Iphigénie

leur double moderne ?) On va donc confronter les trois sœurs à des figures de la tragédie antique ce qui va nous permettre de faire émerger les particularités tragiques des figures féminines dans l’œuvre. Ce qui nous amène à comparer Irina/ Iphigénie c’est la thématique de la jeunesse sacrifiée Si on peut faire ce rapprochement : c’est déjà par rapport La blancheur de la robe d’irina semble apparaitre au début de l’œuvre comme un symbole de légèreté, et d’innocence. -volonté explicite

Louis XIV. Enfant il se retrouve orphelin assez vite. Très vite il se met à aimer le théatre et est remarqué par Louis XIV. Malgrès quelques petits problemes avec Molière, il commence a ecrirebeaucoup de pieces plus sur le theme grec (Britannicus, Iphigénie, Phèdre…). Racine meurt à l’age de 59 ans d’une tumeur au foie.

L'important succès de la tragédie Andromaque, assure sa réputation. Après une unique comédie, les Plaideurs, en 1668, il revient définitivement à la tragédie et donne successivement Britannicus (1669), Bérénice (1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674) et Phèdre (1677). Racine renonce au théâtre après de nombreuses critiques. Membre de l'Académie française depuis 1673, Racine est anobli en 1690. Il est également trésorier de France ce qui lui assure un revenu. Il épouse en 1677 Catherine

comédie Les Plaideurs. en 1669, nouveau succès avec Britannicus. Tournant de sa carrière : 1670-1677, années de gloire avec les tragédies : - Bérénice - Iphigénie - Phèdre Mort : le 21 avril 1699. II) La Poésie : ● VICTOR HUGO : Nom : Victor Hugo Naissance : 26 février 1802 à Besançon. Famille : père militaire devenu général d’Empire

tragique acclamé par le public. Trois ans plus tard, il met définitivement hors-jeu son rival, Corneille, en triomphant sur le terrain des thèmes romains avec « Britannicus » et « Bérénice ». Alors que Racine signes ses derniers chefs d’œuvre, (« Iphigénie » en 1674, et « Phèdre » en 1677) il est reçu à l’Académie française, anobli et consacré trésorier de France. « Esther » et « Athalie », ses deux dernières tragédies inspirées de la Bible, sont représentées à la cour du roi à la demande de Madame

* La Thebaïde ou les frères ennemis (1664) * Alexandre le Grand (1665) * Andromaque (1667) * Les plaideurs (1668) * Britannicus (1669) * Bérénice (1670) * Bajazet (1672) * Mithridate (1673) * Iphigénie (1674) * Phèdre (1677) * Esther (1689) * Athalie (1691)

je ne puis rien pour moi.   Jean Racine, Iphigénie (1674) Alors qu’elle croit que la cérémonie que son père prépare est son mariage avec Achille, Iphigénie apprend qu’il s’agit en réalité de son sacrifice sur l’autel qui va bientôt avoir lieu. Les dieux exigent en effet le sacrifice d’Iphigénie en retour de vents favorable à la flotte grecque jusqu’à Troie. Alors que tous sont choqué par le geste que veut exécuter Agamemnon, Iphigénie, aveuglée par son amour pour son père, accepte sont

Racine meurt à Paris le 21 avril 1699. La pièce Les Plaideurs est la seule comédie de Racine. Les œuvres principales de Racine sont Andromaque (1667) Athalie (1691) Bajazet (1672) Bérénice (1670) Britannicus (1669) Esther (1689) Iphigénie (1674) Les Plaideurs (1668) Mithridate (1673) Phèdre (1677)

Il est aujourd'hui connu pour ses tragédies telles «Phèdre», «Iphigénie», «Britannicus»... Bibliographie : - «Ode sur la nymphe de la Seine»..............(1660) -«Andromaque»...........................................(1667)-«Britannicus»..............................................(1669)-«Bérénice»..................................................(1670) -«Mithridate» …............................................(1673) -«Iphigénie»..................................................(1674) -«Phèdre»

n'aurait pas mieux fait que lui, soit parce qu'autre·fois, Atrée n'avait pas sacrifié à la déesse l'agneau d'or qu'il avait trouvé dans ses troupeaux. Quoi qu'il en soit, la déesse demandait un sacrifice. Elle exigeait que l'on immolât devant son autel Iphigénie, l'une des filles d'Agamemnon. Agamemnon y consentit ; le sacrifice eut lieu, bien qu'une version adoucie de la légende prétendît que la déesse, au dernier moment, substitua une biche à la jeune fille, et emmena celle-ci dans l'un de ses sanctuaires