Iphigénie

carrière : les années 1670 voient l’irrésistible ascension de Racine vers la reconnaissance et la gloire, dont le symbole est sa réception à l’Académie française (1673). Les succès s’enchaînent : Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie en Aulide (1674). Tournant de sa carrière : en 1677, Phèdre remporte un triomphe. Mais une cabale organisée par différents ennemis de Racine s’acharne contre la pièce. Dernière partie de sa carrière : la même année (1677), Racine, qui a alors

l'auteur dépeint le Roi-Soleil sous les traits d'Alexandre. Mais son véritable succès arrive en 1667 avec "Andromaque". Suivent alors d'autres coups de maître, avec notamment et successivement, en 1670, 1673 et 1674, "Bérénice", "Mithridate" et "Iphigénie". II. Fin de sa vie En 1677, Jean Racine interrompt ses créations dramatiques avec "Phèdre". Il se consacre dès lors à l'historiographie et se met, avec Boileau, au service de Louis XIV, appuyé par Madame de Montespan, alors maîtresse du roi. Il

Antigone Balzac, Eugénie Grandet, Une fille d’Eve, La fausse maîtresse Camus, L’Etranger, La Peste Duras, L’Amant, Le Marin de Gibraltar Grinberg, L’Atelier Maupassant, Bel-Ami Molière, Le Misanthrope Mondiano, Ronde de nuit Racine, Andromaque, Iphigénie Radguet, Le diable au corps Sartre, Huis clos Schmitt, La nuit de Valogne Verlaine, Fêtes galantes, Poèmes saturniens Yourcenar, Les Mémoires d’Hadrien Zola, L’œuvre, Nana 2. L’Allemagne Kehlmann, Les Arpenteurs du monde Schlink, Le Liseur Zweig

carrière ecclésiastique, il se consacre tout entier au théâtre. Il fait jouer La Thébaïde en 1664, puis Alexandre en 1665, mais c'est le succès de la tragédie d'Andromaque en 1667 qui assure sa réputation. Il donne ensuite Britannicus en 1669 puis Iphigénie en 1674 et enfin Phèdre en 1677.Très mondain, Racine est souvent détesté de ses confrères, qui lui reprochent aussi son allure de bon bourgeois, ses placements financiers, son désir de respectabilité. L'année de la mort de Molière, en 1673, l'Académie

est emprunté à l'histoire romaine, Britannicus en 1669 et Bérénice en 1670, qui l'emporte dans le coeur du public sur la pièce rivale, Tite et Bérénice. Suivent Bajazet, orientale et sanglante, en 1672, les rebondissements de Mithridate en 1673, Iphigénie en Aulide en 1674. Racine s'éteint en 1699, toujours en grâce. Il est enterré à Port Royal. Ses cendres, ainsi que celles de Pascal, ont été transférées en 1711 à l'église Saint-Etienne-du-Mont, à Paris.

que la tragedie classique à malgré quelques innovations garder les principes et les elements majeurs de la tragedie grecque. On peut citer Racine qui a repris les personnages antiques dans ses tragédies : par exemple Thésée dans Phèdre, Iphigénie dans Iphigénie… Racine reprend également les thèmes historiques avec l’histoire de Néron et d’Agrippine dans Britannicus. Corneille dans Cinna reprend également les thèmes antiques et historiques avec le personnage d’Auguste. II/ Les tragédiens contemporains

auteur dramatique. Nous vivions au palais du Louvre, ce qui explique mon intérêt pour l'art comme la peinture et la poésie. Durant mon adolescence, je fus intéressé par le théâtre et j'avais déjà à 16 ans composé deux tragédies : « Clotaire » et « Iphigénie en Tauride ». Mais ma carrière allait être destinée à la Science, aux mathématiques et à l'astronomie grâce notamment aux conseils de l'illustre Abbé Nicolas Louis de Lacaille, éminent astronome ayant découvert plusieurs constellations et auteur

pathétique. On peut s'en | | |servir pour exprimer toutes les passions vives, pour presser, convaincre, réduire et confondre l'adversaire. | | |Exemple : Achille parle à Agamemnon pour Iphigénie qui lui a été promise : | | |Juste Ciel ! Puis-je entendre et souffrir ce langage ? | | |[.

empereur de Rome. Elle voudrait se suicider mais accepte de vivre sans lui. Elle est digne, courageuse, exemplaire – mais il ne s’agit en aucun cas d’une critique sociale. On pourrait dire la même chose dans Iphigénie, par exemple, où les personnages, qu’ils se résignent ou non à sacrifier Iphigénie, ne sont au service que de la tragédie et pas d’une critique de la société. Enfin, le rôle du théâtre est avant tout de divertir. Les spectateurs viennent y chercher une distraction, et il faut qu’ils

Racine va vraiment connaître la gloire et ouvrir le cycle d'une décennie de chefs-d'oeuvre, des tragédies pour la plupart : Les Plaideurs (l'unique comédie de Racine, 1668), Britannicus (1669, Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) Phèdre (1677). A la suite d'une cabale, cette dernière pièce, aujourd'hui considérée comme le plus grand chef-d'oeuvre de Racine, fut un échec et conduisit l'auteur à abandonner le théâtre pour une dizaine d'années. Historiographe du roi