Iphigénie

|comédie (farce) |Coquillart, Marcadé |Mahuet Badin | |XVIIe | |Molière, Racine, Pierre et |Le Cid, Iphigénie, Le Malade imaginaire | | |tragédie classique, comédie classique, |Thomas Corneille | | | |tragi-comédie |

propre maison. Mais il ne sait pas le reconnaître et, dans son aveuglement tragique, il voue à la mort celui qui lui est fidèle. Iphigénie. Iphigénie est innocente et vertueuse ; c'est pourtant elle que son père doit se résoudre à sacrifier. Iphigénie incarne la douceur et la tendresse ; c'est pourtant elle qui est au centre du déchaînement des fureurs familiales. Iphigénie exalte le dévouement et l'abnégation jusqu'au sublime ; c'est pourtant elle qui subit les lâchetés et les excès dévastateurs.

exclusivement à la tragédie, dont la fable et les développements ne tendent qu’à effrayer et à attendrir ; les dénouements heureux étaient réservés à la comédie. Cependant plusieurs chefs-d’œuvre grecs, comme Philoctète, les Trachiniennes, Ajax, Iphigénie en Aulide, etc., avaient des dénouements heureux ; c’était, suivant Aristote, par condescendance des poètes pour la faiblesse des spectateurs, désireux de se reposer sur des émotions agréables, alors même qu’elles ne s’accordaient pas avec le but

religieuses de Port Royal, ou il va recevoir une éducation janséniste. Il va se consacrer très vite au théâtre et la pièce Alexandre le Grand fut son premier succès. Il aime les mythes de la Grèce antique et les reprends en grand nombre avec Phèdre, Iphigénie en Alide… Nommé historiographe du roi louis 14, il renonce au théâtre puis y revient a la demande de madame de Maintenon pour qui, il écrit des tragédies bibliques comme Esther ou Athalie. Avec Racine la tragédie du 17ème siècle est à son apogée

structure en cinq actes et les dialogues en alexandrins. -Ses œuvres: La Thébaïde(1664) Alexandre le Grand(1665) Andromaque(1667) Les Plaideurs (1668,unique comédie de Racine.) Britannicus(1669) Bérénice(1670) Bajazet(1672) Mithridate(1673) Iphigénie(1674) Phèdre(1677) Esther(1689) Athalie(1691) 2.L’Œuvre: -C’est une tragédie en cinq actes et en alexandrins. -L’action a eu lieu durant l’Antiquité. -L’action se déroule dans le palais de Thésée, à Trézène en Grèce. 3.L’intrigue:

« actualité »). Apporter une photo pour le cours du 07 octobre 2011 + se mettre au niveau en orthographe + faire le résumé du texte (à rendre de manière manuscrite + pour bien le comprendre, se renseigner sur le nom de l’auteur [Lucrèce], sur Iphigénie [exemple principal du texte de Lucrèce])

SEQUENCE 3. Texte 1 : Racine, Phèdre, I,3, du début au v. 310 « flamme si noire » Racine, dramaturge classique du XVIIème. Autres pièces d’inspiration antique : Bérénice (1670), Britannicus (1669), Iphigénie (1674). Question : Comment l’aveu d’une passion amoureuse fait-il en apparaître toute la violence tragique ? OU : en quoi cet aveu fait-elle de Phèdre une héroïne tragique ? I) L’expression de la passion amoureuse Passion qui s’empare totalement de Phèdre 1) Troubles physiques → Récit

l’histoire de la tragédie classique du XVIIe siècle, Jean Racine et Pierre Corneille. Corneille à écrit « Le cid », « Cinna », « Horace », « Polyeucte » et « Nicomède ». Racine a écrit « Andromaque », « Britannicus », « Bérénice », « Bajazet », « Iphigénie » et « Phèdre ». Pierre Corneille Pierre Corneille, aussi appelé « le Grand Corneille » ou « Corneille l'aîné », né le 6 juin 1606 à Rouen et mort le 1er octobre 1684 à Paris, c’est un poète français du XVIIe siècle. Issu d'une

dans la mythologie antique. Par exemple, c'est avec La Thébaïde (l'histoire des luttes entre Étéocle et Polynice, les deux frères d'Antigone) que Jean Racine débute sa carrière de dramaturge en 1664. Une grande partie de ses tragédies, Andromaque, Iphigénie, Phèdre, seront inspirées de tragédies antiques Les dramaturges qui ont écrit des tragédies classiques prolongent le travail des auteurs antiques. Ils y ont en effet puisé les caractéristiques de leurs pièces. Aussi, toute tragédie se doit :  De

remettre Néoptolème et Philoctète sur le chemin de la guerre de Troie et permettre ainsi la victoire des Grecs, ce qui est à l‘origine de l‘intrigue. De la même façon, dans Iphigénie à Aulis de Euripide, après qu’Agamemnon se soit résigné à sacrifier sa fille pour le bien des Grecs, la déesse Artémis intervient afin d’éviter à Iphigénie d’être tuée. On observe ainsi à travers l’intervention d’un « Deus ex machina » un retour à la logique initiale de l’intrigue ainsi qu’une issue lors d’une situation désespérée