvpt instruments. Masse monétaire : ensemble moyens de paiement en circulation dans l’économie. On s’appuie sur agrégats monétaires : M1 : billets+ pièces + dépôts à vue (comptes-chèques