Iphigénie Acte

la mort ne viendra pas rapidement. La mère d’Electre, elle, tente de noircir l’image que la jeune fille se faisait de son père : « Oui, tu vas savoir enfin ce qu’il était, ce père admirable ! » « et quand dans l’aube il livra à la mort ta sœur Iphigénie », « Il était pompeux, indécis, niais. C’était le fat des fats, le crédule des crédules… ». Chacune de ses femmes a commis un ou plusieurs crimes ce qui est immorale dans notre société. Ceci est amplifié par la teneur des actes. Pour Médée, il s’agit

amant Egisthe. AGAMEMNON Assassiné par sa femme et l’amant de celle-ci. MENELAS Marié à Hélène (sœur de Clytemnestre), il est tué à Troie. Les quatre enfants de Clytemnestre et Agamemnon : CHRYSOTHEMIS Fille préférée de Clytemnestre. IPHIGENIE Sacrifiée par son père pour apaiser la colère des dieux et avoir des vents favorables pour aller jusqu’à Troie. ELECTRE Pousse son frère à venger la mort de leur père en tuant Clytemnestre et Egisthe. ORESTE Tue sa mère et l’amant de celle-ci

yeux et s’en ira en exile. Iphigénie: Iphigénie est la fille d’Agamemnon et de Clytemnestre, elle est la sœur d’Oreste, d’Electre et de Chrysothémis. Lors du voyage d’Agamemnon pour trouver Hermione, les vents sont défavorables, selon un devin une offense commise par Agamemnon contre Artémis en est la cause et que seule la mort d’Iphigénie apaisera sa colère. Agamemnon refuse mais après s’y résigne. Il organises un stratagème pour piéger sa fille. Iphigénie comprend ce que veut faire son père

Commentaire composé : Acte II Scène 8 Extrait de Electre de Giraudoux Introduction Giraudoux est un auteur du XXè siècle. Diplomate et spécialiste des relations franco-allemandes, il se rend rapidement compte de la menace hitlérienne. Il véhicule le message de la tragédie à travers la relecture d’un célèbre mythe grec : Electre. Il met également en avant le complexe d’Electre, c’est-à-dire la version féminine du complexe d’Œdipe. En effet, celle-ci aime son père Agamemnon, qui fut assassiné

Racine et Molière. C’est en 1667 que Racine va obtenir la reconnaissance de ses pairs avec la tragédie « Andromaque ». Après « Les Plaideurs », il revient au théâtre dramatique avec « Britannicus », « Bérénice », « Bajazet », « Mithridate », « Iphigénie » et « Phèdre ». Dans sa rivalité avec Corneille, lui aussi dramaturge, Racine va l’emporter avec « Bérénice ».Jusqu’en 1677, il va collectionner les succès mais arrête définitivement le théâtre après « Phèdre » suite à de nombreuses critiques.

philosophique, il est rarement considéré comme du théâtre tout court. Sartre affirme pourtant avoir voulu écrire du théâtre bien avant de s’intéresser à la philosophie. « Le théâtre est la forme la plus appropriée aujourd’hui pour montrer l’homme en acte [c'est-à-dire l’homme tout simplement] », écrit-il dans un de ses nombreux articles consacrés à l’analyse de l’esthétique théâtrale. Le théâtre en effet – du moins celui que connaît Sartre dans cette première partie du xxe siècle – fait exister des

peuvent avoir une fin heureuse et mêlent parfois les genres ; on y remarque la longueur des prologues, dans lesquels un dieu ou un héros viennent raconter la pièce (Alceste, Hippolyte, Hécube, Ion), le recours fréquent au deus ex machina (Andromaque, Iphigénie en Tauride, Hélène, Oreste), le goût pour les scènes de reconnaissance. « Le plus tragique des poètes », selon Aristote, recherche les effets de terreur et de pitié, et se désintéresse de l'action proprement dite pour faire de sa tragédie une

retour du roi Agamemnon. La flamme attendue brille soudainement : Agamemnon revient en vainqueur. La reine Clytemnestre accueille chaleureusement son époux, alors qu'elle s'apprête à l'assassiner. En effet, Agamemnon avait fait immoler leur fille Iphigénie afin d’obtenir des vents favorables. La prophétesse Cassandre, captive d'Agamemnon, émet de terribles prédictions. Le roi tombe peu après sous les coups de Clytemnestre et de son amant Égisthe. Oreste, fils d’Agamemnon et de Clytemnestre rentre

tuant Égisthe et Clytemnestre sept ans après. Les dieux, frappés d'horreur, dépêchèrent à Oreste les Erinyes, mais Apollon le défendit et Athéna l'acquitta de son meurtre. Électre protégea également son frère de la colère de son peuple. Sauvé par Iphigénie en Tauride, Oreste succéda à son père et épousa Hermione. Électre épousa Pylade, cousin et ami d'Oreste.[1] La source mythologique des Mouches Au début du XXe siècle, dans la continuité d’une tendance française, les tragédies grecques sont remises

Electre Acte 2, scène 10 Cette scène est un dénouement ambigu. En effet, elle est à la fois une condamnation d’Electre vouée à la solitude et un message d’espoir. La scène de dénouement présente un côté tragique. Oreste va être poursuivi par les Euménides qui ont grandi et qui se sont transformées en Erinyes, les déesses de la vengeance. De plus, Egisthe n’a pas sauver Argos des Corinthiens et c’est donc Electre qui est la cause de la destruction de la ville et du massacre des habitants.