Interneurone

plaisir. 1) Mode d’action de la morphine sur le système de récompense. Un schéma peut être bienvenu, à condition qu’il soit clair. Rien d’obligatoire, mais conseillé Fixation de la morphine sur récepteurs opioïdes de interneurones inhibiteur à GABA (cet interneurone « freine » le neurone à dopamine) => levée de l’inhibition=>le neurone à dopamine augmente alors la sécrétion de dopamine=> augmentation de la sensation de plaisir. 2) Danger de la morphine lors de prise répétée Lors de

modulant la sécrétion de glutamate par les interneurones (le neurone qui libère) et l’interneurone a glutamate, modulateur des neurones pyramidaux du cortex visuel (le neurone qui reçoit), on distinguera deux neurotransmetteur qui sont la sérotonine et le LSD, les LSD se fixe dans le récepteur de la sérotonine puisque la zone de fixation des deux molécules est très similaire. Ceci causera une augmentation de la libération du glutamate par les interneurones (ceux qui ont reçus), cela amène à une perturbation

message efférent. * Des fibres nerveuses motrices, qui transmettent au muscle qui s'étire le message efférent, qui lui donne l'ordre de se contracter, ainsi qu'au muscle antagoniste correspond un message inhibiteur (par l'intermédiaire d'un interneurone ) qui lui donne l'ordre de se relâcher pour ne pas faire obstacle à la contraction. Le réflexe myotatique est un réflexe de nature excitatrice : * Les fibres afférentes : ce sont les fibres nerveuses ramifiées sur le muscle dans le fuseau

TP4 LE FONCTIONNEMENT DES SYNAPSES. activité 1: existence de deux types de synapses Lisez le document 1 p208: protocole expérimental et enregistrements 1 et 2. Expérience complémentaire: si on stimule les interneurones situés entre les fibres du nerf paracercal et le neurone du 6ème ganglion (neurone géant), on obtient l'enregistrement 2. A partir de ces informations, expliquez pourquoi on dit que certaines synapses sont excitatrices alors que d'autres sont inhibitrices. Identifiez les synapses

anesthésie en dessous de cette section, la moelle est cependant toujours vivante – Progressivement récupération partielle • De l’activité des récepteurs et des nerfs sensibles • D’un tonus musculaire modéré (activation des motoneurones α par les interneurones médullaires) • Réapparition de certains réflexes : implique une stimulation – Simples en premier – Puis plus complexes, nécessitant même une certaine coordination – Ex : les réflexes de Pflügers (grenouille décérébrée) » D’abord Flasque…puis reprise

drogues sur le « système de récompense » Neurone cérébral activateur des neurones dopaminergiques Alcool, nicotine + – Message activateur Message inhibiteur Neurone se projetant vers le cortex frontal + – Neurone à dopamine Interneurone inhibiteur à GABA Interneurone enképhalinergique Morphine, héroïne + Cocaïne, amphétamine, ecstasy © Hatier Les effets de la prise de drogues • Une prise répétée au cours du temps d’une drogue engendre tolérance, dépendance physiologique et dépendance

(Schéma n° 2). La modulation de l’activité des neurones nociceptifs postsynaptiques par les enképhalines (ou par la morphine) semble donc plutôt être de type postsynaptique, mettant en jeu une synapse inhibitrice entre les terminaisons axonales des interneurones enképhalinergiques et les neurones nociceptifs. Cette modulation inhibitrice résulte de la fixation des molécules opioïdes (enképhalines ou morphine) sur les récepteurs opioïdes qui ont été mis en évidence sur ces neurones postsynaptiques. Ainsi

impliqués Dans la moelle épinière, les axones des neurones sensoriels établissent des synapses dans la substance grise, d’une part, avec les neurones moteurs commandant le muscle extenseur et, d’autre part, par une branche collatérale, avec des interneurones (synapses neuroneuroniques). Les axones de ces derniers forment des synapses avec les neurones moteurs commandant le muscle fléchisseur antagoniste. Enfin, les axones des neurones moteurs forment des synapses neuro-musculaires, excitatrices, avec

petite dépolarisation d’amplitude proche de 100mV. Le codage de l’influx nerveux se fait par la fréquence avec laquelle les potentiels d’action parcourent la fibre. *Interneurone : Neurone de petite dimension du système nerveux central situé entre deux neurones. Il permet le transfert d’un neurone à l’autre, c’est alors un interneurone stimulateur. Il permet parfois de bloquer le passage du message nerveux entre ces deux neurones. C'est alors un neurone inhibiteur. *Macula ou tache jaune : zone de

réseaux élémentaires : 1/ Les réseaux nerveux réverbérants excitateurs : L’information nerveuse est transmise d’un neurone à l’autre selon la chaîne principale du neurone. Chacun de ces neurones possède un prolongement qui va agir sur un interneurone et l’interneurone va venir à son tour exciter le neurone de la chaîne principale qui a émis le prolongement. Donc l’information revient au neurone qui vient de l’envoyer. On appelle ça des boucles excitatrices (feed back positif). Ces réseaux