Introspection Proust Livre

de 1745 à 1772. Son traité philosophique lui vaut la prison. Il écrit un drame bourgeois, genre qui se démarque de la tragédie et de la comédie. « Le fils naturel » met en scène des épisodes de la vie quotidienne de la classe moyenne. Il publie un livre sur la réflexion sur l’art de l’acteur « Paradoxe sur le comédien ». Ces œuvres les plus novatrices sont « Jacques ou le fatalisme » et « Le neveu de Rameau » qui sont publiées et reconnues qu’après sa mort. Au niveau politique, il est opposé à la

limite de la vulgarité. Cette entreprise de déconstruction des modèles vise sans doute un monde dont la cohérence, au XIIIème siècle, fait cruellement défaut, mais elle consacre avant tout le triomphe de la littérature. 14 MONTAIGNE, ESSAIS, LIVRE III, « De l’expérience » Or je trete mon imagination le plus doucement que je puis et la deschargerois, si je pouvois, de toute peine et contestation. Il la faut secourir et flatter, et piper qui peut. Mon esprit est propre à ce service : il n’a

Arrabal Theatre since 1968 Boulevard and mainstream La création collective Directors and playwrights Sarraute and Duras Playwrights since the 1970s Théâtre du quotidien Koltès and Vinaver Conclusion Fiction 1914–40 The revolt of youth Time and history Proust The relationship with history The relationship with God The problem of destiny The human tragedy Forms of fiction 1940–60 New departures Radical experiment The New Novel 1960–70 Yourcenar Cohen Tournier Since the 1970s Duras The legacy of the sixties

modèle, et qui lui a repris sa devise «  Nulla dies sine linea  », est en train d’écrire le troisième et dernier tome de son Zola, au rythme régulier de trois pages publiables par jour, rempli d’une attente fiévreuse. Car il se joue dans ce livre formidablement érudit beaucoup plus qu’une biographie  : la dialectique complexe de l’homme et de l’œuvre, problème évacué des études littéraires. Naguère, on avait, d’un côté, l’étude « immanentiste » s’enfermant métho- diquement dans la clôture

modèle, et qui lui a repris sa devise «  Nulla dies sine linea  », est en train d’écrire le troisième et dernier tome de son Zola, au rythme régulier de trois pages publiables par jour, rempli d’une attente fiévreuse. Car il se joue dans ce livre formidablement érudit beaucoup plus qu’une biographie  : la dialectique complexe de l’homme et de l’œuvre, problème évacué des études littéraires. Naguère, on avait, d’un côté, l’étude « immanentiste » s’enfermant métho- diquement dans la clôture

fut son modèle, et qui lui a repris sa devise « Nulla dies sine linea », est en train d’écrire le troisième et dernier tome de son Zola, au rythme régulier de trois pages publiables par jour, rempli d’une attente fiévreuse. Car il se joue dans ce livre formidablement érudit beaucoup plus qu’une biographie : la dialectique complexe de l’homme et de l’œuvre, problème évacué des études littéraires. Naguère, on avait, d’un côté, l’étude « immanentiste » s’enfermant métho- Le deuxième volume de cette

éternellement, alors qu’en art tout est jeu de formes et de langage, « remise en question permanente », « perpétuelle renaissance ». De sa belle voix grave et amusée, il expliquait volontiers, encore récemment dans ses entretiens radiophoniques repris en livre, Préface à une vie d’écrivain (2005), que ses études scientifiques l’avaient d’abord cantonné aux lettres anciennes, aux classiques, pour la culture littéraire, et qu’il avait eu, jeune homme, des rapports distants avec les romans de son temps, préférant

encore un livre, de préférence facile et à la typographique aérée. 5 Dites-vous bien que cet investissement vous servira toute votre vie et vous fera gagner des centaines d'heures. Laissez-vous guider leçon après leçon et surtout faites chacun des exercices qui vous sont proposés. Vous ne le regretterez jamais. A ce propos, il serait très utile, lors de vos leçons, que vous ayez toujours à la portée de la main, outre du papier et un crayon pour prendre des notes, un journal et un livre de chevet

qui désigne la modernité débute en 1850. Il n’est pas d’accord car pour lui la modernité a toujours existé. Comment peut-on la définir ? Elle se définit selon Baudelaire par une survivance, un retour du passé dans le présent. Ex : La Madeleine de Proust : Il faut que le narrateur mange plusieurs madeleine avant de saisir à quoi lui fait penser le goût, c'est-à-dire que le goût le renvoi au passé, c’est comme si le passé était dans le présent. La modernité à toujours existé mais il s’agissait de poser

d’étude : Le biographique ......................................................................................................... Texte A. François René de Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe, livre premier, chapitre III ......................... Texte B. Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions, livre premier ........................................................................... Texte C. Georges Perec, W ou le Souvenir d’enfance.............................................................