Intermédiation

et obligations. On observe donc une intermédiation bancaire : les épargnants obtiennent des titres d’OPCVM (détenus par les banques) contre de la monnaie, et, avec cette monnaie, les banques achètent des titres émis par les sociétés sur le marché primaire. Bien entendu, les titres d’OPCVM prennent de la valeur avec la valeur du portefeuille de titres qu’ils gèrent. Ainsi, les banques participent différemment au financement de l’économie : à une intermédiation traditionnelle par le crédit, elles

(capacité d'autofinancement / investissement) X 100 B) Les circuits de financement.  Autofinancement ou financement interne : se financer sois même.  Financement externe : direct (marché) ou indirect (banque par intermédiation). 1) Financement indirect.  Intermédiation : situation ou une institution financière collecte des ressources auprès de ceux qui ont des excédents et effectue des prêts au profit de ceux qui ont des besoins. Cela s'oppose au courtage.  Courtage : mettre en relation

Bancaire dans l’économie Rôle central dans le financement de l’économie. Mais nombreux changements ont modifié les modes de financements de l’économie. -Jusqu’aux années 80 : système de financement caractérisé par une intermédiation bancaire importante (Intermédiation bancaire = collecter des capitaux auprès de déposants afin de les prêter à des emprunteurs) -Désormais, modernisation et déréglementation du marché ont modifié ce mode de fonctionnement de l’économie. Phénomène de désintermédiation

de treso). => le marché interbancaire est réglementé par la banque de France (réserve obligatoire) afin d’éviter la mise en difficulté d’établissement banciare.au niveau de sa treso - Le marché monétaire : => c’est un marché direct sans intermédiation bancaire . Mise en relation de tout les agent économique sans qu’une banque fasse l’intermédiaire. => Sur ce marché « de gré a gré» les instruments ne sont pas des valeurs mobilières mais des TCN (Titres de Créance Négociables) , instrument

charges sont repris pour le calcul du numérateur. Il a été choisi d’équilibrer les « emplois » et les « ressources » par une partie des éléments de bas de bilan (fonds propres au passif et immobilisations à l’actif), qui font eux aussi l’objet d’une intermédiation ; en effet : – soit une partie des valeurs immobilisées est financée par l’excédent des ressources empruntées sur les emplois, – soit l’excédent des emplois sur les ressources empruntées est financé par une partie des fonds propres. Ces parties

|-   les défauts et/ou les retards de livraisons des produits (organisées | | |directement par les vendeurs sans intermédiation d’eBay),  | | |-  les retards de paiement ou les impayés des acheteurs, | |

ensuite les prêter aux clients ayant des besoins de financement. (Les dépôts font les crédits). Les banques ont un rôle d’intermédiation, et donc de distribution des crédits. Mais en quoi cela est-il sensible ? A- Le rôle d’intermédiation Cette intermédiation induit plusieurs transformations des fonds collectés vers les fonds prêtés. 1) Transformation des échéances: consiste à recueillir des fonds à court terme pour les placer dans des actifs à plus longue échéance (les crédits) (ex : collecte des

Wafasalaf, Attijari Bank Tunisie, Wafabail, CBAO et Attijari | |Intermédiation. | Activité : [6]La Banque Attijari de Tunisie est à la tête d’un groupe intervenant dans plusieurs domaines : - l’intermédiation en bourse et la gestion de portefeuilles individuels avec Attijari Intermédiation - La gestion d’actifs collectifs avec Attijari Gestion - Le conseil

négative à -3,02% pour le TUNINDEX et -4,61% pour le TUNINDEX 20. Dans ce contexte fragilisé, Attijari Gestion s’est focalisée sur le développement d’une stratégie de gestion qui lui permet de mieux maitriser le couple (rendement/risque). Attijari Intermédiation En termes de réalisations : • Avec un rendement annuel de 3,697%, ATTIJARI OBLIGATAIRE SICAV s’est positionnée deuxième sur la place ; • ATTIJARI PLACEMENTS SICAV et ATTIJARI VALEURS SICAV se sont bien positionnées avec des rendements annuels

d’OPCVM ont donc eu une double utilité : assurer le financement des dépenses de l’État ainsi que la liquidité des institutions financières. Les différents ministres de l’économie des gouvernements successifs ont continué à favoriser la nouvelle intermédiation financière des banques via les OPCVM. Elles ont pu résister à la désintermédiation bancaire qui se traduisait par une diminution sensible de la collecte des dépôts liquides. Ainsi, les banques perdaient d’un coté des liquidités qu’elles collectaient