Iouri Andropov

politique contre les dissidents et autres « éléments antisoviétiques » (sous le patronage de la cinquième direction du KGB). Avec le grade militaire de commandant, il est envoyé en 1984 suivre un cours annuel de formation continue à l’Institut Andropov (ou institut du Drapeau rouge, Krasnoznamenny Institoute - KI) du KGB à Moscou, en principe pour devenir espion. Lors de ses études supérieures à Moscou, il porte le nom de code « Platov » et exerce les fonctions de chef bénévole de son unité d’élèves-officiers

→ La liberté d'expression politique et judiciaire : Le contrôle de la justice est trop présente, et les anti communiste sont envoyés en asile psychiatrique. → La liberté d'association → La candidature multiple → Le retour des déportés. Andropov, avant dernier dirigeant communiste, chef du KGB en 1977 fera une rhétorique soviétique. En effet il déclare que la constitution interdit la condamnation de la critique sauf quand la critique est fondé sur l'Union Soviétique. Il fera une dévalorisation

rejets radioactifs de s'échapper aisément dans l'environnement. Outre ces problèmes de conception, la construction de la centrale a été réalisée sans respecter les normes en vigueur. Un rapport confidentiel de 1979, signé par le directeur du KGB Iouri Andropov et cité par Nicolas Werth3, souligne que « divers chantiers de construction réalisant le bloc no 2 de la centrale atomique de Tchernobyl mènent leurs travaux sans aucun respect des normes, des technologies de montage et de construction définies

volonté de décrire dans partie de chasse la glaciation brejnévienne, l’impression d’un régime figé pour les décennies … et brusquement, les évènements s’’accélèrent : Solidarnosc regroupe 10 millions de salariés sur les treize que compte la Pologne, Iouri Andropov arrive en 1982, soucieux de réformer le modèle soviétique, à l'origine de la perestroïka et de la glasnost mises en place par Gorbatchev à partir de 1985… Pierre Christin nous rappelle que ces pays supposés frères constituaient une mosaïque pas

tel projet menèrent ses opposants à surnommer l'initiative de "Guerre des Étoiles" et ils avancèrent que les objectifs technologiques étaient irréalistes172. Les Soviétiques s'inquiétèrent des possibles effets de l'IDS175 ; le premier secrétaire Iouri Andropov déclara qu'elle "mettrait le monde entier en péril176". Pour ces raisons, David Gergen, ancien assistant du président Reagan, considère rétrospectivement que l'IDS a hâté la fin de la Guerre froide177. Les critiques ont accusé la politique

proximité avec Moscou, ne diffère en rien de son prédécesseur. Le président français appelle systématiquement à la « prudence » (p. 236), devenu dès lors le maître-mot dans le dossier afghan, afin de ménager ses rapports avec Léonid Brejnev puis Iouri Andropov à partir de 1982. Cette sempiternelle « prudence » affecte bien évidemment la diplomatie française officielle mais également celle, officieuse, des services de renseignements qui dépendent, en grande partie, de la bonne volonté élyséenne. À la

police politique contre les dissidents et autres « éléments antisoviétiques » (sous le patronage de la cinquième direction du KGB). Avec le grade militaire de commandant, il est envoyé en 1984 suivre un cours annuel de formation continue à l’Institut Andropov (ou institut du Drapeau rouge, Krasnoznamenny Institoute - KI) du KGB à Moscou, en principe pour devenir espion. Lors de ses études supérieures à Moscou, il porte le nom de code « Platov » et exerce les fonctions de chef bénévole de son unité d’élèves-officiers

haute protection du protocole secret qui seul pouvait déclencher l'envoi des missiles nucléaires. Selon Patrick Pesnot*, deux hommes auraient pu être les commanditaires de ce complot: Mikhaïl Souslov, idéologue du bureau politique soviétique et Iouri Andropov, qui un an plus tôt avait été nommé à la tête du KGB. C'est pourquoi on peut présumer que les onze marins qui avaient embarqué à la dernière minute sur le sous-marin étaient sans doute des agents du KGB. Ceux-ci ont *Emission Rendez-vous avec

est à bout de forces [et que] ses mécanismes économiques fonctionnent de plus en plus mal ». b.  ikhaïl Gorbatchev, de la volonté réformatrice M à l’effondrement de l’URSS Issu d’un groupe de réformateurs qui s’était constitué autour de Iouri Andropov l’ancien directeur du KGB, Mikhaïl Gorbatchev, lui aussi ancien directeur du KGB, accède au pouvoir suprême en 1985. Il est convaincu qu’il faut changer le système économique soviétique en profondeur pour sauver l’URSS. Mais les courageuses

mondiale => morale envahit toutes les sphères de la société et doit établir l’ « homme nouveau » => sclérose de la société qui entraîne la passivité des masses. L’échec du communisme (1982-1991) La succession de Leonid Brejnev (1982-1985) => Iouri Andropov règne de novembre 1982 à février 1984 => était chef du K.G.B. depuis 1967, membre du Politburo depuis 1973 => soutenu par l’armée, la police et la diplomatie => tente d’engager des réformes mais se heurte à la pesanteur des structures et à la