Iroquois

», car les premiers explorateurs croyaient avoir atteint les Indes orientales. Ces peuples vivent de la terre, certains de la chasse et de la cueillette, d’autres, de l’agriculture. Les Hurons-Wendats de la région des Grands Lacs sont, comme les Iroquois, des agriculteurs et des chasseurs. Les Cris et les Dénés du Nord-Ouest sont des chasseurs-cueilleurs. Les Sioux sont des nomades qui suivent les troupeaux de bisons. Les Inuits se nourrissent des animaux sauvages de l’Arctique. Les Autochtones de

quotidien étrange : là aussi, la « loi de continuité » prévaut. C’est aussi la leçon qu’on pourra tirer des Deux Amis de Bourbonne, qui sont une réécriture des Deux Amis de Saint-Lambert : Diderot reproche à Saint-Lambert d’être allé chercher chez des Iroquois l’image d’une amitié merveilleuse, alors que cette amitié pouvait se trouver en France, dans le petit peuple. Diderot croit que la réalité quotidienne est d’elle-même merveilleuse, c’est-à-dire étonnante. => l’incipit, une fois encore, prépare la

million6 et 8 millions de personnes en 14927. Au xvie siècle, les terres situées à l'est des montagnes Rocheuses sont peuplées par des tribus amérindiennes : Cheyennes, Crows, Sioux, Hurons, Iroquois, Cherokees et Creeks qui chassent du bison mais aussi pratiquent la culture, la cueillette, l'élevage et la pêche. Les Iroquois vivent dans la vallée du Saint-Laurent, dans le secteur des lacs Érié et Ontario, dans la vallée du fleuve Hudson et dans la partie ouest des Appalaches. Ils comptent six grandes tribus

99"PROCHAIN EPISODE" ET "MENAUD, MAITRE-DRAVEUR" Le decalque romanesque Robert Major L COMPLEXE et déroutante d'Hubert Aquin a peu d'égales dans notre littérature. Seul Jacques Ferron, sans doute, peut rivaliser avec l'extrême fascination qu'exerce Aquin sur une diversité de lecteurs depuis qu'en 1965, avec son premier roman, il s'est fait connaître d'un plus vaste public que celui de la revue Liberté. Mais contrairement à ce qui se produit chez Ferron, où le talent du conteur et les clins d'oeils

est mort. On ne mange pas les femmes. Le cannibalisme social est une attitude face à la mort, manière de rendre hommage aux Attitude Exemple : Les Maori (Nouvelle-Zélande) Autre type de cannibalisme : L’auto-cannibalisme. Il existe une société : « Iroquois ». Ce peuple obligeait leur prisonnier à se manger euxmêmes tellement ils étaient affamés. Claude-Lévi Strauss (français 20ième) est né à Bruxelles, mais il est français. Il dit qu’il faut rompre avec l’ethnocentrisme, c.-à-d. considéré son peuple

« hideux » + « ignoble »: CL de la laideur. -  « spectacle » + « auditoire » + « public » + « farce » : CL du spectacle. Cette situation grotesque, ridicule et horrible provoque un dégoût moral. -  « horrible et grotesque se côtoient » (l.22 à 26) : « iroquois et topinambour » : langues des indiens d'Amérique, « à merveille » : discours indirect. Mauvaise foi des moins et absurdité des paroles prononcées. Les critiques : -Le clergé : lâche (cf. l.30 à 34) : le père Joseph « s'en tira sans bruit » et

1937 in Boucher, 1964). En 1606-1608, on procède à des essais à Port-Royal, mais c’est véritablement à partir de 1617, après les défrichements de Louis Hébert à Québec, qu’on peut dire que l’agriculture est vraiment lancée. Contrairement aux Iroquois et aux Hurons qui brûlent les champs, le colon français, lui, les défriche. Le défrichement d’une terre est une tâche longue et ardue à laquelle peu de colons sont préparés. On devait d’abord couper les arbres avec pour tout instrument, une hache;

industrielles. Les civilisations primitives voient en leur sol ancestral une « mère ». Ex : * Chez les Indiens Menomini de la régions des grands lacs d’Amérique du Nord, bien que parfaitement au courant des techniques agricoles de leurs voisins Iroquois refusaient de l’appliquer à la production du riz sauvage car il leur était interdit de blesser leur mère la terre. Pour beaucoup de sociétés l’opposition nature/culture = femme/homme Nature : jardinage, poterie modelée à la main -> contact

ennemis, mais à eux-mêmes, on comprendra facilement la cause de la confusion. Dans cet ouvrage, Lenni, Lenape, Lenope, Delawares, Wapanachki et Mohicans sont le même peuple, ou tribus de la même origine. Les Mengwe, les Maguas, les Mingœs et les Iroquois, quoique n’étant pas absolument les mêmes, sont 8 confondus fréquemment par l’auteur de ce roman, étant réunis par une même politique, et opposés à ceux que nous venons de nommer. Mingo était un terme de reproche, ainsi que Mingwe et Magua dans

libre-échange nord-américain (ALÉNA) de 1994. c) Aspects Socio Culturels[3] Le Canada est peuplé depuis 10 000 ans. Avant que les Européens débarquent, on comptait 300 000 habitants. Le pays se caractérise par une grande diversité de populations : Iroquois, Inuits, Outaouais... Entre 1534 et 1542, Jacques Cartier prend la possession du Canada au nom de la France : C'est le point de départ d'une communauté francophone au Canada. C'est Richelieu qui va développer le Québec. En 1642, est fondée Montréal