Iphigénie Dénouement

Retrouvez cette oeuvre et beaucoup d'autres sur http://www.atramenta.net Iphigénie TABLE DES MATIERES Iphigénie......................................................................................................1 Préface.................................................................................................2 Introduction.........................................................................................7 Acte premier...................................................

dégager ; nous le voyons d'autre part désirer la possession d'un être faible, désarmé, une captive. La flèche d'agressivité garde même origine et même sens LI la femme possessive étant toujours hostile au couple que le héros veut former et que le dénouement détruit en effet (...) nous retrouvons le même fantasme : le désir amoureux sera châtié. La nouveauté à partir de Mithridate : le retour du père (28 ss.) Les quatre premières tragédies n'offrent aucun personnage paternel. La puissance et tes

amant Egisthe. AGAMEMNON Assassiné par sa femme et l’amant de celle-ci. MENELAS Marié à Hélène (sœur de Clytemnestre), il est tué à Troie. Les quatre enfants de Clytemnestre et Agamemnon : CHRYSOTHEMIS Fille préférée de Clytemnestre. IPHIGENIE Sacrifiée par son père pour apaiser la colère des dieux et avoir des vents favorables pour aller jusqu’à Troie. ELECTRE Pousse son frère à venger la mort de leur père en tuant Clytemnestre et Egisthe. ORESTE Tue sa mère et l’amant de celle-ci

abattre leur malédiction sur Pelops qui a eu la vanité de devenir immortel comme eux. Parmi les héros les plus connus : Agamemnon était roi de Mycènes et frère de Ménélas (évidemment), marié avec Clytemnestre dont il a quatre enfants, Electre, Iphigénie, Oreste et Chrysothémis.
Après avoir fait le siège de Troie, Agamemnon fut vainqueur des troyens et obtint en butin, Cassandre, la fille de Priam, roi de Troie.
Il revint à Mycènes, où après une si longue absence elle avait pris pour amant son cousin

» (I, 1) Ce même destin, pressenti comme fatal dans la scène d’exposition, le rattrapera dans le dénouement sous la forme des Erinyes ou Euménides, les déesses grecques de la vengeance. Car les dieux ont maudit ces familles coupables de tant de crimes, parricides, adultères, infanticides ou autres incestes. Oreste est un descendant d’Atrée, fils d’Agamemnon qui sacrifia sa propre fille Iphigénie à Artémis pour sa gloire personnelle. Agamemnon expiera sa faute, assassiné par sa femme Clytemnestre

les premières lignes de l’épilogue qui retiennent l’attention du lecteur par leur aspect désinvolte, par leur portée parodique et par le fait qu’au lieu de clore l’œuvre, elles la laissent ouverte. I – Un épilogue désinvolte 1 – Un récit sans dénouement Le récit s’achève presque comme il a commencé : par une référence aux amours de Jacques, dont le lecteur s’amuse et s’agace de ne pas vraiment les connaître après plus de trois cent pages. Comme si ses amours n’avaient été qu’un prétexte à une

La tragédie et les règles classiques Inspirée de la tragédie grecque, une tragédie est une pièce en vers (en alexandrins) de cinq actes. Elle met en scène des personnages de rang élevé confrontés à des évènements exceptionnels. Le dénouement est toujours malheureux. I. La tragédie de Racine : Chez Racine, la fatalité s’acharne sur les héros qui ne peuvent rien contre elle: l’essence même du tragique racinien réside dans l’inutile combat de l’homme contre son destin. L’invincible fatalité se présente

1) Le paradoxe de l’épilogue 2) La symbolique de ce dénouement 3) La figure du personnage principale * Première partie : Le paradoxe de l'épilogue Pour cette première partie en reprenant la définition de l'épilogue, on demandera aux élèves: -D'expliquer en quoi le texte montre la résolution de l'action: -D'en rechercher dans le passage les indices, a l'aide d'instruments d'analyse précis A) Justifier la notion de "dénouement" -En quoi l'action est-elle résolue? -Quel est le sentiment

car il n’y avait pas de dénouement possible… Les ressources si ingénieuses qu’à trouvées Corneille pour relever la simplicité de son sujet ont un grand inconvénient : c’est de mettre des personnages principaux dans une situation dont il ne peut les tirer heureusement ; car je suppose qu’il voulût finir à la victoire d’Horace, comme la nature du sujet le lui prescrivait, que deviendra cette Camille oui vient de perdre son amant ? C’est un principe convenu que le dénouement doit décider de l’état de

exclues de la scène. Les batailles et les morts doivent se dérouler hors scène et être rapportées au spectateur sous forme de récits. * En plus de ces trois grandes règles, le théâtre classique a pour caractéristique une pièce en 5 actes et un dénouement réunissant tous les personnages. 2) Le classique dans Dom Juan La pièce possède bien 5 actes. Hormis cela, elle ne respecte pas les autres règles du théâtre classique. Vraisemblance : Dans l’acte III et à la fin de la pièce, on retrouve