Invocation

| | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | Ai-je refait mon wud'u dès que je l'ai perdu ? | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | Ai-je fait mes invocations du matin et du soir ? | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | Ai-je récité le coran (au moins 1juz par jour) ? | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | |

même si ce dernier est nébuleux (II). I. Le principe d’autodétermination altéré Dans cette première partie, il conviendra de mentionner une invocation infondée du principe d’autodétermination des peuples par les criméens (I) et qu’il y a une capacité d’action limitée face à l’ingérence d’un principe pourtant inéluctable (II). A. Une invocation infondée du principe d’autodétermination des peuples - 1er argument : il n’existe pas de droit à l’autodétermination dans les situations qui

Lalla Zoubida, la mère de l'enfant, nous permet de les accompagner au sanctuaire de Sidi Boughaleb. L'enfant pourra boire de l'eau de sanctuaire et retrouvera sa gaieté et sa force. L'enfant découvre l'univers du mausolée et ses rituels, prières et invocations peuplaient la Zaouïa. Le lendemain, le train quotidien reprenait. Le père était le premier à se lever. Il partait tôt à son travail et ne revenait que tard le soir. Les courses du ménage étaient assurées par son commis Driss. La famille depuis un

aussi bien que le ON. Mais l’adresse est assez insistante, le questionnement assez répétitif pour laisser entendre l’un des enjeux pathétiques d’Alcools : la quête de l’autre. Le dialogue ne s’installe pas : il est troublé : les questions et les invocations restent sans réponse. L’univers de références du texte est lui aussi incertain, très flou… Cependant, les lecteurs érudits et attentifs [3] ont pu observer dans cet apparent désordre nombre d’éléments qui renvoient à des détails précis de la

fait que l’accomplir. -père et mari aimé puis détesté (double parenté) -homme de la démesure (ubris), lucide (> retournement de situation) déshumanisé, qui brouille ses liens de parenté = héros solitaire Style : métaphore, double énonciation (invocation des dieux), opposition, monologue lyrique, ironie tragique, clair/obscur Eléments à mettre en relief : bienséance, vraisemblance, règle des trois unités = étudier la tragédie antique [à continuer]

APOCALYPSE DES PESTES • Peste d’Athènes – Guerre du Péloponnèse (430 av JC) – Description détaillée par Thucydide (extraits) – Soudaineté, recherche de coupables, dissolution des mœurs, dévouement des médecins et des familles / abandon des moribonds, invocation divine, conséquences économiques et politiques L’ APOCALYPSE DES PESTES • Pathogénie : réservoir de virus (rats), vecteurs (puce du rat, pulex irritans) – Germe (Yersinia Pestis) – Peste bubonique, après piqûre : gangrène cutanée et ganglions

ces propres valeurs. Confronté au sentiments de l’absurde en prenant conscience de sa solitude de mort. Registres : Registre lyrique : Vocabulaire de l’émotion, amour, nostalgie, bonheur, extase, nature. Pronom « je », Tournure exclamatives, invocation, apostrophe, insistances, anaphores, hyperboles. Registre tragique : souvent rapport avec le destin (religieux). Pris au piège de la volonté des dieux ou passions. Vocabulaire, impuissance ou révolte. Détresse de l’individu. « Les liaisons

chose). 4. Les caractéristiques du tragique et du pathétique Ponctuation expressive : série d’exclamations et d’interrogations exprimant le désarroi pour le tragique, le bouleversement et recherchant la pitié pour le pathétique. Apostrophe : invocation, sollicitation. Images et champ lexical : la mort, la fatalité, la douleur, le devoir, etc. II. Les comédies 1. Les différents types de comédie Comédie de mœurs. Comédie de caractère. Comédie d’intrigue. Comédie de sentiments. 2. Les différents

Tant de joies, que de douleurs. Du fond du cœur, je voulais vous dire « merci ». A tous les anonymes. Je vous ai offert des mots, vous m’avez offert vos sourires. Je vous ai donné un peu de temps, vous m’avez donné du cœur, immensément. A mes invocations sourit le miroir de vos prières. Qui sait pour combien de temps encore cette route et des chemins communs. Qui sait de quoi demain sera fait ? Qui sait ? Mes sourires furent tristes comme ma soudaine conscience de l’éphémère. Tout s’estompe,

la mère de l’enfant, nous permet de les accompagner au sanctuaire de Sidi Boughaleb. L’enfant pourra boire de l’eau de sanctuaire et retrouvera sa gaieté et sa force. L’enfant découvre l’univers du mausolée et ses rituels. Oraisons, prières et invocations peuplaient la Zaouia. Le lendemain, le train train quotidien reprenait. Le père était le premier à se lever. Il partait tôt à son travail et ne revenait que tard le soir. Les courses du ménage étaient assurées par son commis Driss. La famille depuis