Interneurone

L'INFLUX NERVEUX NEUROTRANSMETTEURS TERMINAISON POST-SYNAPTIQUE (OENDRITE) FENTE SYNAPTIQUE RECEPTEUR SYNAPSE x \ Jonction y neuromusculaire Gaine de myéline Vésicule contenant un neurotransmetteur Muscle . Récepteur . y y Interneurone Moelle épiniére © : inhibition @® : stimulation € : message nerveux afférent >> : message nerveux efférent Neurone sensitif afférent Muscle effecteur (se contracte) “Muscle antagoniste (se détend) Neuroplasticité

dont les axones aboutissent aux fibres musculaires | | |effectrices ; | | |- les interneurones inhibiteurs assurant les connexions entre les | |Réalisation et étude de l'enregistrement du |neurones afférents et les motoneurones des muscles antagonistes. | |potentiel global d'un nerf par ExAO. |Limites : l'étude

détecter les variations de ces paramètres internes et externes pour envoyer l’information. Ce sont les capteurs. - Des neurones (N) moteurs ou motoneurones : neurones qui envoient un ordre, une commande. Ce sont des neurones effecteurs. - Des interneurones (ce sont les plus nombreux) : ce ne sont pas des N sensoriels ni moteurs. Ils traitent l’info, ce sont des neurones d’association, des neurones associatifs. Les afférences, ce sont les infos qui arrivent (centripète) sur un neurone et les efférences

l’excitabilité des neurones. Cette baisse d’excitabilité serait à l’origine de l’effet euphorisant des opiacés et serait médiée par les récepteurs mu et delta. Cet effet euphorisant impliquerait aussi un autre mécanisme faisant intervenir les interneurones inhibiteurs au GABA de l’aire tegmentale ventrale. En se fixant sur leurs récepteurs mu, les opioïdes exogènes provoqueraient une diminution de la quantité de GABA relâché (voir l’animation). Or le GABA diminue normalement la quantité de dopamine

fonctionnement cylindrique et stéréotypé Il est composé de deux réseaux complexes et interconnectés comprenant un nerf sensitif , des interneurones et des neurones moteurs autonomes . On trouve le plexus myentérique et le plexus sous-muqueux. Le péristaltisme digestif est sous régulation

à des modifications « non-physiologique ». LE SYSTEME NERVEUX VEGETATIF C. CENTRES VEGETATIFS • C’est au niveau des centres que sont mis en rapport les neurones sensitifs et les neurones moteurs, par l’intermédiaire d’un ou de plusieurs interneurones. 1. Centres inférieurs • Ces centres ont une activité propre. Ils sont situés dans le tronc cérébral et la moelle épinière. Ils constituent d’autre part la voie finale commune vers les centres végétatifs situés plus haut dans l’axe cérébro-spinal

involontaire déclenchée par l'excitation d’un récepteur cutané. 2) moelle épinière sensitif Réponse: fléchisseur COMMENTAIRE  Les éléments anatomiques suivants sont exigés : récepteur cutané (peau), fibre sensitive, centre nerveux (m e), interneurone, fibre motrice, muscle fléchisseur (effecteur) 9 3) la coordination entre les 2 muscles antagonistes s’explique par l’innervation réciproque, en effet le message sensitif provenant des récepteurs cutanés provoque simultanément :   L’activation

récepteurs spécifiques des neurones post-synaptiques - Naissance d’un nouveau message dans le neurone postsynaptique codé en fréquence de PA (synapse excitatrice) Modulation du fonctionnement du relais synaptique par des substances endogènes Des interneurones spécialisés, situés dans la corne dorsale de la ME libèrent des neurotransmetteurs : les enképhalines. Ces neurotransmetteurs se fixent sur des récepteurs spécifiques (= opioïdes) situés dans la membrane des neurones postsynaptiques nociceptifs

de la diacétyl-morphine, elle est très rapidement déacétylée dans le cerveau et c’est donc de la morphine qui va se fixer sur les récepteurs opioïdes ; on enlève l’acétyle. Dans notre organisme, l’enképhaline calme la douleur. Bilan : Les interneurones (entre neurones nociceptifs et qui remontent à la moelle épinière) synthétisent des neurotransmetteurs (enképhaline) qui se fixent sur des récepteurs spécifiques situés sur la membrane des neurones nociceptifs post-synaptique. La fixation des enképhalines

Dans ce dernier cas, les commandes centrales doivent réaliser, outre la spécification du muscle agoniste, le contrôle du réseau de connectivité responsable de l'innervation réciproque. Elles doivent, en même temps, bloquer, soit au niveau des interneurones impliqués, soit au niveau présynaptique, les circuits de distribution des messages d'origine proprioceptive. Les structures de connectivité impliquées dans de tels contrôles ont effectivement été identifiées. 2.3. LE CODAGE DE LA VITESSE. Le sens