Intertextualité Giono

s’attend donc à un hussard sur un cheval et pas sur un toit, d’après la définition. Le mot « toit » évoque quant à lui un animal solitaire, tel que le chat, ou aérien comme l’oiseau. Angelo en rencontre d’ailleurs a plusieurs reprise sur le toit, et Giono le rapproche énormément du chat qui sera son compagnon. On pourrait penser aussi à un ouvrier zingueur. « Sur le toit » évoque une petite comptine pour enfants. On a donc une idée de hauteur et de déséquilibre, de surprise=> au-dessus des choses. Le

pensées mortelles » (Lady Macbeth, puissance féminine veut être comme un homme) * « Va-t-en damnée tache ! » (Hantée) * « Pourquoi ces mains ne sont-elles jamais propres ? » (Lady Macbeth possédée ? vengeance du mal qu’elle a commis) JEAN GIONO, Les Âmes fortes Un dialogue auprès des morts : * « Le pauvre Albert est à peine étendu raide sur son lit, et tout de suite vous lui mangez ses caillettes » « Quand on veut faire le mal, ce n’est pas une culotte ou une robe qui vous le fait

Le hussard sur le toit, Jean Giono Jean Giono, choqué par les atrocité de la 1ère guerre mondiale, se réfugie dans sa provence natale pour écrire. Ecrivain polyvalent, il réalise aussi bien des textes polémiques publiés dans le dauphiné libéré, que des romans pacifistes, dans lesquels ses appels à désobéirent le conduisent en prison, ou encore une fresque inquiétante et ironique, intitulée « Chroniques Romanesques », dont l’un des emblêmes est certainement Le Hussard sur le toit, écrit en 1951

Objet d'étude: Le roman et ses personnages: visions de l'homme et du monde. Texte A : Guy de Maupassant (1850-1893), Une Vie, chapitre XIV (1883). Texte B : Emile Zola (1840-1902), Germinal, septième partie, chapitre VI (1885). Texte C : Jean Giono (1895-1970), Regain, deuxième partie (1930). Texte D: André Malraux (1901-1976), La Condition humaine, septième partie (1933). Texte E : Albert Camus (1913 -1960), La Peste, cinquième partie, chapitre 5 (1947). ECRITURE I) Après avoir lu tous

Les âmes fortes, Jean Giono Autrui est-il à craindre ? Introduction Les âmes fortes, œuvre écrite en 1949 s’inspire d’un aphorisme de Vauvenargues qui définit l’âme forte comme « dominée par quelque passion altière et courageuse à laquelle toutes les autres, quoique vives, sont subordonnées. » Autrui est-il à craindre ? Cette question suggère qu’il est possible d’envisager par la pensée que quelqu’un peut être nuisible et qu’il faut donc se méfier de l’autre. Dans cette œuvre, les personnages

disparaît toute perspective du bien ? On s’appuiera notamment sur le Macbeth de Shakespeare, sur la première partie de la « Profession de foi du vicaire savoyard » de l’Émile ou de l’éducation de Jean-Jacques Rousseau et sur Les Âmes fortes de Giono. On peut penser que la méchanceté consiste à se tromper sur le bien. En effet, on peut la distinguer de l’erreur technique en ce que celle-ci est indifférente au bien et au mal mais non au bon et au mauvais alors qu’elle est liée au mal. C’est

points) Relevez et classez les oppositions de la ligne 12 à la fin (2 points) "ses cheveux courts s'éparpillent" 2eme partie (16 points) Vous ferez de cet texte un commentaire composé [pic] INDE - PONDICHÉRY - Séries générales - Juin 2000 JEAN GIONO (1895-1970) Regain - Éd. Grasset, 1930 Gédémus et Arsule, sa compagne, perdus sur un plateau désertique de Haute Provence, se réfugient dans une petite grange pour y passer la nuit. "Tout à coup, ils se sont réveillés". Il y avait dessous la porte

Giono, Le grand troupeau Fiche de lecture  1. Biographie de Jean Giono 2. Résumé de « Le Grand Troupeau » 3. Le contexte de « Le Grand Troupeau » 4. Les idées de « Le Grand Troupeau » 5. Le style de Jean Giono 1. Biographie de l’auteur Jean Giono naît à Manoque le 30 mars 1895. Il quittera très rarement sa ville natale et seulement pour des voyages à Paris et en Italie, outre de la guerre. En 1991 il abandonne l’école étant obligé d’aider ses parents. Avec son salaire il arrivera à

L’analyse du texte se fera de façon linéaire en deux parties : o Première partie : assez général et qui se présente sous la forme de quatre questions rhétoriques. o Second partie qui présente la thèse pascalienne dont s’est inspiré Giono. Premier mouvement : Pascal pose la problématique en quatre questions : o Question 1 : « …/… ? » : Le mot dignité est à comprendre dans le sens de fonction. o Sujet du débat = La fonction royale et le bonheur (rendre heureux)

Tous ces temps sont des marques du discours. Pas de passé simple car on n’est pas dans un récit écrit mais plutôt oral. Commenter : Giono met en scène un milieu rugueux qui rentre en opposition (= contradiction) avec Langlois. Elle ne comprend en rien ce que fait Langlois (son silence et sa contemplation du sang : on peut parler de la couleur rouge pour Giono qui est le divertissement royale). Malentendu entre les deux personnages. Une façon de dire les choses de façon implicite. Par rapport