Invictus William Ernest Henley

consulter du monde entier car sa parole est vraie. Nelson recevra le prix Noble de la paix en 1993 En hommage à son honneur, un petit poème dédié à Mandela, écrit par le poète britannique William Ernest Henley en 1875 a donné du courage à Nelson Mandela tout au long de sa incarcération. Son titre en latin, Invictus, signifie « Invincible »

écrivain humaniste du XVIème siècle, disait justement : « Fais ce que tu voudras. ». Une fois libre, les limites n'existent plus, et la notion va de pair avec celle du libre arbitre. Les choix sont alors illimités. Dans son poème ''Invictus'', William Ernest Henley disait : « Je suis le maître de ma destinée / Je suis le capitaine de mon âme. ». Décider d'être libre est un choix qu'il faut faire soi- même, et agir afin que les autres en profitent. Ainsi, lors de la seconde Guerre Mondiale, ils

banals et dit même que « Chacune a son petit mérite ». Il tourne en dérision les soldats morts pendant les combats. Il valorise la guerre et dit qu’il voudrait y être. Mais cette ironie n’a pas toujours été comprise par tout le monde. Invictus de William Ernest Henley, écrit en 1888. Je l’ai choisi car, le poète fait la description de la souffrance et du désespoir, « les ténèbres » vers 1, « dans de cruelles circonstances » vers 5, «châtiments infâmes » vers 14, il se sent oppressé avec « m’enserrent

qu'horreur et ombres Les années s'annoncent sombres Mais je ne connaîtrai pas la peur.   Aussi étroit soit le chemin, Bien qu'on m'accuse et qu'on me blâme Je suis le maître de mon destin, Le capitaine de mon âme.
 Invictus est un court poème de l'écrivain William Ernest Henley qui fut cité à de très nombreuses reprises dans la culture populaire et qui contribua à le rendre, célèbre. C'est le poème préféré de Nelson Mandela. Il est souvent repris tout au long du film. Un simple poème est

nom Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l'espoir sans souvenir J'écris ton nom Et par le pouvoir d'un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer Liberté Paul Eluard in Poésies et vérités, 1942 Invictus Hors de la nuit qui me recouvre, Noire comme un puits d’un pôle à l’autre, Je remercie les dieux, quoi qu’ils puissent être Pour mon âme indomptable. Tombé dans l’étreinte des circonstances Je n’ai pas gémi ni pleuré à voix haute. Sous les

glisse jusque dans le choix des vêtements. Il continue de défendre sa qualité d'homme. Très vite, sa notoriété s'élève au niveau international. Pendant toutes ces années de détention Mandela trouve l'inspiration dans un des poèmes de William Ernest Henley, Invictus qu'il apprend à ses compagnons pour les encourager. Se montrant toujours ferme et courtois avec ses gardiens qui s'avouent être particulièrement brutaux, il défie leurs ordres, refusant par exemple de les appeler « baas » (« maître »)

forcés, ce qui affecte sérieusement son état de santé physique sans jamais réussir à briser la force morale qui l’anime. Il appelle à la résistance. Mandela récite le poème « Invictus » de William Ernest Henley. Le titre latin signifie « invaincu, dont on ne triomphe pas, invincible ». Lorsque le texte est écrit, William Henley survivra à son opération et vivra avec un seul pied jusqu'à l'âge de cinquante-trois ans. Ce poème montre sa resistance à la douleur suite à son amputation. Voici les derniers

tard se faire opérer de ce fait du canal lacrymonasal12. Les prisonniers échangent néanmoins leurs connaissances dans ce qui devient « l'université Mandela », parlant aussi bien politique que de William Shakespeare, Nelson Mandela récitant et enseignant le poème Invictus (Invaincu) de William Ernest Henley afin de les encourager12. Quand ils ne vont pas à la carrière, Mandela et les autres détenus cassent des cailloux dans une des cours de la prison avec des cadences éprouvantes. Les conditions de

PLANTU, dessin extrait du recueil Wanted (2001) (➜ p. IV) 44. P. YONNET, Huit Leçons sur le sport (2004), leçon V, « De l’identification » 45. P. DURET, Sociologie du sport (2008) 46. J. ECHENOZ, Courir (2008) 47. Affiche du film de CLINT EASTWOOD, Invictus (2009) (➜ p. V) 156 125 161 165 131 ■ Sport et intégration 167 133 48. F. DIOME, Le Ventre de l’Atlantique (2003) 49. Y. GASTAUT, Cahiers français, n° 320 (mai-juin 2004), Sport et société, « L’intégration par le sport, réalités