Ironie Efficace

Le conte philosophique 1. Le conte philosophique, adaptation moderne d'un genre traditionnel Le conte philosophique emprunte de nombreux procédés au conte traditionnel. • C'est un récit fictif comportant une série de péripéties destinées à retenir l'intérêt du lecteur. Pour cela, l'auteur recourt volontiers au merveilleux et met en scène des personnages types qui incarnent des thèses ou des idées plus ou moins convaincantes (EX : Pangloss incarne l'optimisme contre lequel s'oppose Voltaire)

Commentaire n°1 Candide, chapitre I "Ily avait.....la meilleure des baronnes possibles." En quoi ce texte est-il caractéristique d’un début de conte philosophique ? 1. Eléments traditionnels du Conte Il y avait lieu et époque imprécise pays mystérieux Thunder-ten-tronck sonorité presque imaginaire Cadre spatio temporel irréel Personnages traditionnels présentés rapidement >famille aristocratique présentation plus longue de Candide et Pangloss => importance de ces pers

Voltaire parle en effet des « sages du pays » et de « l'université de Coïmbre ». Toute la démarche de ces « savants » est donc présentée comme logique et scientifique : • le choix de l'autodafé comme remède aux tremblements de terre : « moyen plus efficace », « secret infaillible » ; • le choix des victimes de cet autodafé : lien logique de conséquence entre le 1er et le 2eme § (« en conséquence ») • le déroulement de l'arrestation et de l'exécution : parataxe (les deux-points ayant valeur de conséquence)

Candide Chapitre 3 : La guerre De « Rien n’était si beau » à « jambes coupées » Problématique: Quelles stratégies argumentatives Voltaire utilise-t-il pour dénoncer les horreurs de la guerre? L’écrivain et philosophe français, symbole des Lumières, nommé Voltaire a écrit en 1759 un conte philosophique prénommé Candide. L’extrait étudié « Rien n’était si beau » à « jambes coupées », provient du chapitre 3 de cette œuvre. Nous allons voir entre autre quelles sont les stratégies argumentatives

François-Marie Arouet, dit Voltaire, né em 1694, est un écrivain et philosophe qui a marqué le XVIIIe siècle. Symbole des Lumières et chef du parti philosophique, il écrit Candide, ou l’Optimisme en janvier 1759. C’est un conte philosophique et notamment un des plus grands succès littéraires français. Cette oeuvre, ironique dès les premières lignes, ne laisse aucun doute sur l’origine de l’auteur. Candide sera l’occasion pour Voltaire de critiquer la société du XVIIIe siècle. Le passage qui nous

Candide, Voltaire «Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles», Leibnitz L'oeuvre est une caricature de la philosophie de Leibnitz. Candide est un personnage naïf, ingénu qui fait le tour du monde. Il se heurte au mal qui est contraire à l'enseignement de Pangloss. Ce dernier représente Leibnitz. C'est un conte philosophique, genre pas sérieux que Voltaire porte à la perfection. Il dit d'ailleurs lui-même que ce genre est une «petite couillonnerie». C'est un brûlot qu'il lance

Synthèse acte I Une exposition contrastée I) L’entrée en scène du héros Le personnage principal est présenté progressivement au spectateur. Il fait l’objet d’un premier portrait, très négatif, par son valet Sganarelle. Celui-ci cherche surtout par là à se faire valoir auprès de son interlocuteur, Gusman- et Molière entend ainsi préparer le public et piquer sa curiosité. Le libertin fait son apparition à la scène 2 et use devant son valet, comiquement soumis, de toutes les ressources de

on aperçois que l’opposition de Voltaire par l’obstination de Pangloss est évidente. On peut comprendre l’obstination de ceux-ci lorsque Pangloss dit que le monde est parfait et que Candide, lui dit complètement le contraire. Afin d’incarner cette ironie, il explique que les malheurs ne seraient présent et qu’adhérer a l’optimisme reste une question de naïveté, comme le fait Pangloss tout au long de l’aventure. Donc, il est possible grâce a la droiture d’esprit de Pangloss d’établir l’opposition au

en esclavage (thème développé par Voltaire dans Histoire des Voyages de Scarmentado, où un blanc est esclave des noirs). Transition : Montesquieu prend au mot les esclavagistes et dénonce leurs propres contradictions, ce qui est beaucoup plus efficace, plus intéressant pour le lecteur qu'une critique en règle. Plus qu'un plaidoyer pour les nègres, ce texte est un réquisitoire contre les blancs.   Conclusion : Montesquieu dénonce avant tout dans ce texte l'esclavage : mais il ne l'a pas construit

retire ses pansements.  Le vieillard hurle en découvrant un Noir face à lui.  Un miroir lui renvoit son propre reflet : il est ce qu’il a toujours haï ! 3. Le sens du récit : • Récit à chute  coup de théâtre, renversement de situation. • Ironie  Le vieil homme tyrannique se rend compte qu’il est ce qu’il déteste le plus (comme un nazi qui se découvrirait juif !) ; ce qui est terrifiant, pour lui, fait rire ceux qui condamnent ses opinions. • Le racisme est le fruit de l’ignorance et de