Isotope fissible

l'octet et les appliquer aux ions monoatomiques. I- Elément chimique 1- Les isotopes Définition : Des atomes ayant même numéro atomique Z mais des nombre de nucléons A différents sont des isotopes. (même nombre de protons mais nombre de neutrons différents) Propriété : Des atomes isotopes ont les mêmes propriétés chimiques ; ils sont désignés par le même nom et le même symbole. Ex : pour le carbone, les 3 isotopes suivants coexistent à l'état naturel 126C (98,9%) et 136C (1,1%) et 146C (traces)

thyroïde normale Glande thyroïde anormale Lors d'une scintigraphie de la glande thyroïde, on injecte un isotope particulier de l'iode dans le corps du patient. La thyroïde fixe l’iode injectée par intraveineuse en deux heures environ. Il existe plusieurs isotopes de l’iode qui émettent un rayonnement gamma en se désintégrant. Les graphiques ci-dessous représentent le nombre de noyaux d'iode qui ne se sont pas encore désintégrés

lithium. 1) Que représentent ces symboles ? 2) Que représentent les chiffres 3, 6, 7 et 8 ? 3) Qu’ont en commun ces différentes représentations ? 4) Qu’ont-elles de différent ? 5) Ces noyaux sont isotopes. Donnez une définition de leur isotopie.  http://astronomy.swin.edu.au/cosmos/I/Isotope  Isotopie  Activité  1 : correction 1) Ce sont ceux du noyau (et par extension de l’atome aussi). 2) 3 est le numéro atomique ou nombre de protons, 6, 7 et 8 sont les nombres de nucléons. 3)

est bombardé par des neutrons, il se forme de l'hélium et du tritium . 2.1. Écrire l'équation de cette réaction nucléaire. 2.2. Le tritium est radioactif –. Écrire l'équation de la désintégration envisagée sachant qu'il se forme un isotope de l'hélium. 2.3. On veut étudier l'évolution au cours du temps du nombre de noyaux présents dans un échantillon de tritium. On sait que le nombre de désintégrations au cours du temps est proportionnel au nombre de noyaux présents : (1)

élément fils stable (radiogénique) associé à un rayonnement ([pic]= hélium, [pic]= électron et/ou [pic]= proton) se fait à vitesse constante appelée constante radioactive [pic] (propre à chaque isotope) et constitue de ce fait une véritable horloge. L’âge calculé de l’échantillon correspond au moment où les isotopes radioactifs de cet échantillon ont été confinés, enfermés au sein du matériel : aucun constituant n’a été échangé avec l’extérieur à partir de ce moment là : le système est fermé. La date trouvée

ions. 4 Les isotopes : Les atomes d’un même élément chimique ont même nombre Z de protons mais peuvent différer par leur nombre N = A – Z de neutrons, donc par leur nombre de masse A. Suivant le nombre de neutrons qu’ils possèdent, certains noyaux sont stables, d’autres sont instables : ils se décomposent en émettant des rayonnements dit radioactifs. Des atomes de même numéro atomique Z mais de nombre de masse A différents, sont des isotopes du même élément Z X. Exemples :

ELMJ= 240 Elaser= 204x7,5=1,8MJ . La valeur est en cohérence. 1.3 PLMJ= ELMJ/∆t= 1,8.106/5.10-9=3,6.1014W 2. Réaction de fusion deutérium-tritium dans la cible. 2.1.1 Deutérium : 1 proton, 1 neutron Tritium ; 1 proton, 2 neutrons Noyaux isotopes ; Z identiques, A différents 2.1.2 Fusion entre deutérium et tritium= 12H++13H→24He+01n Conservation de A et Z ou lois de Soddy. 2.2.1 La partie A<20 2.2.2 L’énergie de liaison d’un noyau est l’énergie qu’il faut fournir au noyau au repos

datation absolue. La chronologie absolue est fondée sur la décroissance radioactive de certains éléments chimiques : elle exploite la relation qui existe entre rapports isotopiques et durée écoulée depuis la “ fermeture du système ” contenant les isotopes. Quels critères vont orienter le choix d’une « horloge » pour dater une roche ? B. Le choix de l’horloge radiochronologique. 1) Choix de l’échantillon. 2) Choix de l’isotope radioactif. Les radio-chronomètres sont choisis

C’est donc utilisé en physique, chimie, biologie et la médecine (où on parle d’IRM). On se base sur le proton H1 qui est l’isotope le plus stable et qui a le moins de chance de subir des modifications. La RMN ne travaille pas forcément sur des isotopes radioactifs. C’est une méthode non intrusive, qui ne détruit pas les structures biologiques. I°) Le phénomène de RMN : A) Découverte : En 1937, Isidor I. Rabi a fait un montage avec un jet de particules à travers un champ magnétique inhomogène :

Radioactivité et réactions nucléaires Activité page 88: 6-2-1-3-5-4 radioactivité naturelle: 6-4-2-1 radioactivité humaine: 5-3 Radiothérapie, datation au 14C 23592U 23892U 92 protons92 protons 143 neutrons146 neutrons isotopes: même nombres de protons mais nombres de nucléons différents La radioactivité est la transformation instable en un autre noyau plus stable, avec émission de rayonnement I- Qu'es ce qu'une réaction nucléaire ? Réactions nucléaires spontanées