Interprétation Du Rêve

Interpreter consiste à donner une signification claire à quelque chose qui est, à l’origine, ambiguë, obscure. L’astrologue va interpréter le mouvement des astres, le juge interprètera un texte de Loi, et l’acteur un rôle. Tout comme on peut interpréter un rêve, une poésie, une phrase, un silence même…On parle donc d’interprétation à propos d’objets très différents. Peut-on en conclure que l’homme peut tout interpréter. Face à cette diversité d’interprétations, on pourrait être tentés de penser que l’homme

découlent. L’analyse du discours relève de la critique interne et externe. 3 types de critique externe: * La critique historique * La critique herméneutique < Hermès, Mercure, dieu des voyageurs et messager des Dieux = interprétation. L’exégèse biblique (interprétation des récits bibliques) est à l’origine de la critique herméneutique * La critique sociologique 2 Types de critique interne : * Critique textuelle * Critique structurale CM n° 2 : 02/02/11 LA CRITIQUE HISTORIQUE

d'amour onirique, entre deux personnages faits l'un pour l'autre. Mais c'est une histoire d'amour dramatique car le rêve est obstrué par la réalité et vis et versa. Les deux personnage ne sont pas sur la même longueur d'onde dans la réalité tout en l'étant pourtant dans leur imaginaire. Cette histoire d'amour est donc un rêve, parlant des rêves, et racontée par et avec le rêve. Le rêve et l'amour, sont les deux ingrédients principaux du film, qui se croisent et s'entrecroisent tout au long de celui-ci

Neisser (invente expression psychologie cognitive) -600075621665A stimulus du milieu B Cognitions (interprétations, croyances, perceptions, etc) C Comp. 00A stimulus du milieu B Cognitions (interprétations, croyances, perceptions, etc) C Comp. Ellis (Schémia d’A-B-C pour les béhavioristes, il existait juste le stimulus Ellis a compléter) A= événement extérieur B= renvoie aux interprétations mentales qui interviennent entre le stimulus environnemental et sa réponse C= réponse comportementale

trop longues conduisent à un spectacle statique mal adapté aux désirs du public. C’est pourquoi Claudel écrira plusieurs versions de son théâtre : « Partage de midi », en 1906, précède une version pour la scène en 1949. La parole poétique suscite le rêve qui ne peut se heurter à la matérialité de la scène ou à l’épaisseur du jeu. Ainsi, l’importance du texte dépend de l’intention du dramaturge : si celui-ci concentre l’action dans la puissance du langage, la lecture suffit à percevoir les rapports

L’éveil du jour et des animaux par l’auteur (l.3 à 9). III - La course après le jour (l.10 à 13). IV - L’auteur attrape le jour … puis se réveille (l.14 à 17). Etude I - Le silence, pas de mouvement (l.1 à 3). - 1ère phrase = conclusion du rêve. 1er sens d’embrasser = prendre dans ses bras. C’est une sorte de cri de victoire après l’exploit du poète. - Le récit commence à la l.2. La vision du poète s’ouvre à une vie somptueuse : « palais », « pierreries », mais « morte ». - On sent un calme

principe de plaisir alors que chez l’adulte c’est la prééminence du principe de réalité qui est en pace. Le jeu comme support analytique : Mélanie Klein est persuadée de l'intérêt du jeu comme moyen d'accès à l'inconscient, le jeu est l’équivalent du rêve. Par le jeu, l'enfant traduit sur un mode symbolique ses fantasmes, ses désirs, ses expériences vécues. Le jeu apparaît alors au thérapeute comme un langage. L’enfant nous livre ici un matériel clinique susceptible d’interprétations qui permettent

Intro : On a tous fais un rêve qui semblait tellement réaliste qu’en se réveillant le matin on ne sait plus si c’est vraiment arrivé ou non. Ce n’est qu’après une longue réflexion qu’on se rend à l’évidence : l’apparente réalité de notre rêve a rejoint la virtualité de notre mémoire. On confond donc la réalité avec notre rêve. La réalité se définit par le caractère de qui existe effectivement, de ce qui existe en fait. Problématique : Quel lien peut-on établir entre le rêve et la réalité ? I - Comment

Le rêve de chute : Le rêve de chute apparaît fréquemment sous forme d’une image hypnagogique (précédent l’endormissement). Sensation qui pourrait s’expliquer par une désactivation soudaine des neurones. Le cerveau plonge littéralement dans le sommeil. Cette interprétation purement psychologique peut toutefois occulter les résonances psychologiques de la chute, angoisses fondamentales de l’homme. D’après le psychologue Serge Ginger « le rêve de chute serait comme une mise en garde permanente, un

récit légendaire qui permet l’/explication de l’origine des choses ; une mauvaise interprétation du mythe changerait donc tout son sens. De plus, on peut établir une similitude entre le mythe et le rêve car ils représentent tous les deux un enchainement d’images et ne sont pas précisément défini. Les mythes religieux comme politiques/ peuvent prendre plusieurs formes. Ainsi, un mythe peut avoir plusieurs interprétations et autant de significations qui peuvent être complémentaires comme opposées.