Insurrections fédéralistes

La commune de Paris c’est une insurrection parisienne qui se déroule de mars à mai 1871. L’assemblée siégeait à Bordeaux et est transférée à Versailles et non à Paris. Il y a de plus une période de crise économique et sociale. L’armée tente de prendre les canons de la garde nationale (police de Paris) le 18 mars et la foule parisienne se révolte, un conseil de la Commune s’installe à l’hôtel de ville, il est d’inspiration anarchiste fédéraliste et anti capitaliste composé d’internationalistes

aux ouvriers ils constituent une classe intermédiaire : une sorte de trait d’union entre les métiers traditionnelle et les industries nouvelles. Tous ces individus sont issus d’un milieu populaire et de ce point de vue la commune est la dernière insurrection de ce peuple de Paris, beaucoup plus tourné vers le passé que vers l’avenir. L’unité de la commune également sur un ensemble de convictions. Tous les communards sont républicains. Leurs discours évoquent les grands hommes et les grandes actions

futur premier chancelier allemand, il est resté 14 années au pouvoir en Allemagne entre 1949 et 1963, qui coïncident avec le relèvement et la prospérité économique de l’Allemagne. Dans la délégation italienne on retrouve Altiero Spinelli, un fédéraliste convaincu qui sera très actif au sein de la communauté économique européenne. Dans la délégation belge, Paul Henri Spaak, qui est l’un des artisans de l’Union douanière entre la Belgique, le Pays Bas et le Luxembourg, que l’on appelle le Benelux

Création de conseil ouvrier qui se substitue aux autorités impériales. Ces insurrections prennent de l’ampleur en novembre 1918 et l’empereur décide d’abdiquer officiellement le 9 novembre 1918 et c’est le début d’un nouveau conflit sous forme de guerre civil entre d’une part les socio démocrates réformistes et les spartakistes a la pointe du combat qui vont s’affronter non plus idéologiquement mais militairement. Insurrections réprimés violemment par les socio démocrates et les conservateurs. Rosa

Constitution. Mais en réalité, dès avril 1792 alors que la France est assiégée, il ne va pas tenir sa promesse. Face à la pression, le gouvernement brissotin vote des décrets contre l'envahissement. Mais Louis XVI s'oppose à ce dernier et provoque une insurrection, on pense qu'il trahit la nation, son engagement. Il est guillotiné après avoir fui puis été arrêté à Varennes. Jean-Marie Roland de la Platière : « La France ne sera plus la propriété d'un individu, la proie des courtisans ; la classe nombreuse

révolte et d’insurrection qui se répand sur l’ensemble du territoire français en juillet-août 1789 (suite à des rumeurs qui disaient que des brigands à la solde des nobles approchaient). Les députés de l’assemblée nationale prennent peur de cette insurrection générale et décident ainsi d’abolir les privilèges, afin de satisfaire et de calmer le peuple. Document 3-b : 2- La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen a été votée par l’Assemblée Nationale Constituante, le 26 août 1789. 3- Les symboles

n’adopteront pas de lois contraires à la Constitution et on accorde une confiance totale aux gouvernés pour qu’ils fassent respecter la Constitution aux gouvernants. (Ceci est une utopie) cela s’effectue grâce à des pétitions, des manifestations, des insurrections … B. Le contrôle politique : On va confier le soin d’exercer ce contrôle à une assemblée politique. D’un point de vue technique c’est concevable. Maintenant sur le plan de l’efficacité, le contrôle est partiel, partial et désastreux. Par exemple :

organisation. A côté de cet argument, il y en a deux autres. Le 1er est la crainte du fédéralisme, de voir, dans une période où l’on reconstruit l’Etat, certaines provinces prendre leur autonomie et que chaque province s’organise de son côté. Cette menace fédéraliste a poussé les constituants à faire une administration qui s’imposerait à tous. C’est cette crainte qui pousse à aller vite. La 2ème est le fait qu’il faut réorganiser un corps électoral. Il faut que l’on décompose le corps électoral. On va créer

ensuite la France, le traité de Verdun en étant l’acte de naissance officiel. Ces Carolingiens n’avaient pas le sens de l’État. Charlemagne restait un Barbare à demi illettré. Sa bonne réputation, qui lui vient de l’Église, est très exagérée. Les fédéralistes européens ont tendance à comparer l’actuelle « Union européenne » et l’empire de Charlemagne. Ils pourraient trouver mieux ! Le domaine de Charles restait barbare. Quand Charlemagne voulut demander la main d’Irène, impératrice des Romains de Constantinople

gaulliste toujours (la grandeur!!) mais le déclin relatif de la France est accepté. Il existe plusieurs courants de pensée qui acceptent de réviser à la baisse la place de la France dans le monde. Les différents courants qui s'opposent. -les fédéralistes européens : la France et ses voisins vont se fondre dans un ensemble supranational : l'Europe (l'idée que l'aire des nations est dépassé) -les économistes libéraux qui considèrent que les états sont dépassés- ce qui compte, ce sont les agents