Intime Pudeur

Je me lave les mains après que j’eu préparé le matériel et sécurisé mon espace de travail. J’informe et explique le soin à Mme P. Tout en tenant la conversation à Mme P, dans un premier temps, je lui déshabille le haut du corps afin de respecter sa pudeur, avec le premier gant de toilette et sa participation selon ses capacités, nous commençons par les mains, les bras, le cou, le thorax et l’abdomen. Je rince et sèche soigneusement, elle est sécurisée et est couverte avec une serviette le temps que

destinés. Une fois que Mr P est habillé, nous le laissons en chambre fermée le temps d’attendre le traitement et le petit déjeuner afin de protéger les autres patients. Dans cette situation, l’intrusion dans l’intimité et le non respect de la pudeur m’a beaucoup choqué. Dans un premier temps, le fait d’entrer dans la chambre du patient sans son consentement, sans lui laisser le choix m’a dérangé. C’est son espace, cela fait partie de son lieu de vie et il lui est donc réservé. L’intimité

physiques et modifications de l’image corporelle Début de la puberté Préoccupation de l‘image corporelle Questions sur la normalité Curiosité sexuelle Importance du groupe des pairs du même sexe Amitiés intenses Revendication d’un espace d’intimité Pudeur Recherche de soi Mi-adolescence 14–17 ans Fin de la puberté Intégration des modifications corporelles Préoccupation de l’apparence physique Expérimentation, Phase romantique Groupes des pairs plus hétérosexuels Début de liens plus individuels

Aides-soignants, kiné, etc.… 2/ Objectifs : Etre capable de réaliser des toilettes au lit, au lavabo seule pour permettre à la personne aidée de satisfaire ses besoins fondamentaux et assurer une bonne hygiène de vie, tout en respectant sa pudeur et son intimité. Afin d’atteindre cet objectif, je mets les moyens suivants en œuvre : J’observe l’aide-soignante pendant les toilettes, je regarde comment elle procède, le matériel et les produits qu’elle prépare d’avance, dans quel sens

douche, j'ajuste l'eau avec elle à la température qu'elle désire. Lors du soin d'hygiène, je lui lave le dos et les extrémités de son corps (bras, jambe) car elle ne peut y parvenir. Je l'aide à se tenir debout pour ainsi pouvoir faciliter sa toilette intime. Je dois bien sûr aussi participer à son séchage et à l'habillage pour ainsi pouvoir la rasseoir au fauteuil. II phase compréhensive ou explicative a) Brainstorming .  L'hygiène corporelle est un soin qui permet d'être propre et de protéger

toilette du dos, des pieds ainsi que de sa toilette intime. Dans l’EHPAD, ce soin se fait dans la chambre du résident juste après son réveil, elle peut être faite dans le lit du résident ou dans la salle de bain comme ici. Pour ce soin, ma première démarche était de frapper à la porte de Madame L pour montrer mon respect envers elle afin d’entrer en signalant ma présence. Je refermais la porte derrière moi dans le but de respecter sa pudeur, car lors de ce soin, l’intimité du résident est dévoilée

commence à rassembler le matériel qu’il me faut. Je prends donc des gants, des gants de toilette jetables, une grande serviette éponge pour le corps et une petite pour le visage ; je prends aussi une serviette abeille pour le séchage des parties intimes, un tube de crème et la protection qui correspond à Madame R. Je vérifie que j’ai bien tout pris puis je vais dans la chambre de Madame R. Je frappe avant d’entrer, je rentre, je dis « bonjour », j’indique ma présence tout en refermant bien la porte

titre, ensuite, auquel la résonance avec le poème d’Apollinaire donne tout son sens à la lecture du souvenir, dans l’exigence d’une restitution courageuse et authentique de la mémoire. Ce dernier aspect, essentiel dans le roman, correspond au parcours intime du jeune garçon devenu adulte et se rendant au procès Papon sous le déguisement d’un clown, en hommage au père disparu ; c’est, plus largement, l’appel à ne pas oublier les actes du passé, dans une réflexion philosophique et morale que le procès de

féminine et n’ayant pas eu les bases d’apprentissage des toilettes pour respecter le critère de pudeur, je ne suis pas à l’aise du tout et même gauche. De plus, le regard de certaines patientes me renvoie mon manque de théories. Certaines refusent même que je les prenne en soins car elles ne veulent pas que je fasse leur toilette car c’est trop intime. Ce regard des femmes et cette gène pour les soins intimes vas-t-il se poursuivre longtemps au long de la formation et de ma vie professionnel ?

chambre en appuyant sur la présence. Suite à ça, j’installais confortablement Mr C puis je commençais par la tête puis le haut du corps. Après je faisais les jambes et les pieds. Et en dernier, je lavais le dos avec un deuxième gant puis la toilette intime. Analyse de situation : Je mettais tout le matériel nécessaire afin de ne pas faire des pas inutiles et surtout de ne pas s’éloigner de Mr M car un accident, du a un oubli, J’appuyais sur la présence pour indiquer que je pratiquais un soin chez Mr