Intimité Pudeur

corporelle. Elle assure le bien être physique et moral de la personne. C'est un moment privilégié pour la relation et l'observation. Dans le cas de Madame C, elle se fera dans sa salle de bains personnelle. Je dois être attentive à ses demandes (pudeur, apparence, esthétique….) Il est 8h00. Après avoir préparé le matériel nécessaire, m'être lavé les mains et enfilé une paire de gants, je frappe à la porte de Mme C. J'entre doucement dans la chambre, j'allume la lumière et je m'annonce d'une voie

toilette). Ceux-ci lavés, je passe au nettoyage du bas du corps (jambes et pieds). Avant de passer à la toilette intime, l'eau de la bassine était changée et un linge propre était disposé sur le haut du corps de cette dame afin de respecter son intimité et sa pudeur. Pour la toilette génitale, je portais des gants pour minimiser le risque de transmission de germes entre moi et le résident et pour éviter le contact avec les liquides biologique pouvant être potentiellement infectieux. Donc je procédais

la réalisation de ses soins quotidiens compétence 6 : Communiquer et conduire une relation dans un contexte de soins compétence 7 : Analyser la qualité et améliorer sa pratique professionnelle 7ème étape : Invariants qualités Pudeur, intimité, sécurité, hygiène, ergonomie, respect, communication, organisation, autonomie, transmissions, douceur et confort 8ème étape : Objectifs atteints ? Je pense avoir respecté les invariants qualités, j'ai discutée avec Mme C pendant le soin

appuyé par le « non » L.14 qui affirme qu’il n’y a pas d’attente de sa part, méprise des mots. Juxtaposition « je voulais » ligne 14 montre confusion, étonnement mais volonté d’être sincère, de partager une intimité, de dire ce qu’il pense. « Ce n’est pas important » ligne 15 pudeur, négation, le retour du masque, capable de s’adapter à la personne d’en face. Rythme binaire et une proposition subordonnée circonstancielle de cause « je te le dis parce que c’est vrai et je voulais te le dire

sa mère et de leurs relations pour arriver au jour où elle est atteinte brutalement, d'un accident vasculaire cérébral grave qui la plongera dans un coma qui la conduira, quatre semaines plus tard à « naitre au ciel¹ » Il nous décrit, avec pudeur et intimité, a traers des yeux d'enfant et de médecin, les moments passés auprès sa mère, dans un journal, qu'il à écrit à son chevet. Il nous fait part de son vécu sur l'accompagnement au seuil de la mort, Les moments intenses qu'il vivait à ses côtés

accompagné afin de débrancher les perfusions de la patiente pour que je puisse lui faire sa toilette sans être genée. J'enlève alors ses vêtements et lui demande si je ne lui fais pas mal. Je laisse le haut de son vêtement sur elle afin de respecter sa pudeur. Je vais dans la salle de bain prendre le gant pour le haut. En faisant attention que le gant ne soit ni trop chaud ni trop froid, je demande bien à la patiente si cela lui convient. Je commence alors la toilette par le torse, en faisant bien attention

freins pour la sécurité du jeune, détacher les sangles et les attachent du fauteuil. Elle a mis un filet pour le liée au filet de transfert électrique. Ensuite ont la installer sur le lit à douche. Nous l’avons déshabillé tout en gardant son intimité et sa pudeur. Elle a mis les gants pour la toilette intime. Puis après pour mettre le « étuis péniens Pénilex », L’aide-Soignante n’a pas mis des gants, à souffler sur les poils, et à poser « l’étuis péniens pénilex » a mis la protection et ont l’habillées

corps: je pars du ventre et je remonte vers les épaules, les bras, les mains et je finis par les aisselles. Puis je la sèche avec sa serviette du haut puis je lui laisse sa serviette en haut pour que Mme T n'est pas froid et pour respecter son intimité et sa pudeur. Je passe aux membres inférieurs de Mme T. Je commence par laver la jambe la plus loin de moi, je replie le drap du côté propre sous sa jambe puis je la rince et je la sèche et je lui laisse sa serviette sur ses jambes pour que Mme T n'est

la positionner le plus confortablement possible pour elle et pour nous. Je baisse la barrière et je l’averti que nous allons commencer la toilette. Nous commençons par la toilette intime en respectant les règles d’hygiène et de confort ainsi que sa pudeur et sa dignité. Je lui enlève sa protection hygiénique et l’aide soignante procède à la toilette intime, une fois celle-ci terminée je lui remonte un peu la tête et je l’aide à s’habiller. Puis à l’aide de la potence elle nous aide afin que nous puissions

bonne digestion et favorise une bonne élimination Pratique d’une activité physique qui favorise la digestion et la sudation Intégration de l’apprentissage de la propreté Hygiène et locaux adaptés et propres Environnement permettant le respect de la pudeur Capacité à se mouvoir et se dévêtir seul Compréhension du cycle menstruel Capacité à exprimer son ressenti        Douleurs abdominales (abdomen gonflé, dur…) Absence de menstruation (non physiologique) ou écoulement anormal Sueur excessive