Invité De Pierre Pouchkine

personnage a subit plusieurs histoires, notamment 4 dont nous allons comparer les dénouements. Parmi ces quatre, nous trouverons, Don Juan de Molière (1665), L’Abuseur de Séville de Tirso de Molina (1620), Le Festin de Pierre de Dorimond (1659) et La Convive de Pierre de Pouchkine (1830). Un dénouement étant la manière dont laquelle s’achève une œuvre, à travers ces quatre textes, nous verrons que les auteurs interprètent chacun la fin a leur façon, en changeant les personnages, leurs caractères

la mort de Don Juan Evoquant chacun Don Juan à leurs manières, ces cinq extraits sont des réécritures de la mort de Dom Juan. Tirso de Molina écrit l’Abuseur de Séville en 1630, Corneille Le Festin de Pierre en 1623, Lorenzo da Ponte Don Giovanni en 1787, Alexandre Pouchkine Le Convive de Pierre en 1830 et Baudelaire en 1847, Don Juan aux enfers. Nous allons voir de quelles manières ces textes sont présentés plus positivement, négativement ou bien sont semblables aux textes de Molière à travers

auteurs vont ensuite broder sur ce canevas, répandu dans l’Europe tout entière par les troupes de théâtre ambulantes italiennes. Deux créateurs exceptionnels lui donnent toute sa stature : — Molière (1622-1673), dont la pièce, Dom Juan ou le convive de Pierre, date de 1665. — W. A. Mozart (1756-1791), qui écrit, avec le librettiste italien Lorenzo da Ponte l’opéra Il dissoluto punito ossia il Don Giovanni (1786). Cette œuvre présente Don Juan comme un homme assoiffé de plaisir, que son énergie vitale débridée

vont ensuite broder sur ce canevas, répandu dans l’Europe tout entière par les troupes de théâtre ambulantes italiennes. Deux créateurs exceptionnels lui donnent toute sa stature : — Molière (1622-1673), dont la pièce, Dom Juan ou le convive de Pierre, date de 1665. — W. A. Mozart (1756-1791), qui écrit, avec le librettiste italien Lorenzo da Ponte l’opéra Il dissoluto punito ossia il Don Giovanni (1786). Cette œuvre présente Don Juan comme un homme assoiffé de plaisir, que son énergie vitale

l’antiquité. La cité est toujours là, seulement elle a changé. Grévin montre que le temps qui passe est une fatalité. L'illustration choisie représente les ruines de cette ancienne cité qui elle aussi a subi les outrages du temps. Ensuite vient Pierre de Ronsard dans « Sonnet à Marie », associe à la beauté des fleurs l'hommage amoureux, mais aussi la conviction de la brièveté de la vie. Illustré par le tableau "Vanité, ou allégorie de la vie humaine" de Philippe de Champaigne. Ce tableau symbolise

des aspects tardifs d'un mouvement bien plus général, qui s'est fait sentir dans l'Europe. Comme la France, l'Angleterre, l'Allemagne, la Russie ont eu leurs romantiques, et au nom de Victor Hugo répondent ceux de Byron, de Novalis et de Alexandre Pouchkine. L'art pictural n'est pas moins concerné que la littérature avec Delacroix, David d'Angers, et la musique avec Berlioz, Wagner. Quelques thèmes sont très présent chez les auteurs romantiques : . Le «moi» . Un amour malheureux . L'exotisme . La

biblique pour traduire Ivangile en jmoude, le narrateur, le Prussien Wittembach, professeur de linguistique compare, tait inquiet de voir les langues anciennes ou primitives tomber dans Ioubli, sefforait de les sauver ou de les reconstituer. Il fut invit chez le comte Michel Szmioth. Mais, son arrive, il ne le vit pas car il aurait souffert dune migraine. Il apprit que la mre du comte avait perdu la raison depuis que, quelques jours aprs son mariage et enceinte, elle avait t, lors dune partie de chasse

à chaque fois que Don Juan blasphème, le ciel le rappelle à l'ordre d'un coup de tonnerre sonore. S'agit il alors d'illustrer la pérennité du mythe de Don Juan que l'on retrouve de Tirso de Molinas à Eric Emmanuel Schmidt, en passant par Mozart, Pouchkine, Balzac, Dumas, Rostand ou encore Baudelaire pour n'en citer que quelques-uns? Non plus. La réponse est bien plus simple … J'ai supprimé la mort de Don Juan car je pense que si Molière avait écrit sa pièce au XXIe siècle, c’est ce qu’il aurait fait 

vont ensuite broder sur ce canevas, répandu dans l’Europe tout entière par les troupes de théâtre ambulantes italiennes. Deux créateurs exceptionnels lui donnent toute sa stature : — Molière (1622-1673), dont la pièce, Dom Juan ou le convive de Pierre, date de 1665. — W. A. Mozart (1756-1791), qui écrit, avec le librettiste italien Lorenzo da Ponte l’opéra Il dissoluto punito ossia il Don Giovanni (1786). Cette oeuvre présente Don Juan comme un homme assoiffé de plaisir, que son énergie vitale

de pierre après son échec avec Tartuffe, plusieurs dramaturges Italiens reprennent le mythe et, en 1787, Mozart et Da Ponte transposent la pièce à l'Opéra dans le célèbre Don Giovanni. Le 19ème siècle européen et romantique trouve ensuite dans Don Juan une figure privilégiée de la révolte et de l'échec à travers divers genres poétiques, narratifs et dramatiques chez l'Anglais Byron avec Don Juan en 1824 puis avec les Allemands Hoffmann en 1813 et Lenau en 1844 et enfin avec le Russe Pouchkine avec