Islanders de New York

Argument[modifier | modifier le code] Acte I : New York, 1944. Ozzie, Chip et Gabey sont trois marins en permission de 24 heures. Leur journée commence dans le métro, où Gabey tombe amoureux d'une starlette, Ivy Smith, à la vue d'une affiche la présentant comme "Miss Turnstiles". Décidé à la trouver, il persuade ses deux compères de l'aider dans ses recherches (l'affiche donnant des indices). Chip rencontre ainsi une chauffeuse de taxi délicieusement vindicative, 'Hildy' Esterhazy. De son côté,

transports ont rendu possible les migrations car les bateaux sont alors plus grand et plus rapide. C. Des migrants qui peinent parfois à s'intégrer Les USA semblent méfiants vis à vis des immigrés britaniques : quand ils arrivent à Ellis Island, à New York, leur identité est contrôlée et leur bonne santé vérifiée. Une partie de la population des USA rejette les immigrés. Les irlandais ne semblent pas bien accueillis par la population newyorkaise. Ils vivent souvent dans les quatiers les plus délabrés

qui est aussi d’ailleurs utilisé à Toronto à travers le Scarborough RT et aussi à New-York avec l’AirTrain JFK. Le Skytrain traverse la ville de Vancouver d’est en ouest à travers 2 lignes différentes. La première, l’Expo Line, relie Waterfront Station située à Vancouver, à King Georges Station à Surrey, et la seconde, la Millennium Line, longe l’Expo Line de la station de Waterfront à la station Columbia de New Westminster pour enfin finir sa route dans l’est de Vancouver. Une troisième ligne

L’érosion est intense sur certains secteurs, à cause de la houle et des aménagements humains. Les îles sont petites et peu nombreuses : les îles Farallon à l’ouest de San Francisco, Alcatraz dans la baie de San Francisco mais aussi les Channel Islands au large de Santa Barbara et de Los Angeles. Le courant de Californie, qui s'étire sur environ 2 500 km est relativement froid et apporte des brouillards. La houle et les vagues sont des phénomènes très présents qui permettent notamment la pratique

COSMIC TIMES , NON-ACKNOWLEDGED ( UNEDITED ) SO FAR , SINCE THE 90’S , HAVING COINCIDED WITH THE NEW PROPHETIC ORDER , NON-ACKNOLEDGED ! NATIONAL LEGAL STATUS : LAW OFFICES OF RIVIERE JAPHAT OSIRIS & ASSOCIATES AS PATENTED LAWYER

peut parler d’une émigration de masse des Européens au XIX° siècle. La position de l’Oncle Sam à l’entrée du bateau n’est pas sans rappeler la statue de la Liberté qui accueille les immigrants dans le port de New York avant leur débarquement, à partir de la fin du XIX° siècle, à Ellis Island où ils vont être soumis à des contrôles administratifs et sanitaires avant d’être autorisés à débarquer à Manhattan. La traversée transatlantique est souvent difficile : à la fin du XIX° siècle il faut 10 à 14

ŒUVRE N° 1 : La Statue de la Liberté IDENTIFIER L’OEUVRE  Présenter l'œuvre : Date → 1886 Dimensions → 46,05 m sans le socle Dimensions → 93 m avec le socle Poids → 250 tonnes Lieu d'exposition → États-Unis, New York, Liberty Island, sud de Manahttan Domaines : Cette œuvre appartient aux domaines des arts de l'espace et du visuel. Architecte/concepteur : Auguste Bartholdi Dates (de naissance et de mort) : né à Colmar le 2 août 1834 Dates

sinstaller New York en 1900, ou il dcroche un poste chez De Dion-Buton, puis chez Buick. Plus fbrile que jamais de se lancer dans le monde de la course amricaine, il entame sa carrire de pilote. Cest en 1905 que Louis Chevrolet se fait remarquer en remportant la premire comptition laquelle il participe, en battant le record du mile la premire course Morris Park. Par la suite, il ne tarde pas se btir une solide rputation, entre autre en emportant les courses Empire city et Brunots Island. Il est

souvent un seigneur (Maryland, les deux Carolines et la Pennsylvanie). - administration des colonies royales assurée directement par la couronne (Rhode-Island, et Connecticut) - démantèlement des colonies hollandaises (New York, Delaware et New Jersey en 1664) - sécession d'avec le Massachusetts (le Connecticut en 1635, le Rhode Island en 1636). |Les 13 colonies anglaises d'Amérique du Nord

sur  scène.    Histoire du Hip-Hop   L'idée  de  «  Culture  hip‐hop  »  a  plusieurs  parrains  (Afrika  Bambaataa,  Kool  Herc,  Grand Master Flash…). Ils ont eu pour point commun d’animer les street‐parties du  Bronx au milieu des années 70 à New York. Il est certain que le terme hip‐hop est né  dans  ces  fêtes  de  quartier,  à  la  fois  des  lieux  de  brassage  musical  (entre  disco,  électro,  funk,  sons  jamaïcains),  d’innovations  DJ  (dubbing,  scratch,  break‐beat,  remixe) ou gestuelles (breaking