Iphigénie Acte 4

plus tard par Sénèque, mais Racine cite dans sa première préface L'Énéide de Virgile comme source principale de référence. Sommaire  [masquer]  1 Origine 2 Les personnages 3 Intrigue 3.1 Acte I (4 scènes) 3.2 Acte II (5 scènes) 3.3 Acte III (8 scènes) 3.4 Acte IV (6 scènes) 3.5 Acte V (5 scènes) 4 Adaptations 5 Notes et références 6 Article connexe 7 Liens externes Origine Après s’être fait connaître par La Thébaïde et Alexandre le Grand, pièces qui ne sont guère jouées de nos jours1

roi, car elle est à son honneur. Grâce à la pièce Andromaque il assure sa réputation. Après une unique comédie, les Plaideurs, en 1668, il revient définitivement à la tragédie et donne successivement Britannicus, Bérénice, Bajazet, Mithridate, Iphigénie et Phèdre. Touché par les critiques, Racine renonce au théâtre malgré le succès populaire de son chef-d'œuvre Phèdre. Racine reçoit en décembre 1690 une charge de « gentilhomme ordinaire de Sa Majesté ». Il est également trésorier de France ce

OBJET D’ÉTUDE : LE THÉÂTRE, TEXTE ET REPRÉSENTATION CORPUS : 1. P. Corneille, Horace, acte IV, scène 5, extrait, 1640 2. V. Hugo, Hernani, acte II, scène 4, extrait, 1830 3. J. Giraudoux, Electre, acte II, scène 8, extrait, 1937 Annexe : D. Diderot, Paradoxe sur le comédien, 1773 TEXTE 1 – Pierre Corneille, Horace, acte IV, scène 5, extrait, 1640 Camille, romaine et sœur d’Horace, aime Curiace qui vient de mourir de la main d’Horace. CAMILLE Donne-moi donc, barbare, un cœur comme le tien ; Et

Esther, Jean Racine Joël Fonseca 3-05 Sommaire 1. La pièce 3 1.1 Sa genèse 1.2 Sa réception 2. Son argument 4 3. Son inscription dans l’époque 4 4. Sa postérité 5 Bibliographie 6   1. La pièce Esther est une tragédie de Jean Racine. Se composant de 3 actes et comportant respectivement 5, 8 et 9 scènes, cette œuvre est également accompagnée de vers chantés par des chœurs composés par Jean-Baptiste Moreau, homme de mélodie savant et maître de musique à l’institut de Saint-Cyr

chantent et qui dansent. Les dieux sont dans les airs (balcon ou plate- forme) ; les morts sortent des enfers (trappes dissimulées dans l’estrade).• Ils puisent leurs sujets dans la mythologie, les deux familles maudites : les Atrides (Agamemnon, Iphigénie, Electre) et les Labdacides (Laïos, Œdipe, Antigone) et dans les récits liés à la guerre de Troie. • La tragédie grecque s’interroge sur les liens entre les hommes et les dieux. • Les hommes sont soumis à la toute-puissance des dieux. Le destin

Introduction: Le corpus qui nous est proposé est composé de deux textes mettant en scène Médée lors de son monologue dans la pièce de théâtre Médée. Cet extrait est la scène 4 de l’acte IV. Le dramaturge ayant écrit cette pièce est Pierre Corneille, auteur du XVIIème siècle. Il est né en 1606 et mort en 1684, il est un auteur classique s’inspirant de la mythologie grecque, pour écrire ses textes comme Médée en 1635.

bien au-delà de l’endurance humaine. La tragédie touche donc le public par la terreur et la pitié (φόβος και έλεος) qu’elle fait naître (dans le cas d’Œdipe, personnage incestueux et parricide). Cela en fait un genre à portée édifiante. Pour Aristote[4] la tragédie a une vocation didactique, c’est-à-dire qu’elle vise à enseigner une vérité morale ou métaphysique au public. On appelle cela la catharsis, grâce à laquelle l’âme du spectateur serait purifiée de ses passions excessives. La tragédie commence

comme dans Iphigénie , Phèdre ou Athalie . Bien qu’il commençât à écrire ses premières pièces dans les années 1660, c’est véritablement avec Andromaque qu’il rencontra le succès. S’en suivirent la création de pièces mythiques : Britan-nicus en 1669, Iphigénie en 1674 et

la confrontation du héros tragique à son destin lors d’une lutte qu’il sait être perdue d’avance. Une autre origine serait la transformation de Dionysos, fils de Zeus et de la mortelle Sémélé, en chevreau, dans le but d’échapper à la colère d’Héra 4. Melpomène est la muse de la tragédie. Elle inspire les auteurs de tragédie et elle les protège, ainsi que leur troupe. Jane Ellen Harrison5 signale que Dionysos dieu du vin (boisson des couches aisées) s'est substitué tardivement à Dionysos dieu de

procédé afin de resserrer son intrigue autour des tensions que provoquent la présence du Fatum et de ses conséquences. Agamemnon, qui prépare en secret le sacrifice aux Dieux de sa fille, Iphigénie, refuse à sa femme, Clytemnestre, d’accompagner leur enfant à l’autel pour son mariage. Racine, dans cette scène d’ Iphigénie accroit le nœud dramatique en mettant face à face ces deux personnages. Le roi veut sacrifier sa fille en préservant sa femme. Cette dernière, ne comprenant pas l’attitude de son mari