Interdépendance Des Marchés Financiers

d’intermédiation du crédit qui a évolué à l’ombre des banques et dont l’existence résulte de la présence concomitante d’un espace régulé et d’un espace peu ou pas régulé. Ce système est né naturellement pour répondre aux nouveaux besoins du système financier et d’un nouvel environnement macroéconomique. Ainsi compte tenu des reproches faites aux banques pour avoir mis en place un système bancaire parallèle d’une aussi grande ampleur, et d’avoir ainsi favorisées le risque systémique sur l’économie, on

confrontée à la concurrence et aux mêmes nécessités : le développement, la rentabilité et la pérennité de leur activité. Cependant, par les spécificités de leur métier, qui finalement se résume par le financement de l’économie toute entière, une interdépendance existe entre les établissements de crédit et l’Economie réelle. De ce fait, et les évènements de ces dernières années nous en ont fait prendre pleinement conscience, elles peuvent générer des incidents importants sur tout le système économique

III.Les relations de complémentarités entre le marché financier et les institutions financières 1.Complémentarité et interdépendance entre institutions financières et marché des capitaux La désintermédiation a été l'un des moteurs de la globalisation financières des années 80, dans les pays industrialisés. Les banques interviennent aussi sur les marchés des capitaux, par l'émission de titres. Cependant, elles continuent a financier l'activité économique par des crédits bancaires traditionnels

l'échange sur le marché Pour satisfaire le divers besoins qu'ils ressentent, les agents économiques doivent procédés à des échanges. L'échange sur le marché : Un marché est un lieu plus ou moins concret de la confrontation et de la conciliation de l'offre et de la demande d'un bien. Ce determine les quantités échangés et le prix. On peut également dinstinguer un marché selon sa portée géographique, on parle alors de marché locale, nationale et internationale. Les marchés sont plus ou moins

banques centrales. Les autorités prudentielles ont décidé d’instaurer un ensemble de règles aux banques pour stabiliser le système bancaire. Ces accords de Bâle visent à instaurer des normes internationales de renforcement de chaque établissement financier afin d’éviter des crises de plus en plus importante. Les recommandations de Bâle sont revues régulièrement pour devenir peu à peu une obligation harmonisée à l’ensemble des banques. De Bâle I à Bâle II, puis Bâle III les banques doivent anticiper

fin des années 1980 pour donner naissance à un «  système monde » aux interdépendances très nombreuses. 2. Définition de la mondialisation : La mondialisation se définit par tous les changements dans l’économie internationale qui tendent à créer un marché global pour le travail, les capitaux, les biens, et les services. C’est un processus d’ouverture de toutes les économies nationales sur un marché devenu planétaire. Ceci a été rendu possible par la baisse

mondialisation,processus d'ouverture des economies nationales sur un marché devenue planetaire, debute réèllement avec l'instauration du GATT ( accord générale sur les tarifs douanier et le commerce).Crée après la seconde guerre mondiale le 30 octobre 1947, le Gatt en dérèglementant les tarifs douanier, ouvre les economie des pays et instaure le libre echange, permettant ainsi d'évité les conflits entre états en créant une interdépendance économique, une baisse générale des prix pour les consommateurs

la crise des 30 glo = trop d’Etat) et retour po keynésiennes. L’Etat a un rôle contra cyclique. →le même phénomène s’était produit en 1929 quand trop forte ccce, peu de contraintes…La csq avait été la même qu’en 2008 : interventionnisme. •interdépendances des écos → Si on veut mettre en place une gouvernance elle doit être mondiale. G20 Londres rassemble les propositions →on connait très bien les pb mais la réalisation de solutions est difficile, d’autant que leur efficacité suppose l’unanimité

partiellement résolus grâce à leur transfert sur les marchés dérivés et la titrisation. Le changement de structure de la propriété des entreprises (ii) caractérise la deuxième phase de la globalisation financière : le monde de l’entreprise de restructure par les hausses successives de coût du capital et se met aux normes de la finance. Il s’agit d’un changement de business model, avec pour nouvel objectif des impératifs de rendements financiers, à la place d’une gouvernance partenariale auparavant

l’organisation, il a donc des interdépendances positives car l’organisation et l’environnement sont complémentaires. Pour l’organisation de la bred ces ressources indispensables sont les clients (Environnement commercial), le personnel qualifiés (Marché du travail), les fonds (Environnement des biens et des services), les actionnaires à travers leurs différentes filières (Environnement financier) etc. Mais a contrario, l’environnement peut générer des menaces pour la bonne marche et l’équilibre de l’organisation