Intensité capitalistique

incommensurable. MARX pense que chaque nation à sa propre productivité. Les échanges entre les nations ne peuvent se régler comme sur la base interne. Une intensité moyenne de travail n’est pas imaginable sur le marché mondial. Un travail national peut produire dans le même temps davantage de valeur et donc davantage d’argent. Différentes intensités sur le marché mondial avec des conséquences différentes, ce qui modifie la loi de la valeur. Si la concurrence n’oblige pas à abaisser le prix de la

chaque bien nécessite l'emploi de 2 facteurs de production[5], travail L et capital K, dans des proportions différentes : [pic] [pic] et [pic] désignent les Q de K et de L employées dans le secteur j (j = X, Y). [pic] est l'intensité en K (ou intensité capitalistique) du secteur (ou du bien) j : elle désigne la Q moyenne de K employée par unité de L dans le secteur j pour produire le bien j (par exemple, si [pic]= 10000 € constants, alors chaque salarié dans le secteur j dispose d'un montant de K de 10

= f (k) Ceci permet d’exprimer le taux d’intérêt réel et le salaire réel sous la forme suivante r = f 0 (k) − µ, w = f (k) − kf 0 (k) L’équation dynamique devient ˙ k = sf (k) − µk − nk L’intensité capitalistique tend vers le point stationnaire k ∗ tel que f (k ∗ ) µ+n = ∗ k s L’intensité capitalistique de long terme k ∗ croît avec le taux d’épargne s. Il en va de même pour la production par tête y ∗ = f (k ∗ ). En revanche, l’influence du taux d’épargne sur la consommation par tête de long terme est

y est le produit par travailleur efficient et k l'intensité capitalistique par travailleur efficient. Courbe représentative de la production par travail efficient y y = f(k) k Compte tenu des développements ci-dessus, le produit de l'économie peut être donné par la relation : Y = Af(k)L. Si on posait que m = 1/L, on obtiendrait le produit par travailleur Y/L, soit : Y/L = f(K/L, A). K/L représente l'intensité capitalistique, c'est-à-dire le capital par travailleur. En faisant un rapprochement

-impôts sociétés (environ 30% du bénéfice) bien et services marchands = bien et services vendues au dessus du coût de production bien et services non marchands = bien et services vendues en dessous du coût de production intensités capitalistiques = capital travail productivités = valeur de la productions un des facteurs de productions hausse de la productivités lorsque les travailleurs sont remplacer par les machines offre de travail = salariés (force de travail)

d’abord, le progrès des connaissances, ajouté à une bonne formation des travailleurs, il améliore le capital humain et donc les gains de productivités. Par des investissements dans de nouvelles machines, de nouveaux outils… On augmente l’intensité capitalistique et on fait du progrès technique, ce qui amène aussi à gagner en productivité. Enfin, il y a les extensions de marchés. Elles permettent d’augmenter la production et ainsi d’attendre des économies d’échelles, et d’un autre côté, les extensions

expliciter ce qui fonde l’avantage comparatif. Dans le modèle à facteurs complémentaires, c’était simple : les intensités factorielles de la production des deux biens étaient constantes, il était donc possible d’ordonner les biens selon leur intensité factorielle. Si le pays était mieux doté en capital, il exportait le produit le plus intensif en capital. Figure 6-6 : l’inversion des intensités factorielles Sans inversion K/ L K/ L Avec inversion w/r w/r Cette simplicité est en principe

richesse créée par actif occupé ou par heure travaillé. 1. La productivité du travail dépend de multiples facteurs : - Combinaison productive retenue ( instensité capitalistique = K/W) - Recours à des machines plus performante permettant à chaque travailleur de produire plus ( productivité par tete/ horaire 2. Mais a intensité capitalistique constante, la efficacité du travail peut etre amélioré grace a d’autre facteur : - Qualification de la main d’œuvre - L’organisation du w (baisse du temps

travail • Variation de la PA • Migration intersectorielles de la main d’œuvre • Variation de la durée de travail - Variation de la qualité du travail : • Age moyen • Instruction • Intensité du travail Facteur capital : - Variation de la quantité de capital utilisée • Variation du stock de capital • Variation du taux d’utilisation • Variation de la durée d’utilisation du capital - Variation

travail : * Variation de la quantité de travail * Variation de la population active * Migrations intersectorielles de ma main d’œuvre * Variation de la durée de travail * Variation de la qualité de travail * Age moyen * Instruction * intensité | Facteur capital : - variation de la quantité de capital utilisée - variation du stock de capital - variation de la durée d’utilisation du capital - variation de la qualité du capital - Age du capital | *